Aslan, le lion turc.

Il est impossible de passer à coter d’Aslan sans le remarquer. Assez grand il mesure 1.88m. Sa carrure d’athlète dû aux longs entraînement militaire qu’il a conservé encore aujourd’hui lui offre une musculature assez prononcé qui plaît grandement. De longs cheveux bruns et une barbe longue et entretenue finissent de compléter ce look qui ne passe pas inaperçue. De son héritage turc il en garde la peau hâlé, comme un bronzage permanent, et des yeux d’un noir profond qui apportent une touche à son charme bien présent. Il aime plaire Aslan et ça se voit. Dans sa façon de se tenir, de marcher, de se comporter avec les gens qui l’entourent.
Étant le propriétaire du Miami Soring Golf et Country Club il nage dans le luxe à longueur de journée par ses clients et de ce fait s’habille en conséquence. Ses vêtements sont tous issu des marques les plus à la mode du moment et pour compléter son look il porte toujours des bracelets de perles et de cuirs ainsi que de longues chaînes qui descendent sur ses pectoraux histoire d’attirer le regard sur cette chemise quelque peu ouverte qui laisse entrevoir sa peau.

Aslan est une personne assez solaire en apparence. Très souriant, avenant et à l’écoute de tous. Il discute, charme, sourit, blague et se montre attentionné avec son entourage sans le moindre problème. Surtout quand il s’agit de ses sœurs. Frère aîné et seul homme de la famille désormais il met un point d’honneur à les surprotéger même si cela peut en énerver quelques unes. Mais il les aime et ne veut pas qu’il leur arrive le moindre pépin. Au fond elles savent qu’elles peuvent compter sur lui à n’importe quel moment.
A côté de ça, de cette lumière qu’il dégage autour de lui vie une rade part d’ombre qu’il cache aux yeux de tous y compris sa famille. Parce qu’il ne veut pas qu’on se soucie de lui. Il ne veut pas qu’on voit ses failles. En voulant suivre les traces de son père, le seul homme qu’il a jamais aimé et qu’il vénérait, Aslan s’est engagé dans l’armée américaine chez les marines et a été envoyé dans différentes zones de conflits du monde. Les nombreux affrontements et les horreurs vu l’ont profondément marqués et en revenant au pays il a eu une longue période de dépression et de stress post traumatique. S’il est sortie de la dépression depuis quelques temps maintenant il garde encore les symptôme du stress et sait que cela prendra plus de temps pour s’en défaire. Voir même qu’il devra vivre avec ça le reste de sa vie. Mais pour lui, c’est son combat et personne n’a à le subir ou à le vivre. Il préfère être ce félin rayonnant dans la vie de ses proches toujours prêt à les aider si besoin et qui apporte la joie et la bonne humeur.  

En vérité, je m'appelle R, mais on me reconnait souvent sous le pseudo de SM. J'ai + de 30 bougies et je me suis inscrite sur BIW parce que j’adore. J'ai trouvé le forum sur discord et pour le peu que j'en ai vu, je le trouve superbe. Ah ! j'oubliais, j'ai 2 multicomptes qui sont les suivants: William & Benson sinon, j'ai envoyé mon secret. Un dernier petit mot ?

#PRESENTATION

Aslan n’aime pas parler de sa vie. De ses secrets. De ce qui le tracasse ou le ronge. Il préfère écouter les autres et rendre l’oreille. Il est cette personne secrète qui sourit à tout et à tout le monde. C’est pourquoi moi je vais vous en dire plus. Afin que vous arriviez à mieux le cerner. Alors écoutez bien, ce sera certainement la seule fois qu’on pourra traverser les murs qu’il a érigé autour de lui.
Aslan est l’aîné d’une fratrie de quatre et le seul fils. Né d’un couple turc qui avait décidé de tenter l’aventure aux États Unis, sa venue était tant désiré surtout par le paternel qui en plus d’avoir plusieurs enfants voulait à tout prix un garçon dans le lot. Et quoi de mieux pour lui que ce soit l’aîné. Choyé dans une famille aimante qui vivait une véritable aventure à la découverte de ce nouveau pays ils n’en oubliaient clairement pas leurs racines. Il prenait d’ailleurs son rôle de grand frère très à cœur le petit lion, tout comme aujourd’hui en somme, heureux d’avoir des sœurs et être présent pour elles quand elles en avaient besoin.
Pour lui son père était son héros. Son modèle. L’homme qu’il voulait être en grandissant, un parfait exemple à suivre. Et c’est pourquoi quand il en eu l’âge il s’engagea aussitôt dans l’armée américaine. Parce qu’il était né américain il pouvait prétendre à rejoindre la meilleure armée du monde. Son père quand à lui servait son pays d’origine et quittait assez souvent le sol américain pour retrouver la Turquie selon les missions. C’est d’ailleurs lors de l’une d’entre elle que Aslan a pu retrouver son père dans une mission conjointe de l’Otan et vivre quelques mois avec lui sur le terrain et en apprendre encore plus à ses côtés.

Mais la guerre à ses conséquences désastreuses et lorsque son père perdit la vie sur le terrain Aslan quitta l’armée. Les différentes missions et l’horreur de certaines zones en plus du décès de son père l’ont profondément touché. Perdu à son retour il s’enfonça doucement dans une dépression assez violente marqué par un fort symptôme de stress post-traumatique où il revivait certains conflits dans sa tête et ne trouvait nullement le repos. La seule chose qui arrivait à lui faire occulter tout ça était l’alcool et sans s’en rendre compte le lion turc se noya dans la boisson pendant de longs mois. Il en avait honte. Honte de ce qu’il était. De ce qu’il devenait. De sa faiblesse qu’il n’arrivait pas à surmonter et de cette honte il coupa toute relation avec tout le monde. Même sa famille, ne voulant pas qu’elles le voient dans cet état. Ces dernières ne savaient d’ailleurs même pas qu’il avait quitté l’armée et qu’il était de retour au pays.

Dans le but de se reprendre, de revenir auprès des siens et d’arrêter de ternir la mémoire de son père, Aslan demanda pour la première fois de sa vie de laide et s’engagea dans de longs mois de lutte auprès d’une psy afin de redevenir en quelque sorte l’homme qu’il était. Tout du moins, se sortir de cette dépression et de cette alcoolisme. La période fut longue et difficile mais Aslan finit par en sortir, redevant doucement celui qu’il était malgré ce stress toujours présent. Encore aujourd’hui d’ailleurs il lui arrive de consulter. Moins souvent qu’avant mais ça lui permet de tenir pied et de suivre ce chemin de rédemption qu’il s’était fixé.
C’est dans cette optique de nouveau départ d’ailleurs qu’il utilisa tout l’argent qu’il avait mit de côté en étant à l’armée afin de racheter le Miami Spring Golf et Country Club et vivre sa nouvelle vie. Il en est le propriétaire depuis deux ans maintenant et se sent beaucoup mieux dans sa peau et dans sa tête désormais.