MICKEY FRENCH | He’s not weird, he is just special

❝ Si Mickey devait se résumer à une chose : une paire de grands yeux, gris, un poil triste, mais tellement rêveurs. ❞
Sous le soleil caressant, sa chevelure châtain clair,
Indomptée comme les flots d'une mer agitée,
Encadre un visage aux traits fins et sereins,
Où se reflète une âme tendre mais torturée.

Ses yeux gris, miroirs d’une mélancolie infinie,
Rêvent de mondes aux milles et une couleurs,
Tandis qu'un sourire espiègle, aux lèvres fines,
Trahit un esprit vif et parfois joueurs.

Son allure juvénile, empreinte de légèreté,
Dissimule une profondeur et une sagesse insoupçonnées,
Un cœur d'enfant dans un corps d'homme,
Un être rare et précieux, à jamais aimé.

Comme un poète errant en quête d'inspiration,
Il parcourt le monde, à la recherche de beauté,
Son âme sensible s'imprègne de chaque instant,
Et sa plume trace des mots empreints d'éternité.

Un être unique et fascinant,
Un mélange de douceur et de passion,
Un jeune homme qui laisse son empreinte,
Sur le cœur de ceux qu'il rencontre.

❝ « Maintenant, tu décris le caractère de ton personnage. Ses tics, ses manies, dépressif, ou alors super sociable, c'est toi qui choisis. .Nous demandons uniquement à ce que cela fasse au minimum 200 mots ou 15 anecdotes. ❞
Dans ses yeux gris, un monde secret,
Où riment les mots et les couleurs,
Un jeune homme, à l'âme poète,
Obsédé par l'art, sous toutes ses formes.

Son esprit vif, tel un papillon,
Voltige de toile en vers,
Perdu dans les méandres de l'imagination,
Où la réalité s'enveloppe de mystère.

Son cœur sensible, fragile et pur,
Bat au rythme des alexandrins,
Chaque coup de pinceau, une confession murmurée,
Chaque poème, un cri du cœur gravé.

Il erre dans le labyrinthe de ses pensées,
Guidé par la lumière de l'inspiration,
Incompris par le monde qui l'entoure,
Mais compris par son art, sa passion.

Son amour pour la beauté est insatiable,
Il la cherche dans chaque détail,
Dans les nuances de la lumière et de l'ombre,
Dans les mots qui chantent et les couleurs qui dansent.

Il est un rêveur solitaire,
Un artiste incompris,
Mais dans son âme réside une beauté unique,
Un trésor caché, que seul son art peut révéler.

Un jour, peut-être, le monde le comprendra,
Et verra la beauté qui se cache derrière son silence,
Jusqu'à là, il continuera à créer,
Dans son univers poétique et pictural,
Où il est libre et aimé.

En vérité, je m'appelle Flo, mais on me reconnait souvent sous le pseudo de Flopowa. J'ai 30 bougies et je me suis inscrite sur BIW parce que j’ai vu la pub sur PRD. J'ai trouvé le forum sur PRD et pour le peu que j'en ai vu, je le trouve accueillant au possible. Ah ! j'oubliais, j'ai pas encore de multicomptes sinon, j'ai envoyé mon secret. Un dernier petit mot ? J’adore le gruau !

#PRESENTATION

❝ Pour terminer, il nous faut savoir ce qu'il s'est passé dans la vie de ton personnage. C'est totalement libre. Tu peux le faire sous forme de journal, de RP, avec des chapitres... Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 350 mots ou 15 anecdotes.❞
- Il est bizarre le petit, tu ne trouves pas ?
- Tu dis n’importe quoi Ted ! Il n’est pas bizarre, il est juste…lui !
- C’est bon, t’énerve pas… c’est juste que ça fait 30 minutes qu’il n’a pas bougé, il est dans un parc avec plein de d’autres gosses et lui il bouge pas. C’est quand même chelou tu trouves pas ?
- Arrête de dire n’importe quoi ! Mickey ! Viens-ici mon chéri ! Viens !

Le petit Mickey, 7 ans, arrivait les bras ballants vers ses parents. Ils lui avaient dit d’aller jouer, oui mais jouer à quoi ? Il ne connaissait pas tous ces enfants et n’avait pas spécialement envie de les connaître. Il voulait juste rentrer à la maison et finir son dessin. Parce que c’était ça qu’il aimait Mickey. Dessiner. Peindre. Faire de la pâte à modeler. A Noël, Papichou et Mamichou lui avaient offert un kit de gravure sur bois. Maman le trouvait trop jeune pour l’utiliser seule mais le travail du bois a été une révélation pour Mickey.
Papa le trouvait bizarre. Parce qu’il n’aimait ni jouer au football, ni au basket, et encore moins au baseball. Mickey n’aimait pas vraiment se dépenser de façon générale. Et maintenant Papa le trouvait encore plus bizarre parce qu’il n’avait pas envie de jouer avec les autres enfants.
- Qu’est ce qu’il y’a mon chéri ? Tu ne veux pas jouer avec les autres enfants ? S’inquiéta Maman.
- Ouais ! Et pourquoi tu ne ferais pas un peu de toboggan ? Renchérît Papa, fier d’avoir proposer une idée qui ne semblait pas au goût de Mickey.
Le garçon secoua la tête.
- On peut rentrer maintenant ? J’ai un peu mal à la tête… finit par lâcher Mickey.
- Bien sûr mon poussin, dit Maman en se levant immédiatement.
- Quoi !? Mais on vient d’arriver ?! S’insurgea Papa.

Maman lança un regard à Papa qui interdisait toute négociation.
Et voilà le petit manège qui se répéta des années durant.
A l’école, Mickey n’excellait pas en sciences loin de là. Les mathématiques demandaient une logique que n’avait pas le jeune homme. Quant à la biologie ou la physique, Mickey préférait admirer la beauté de notre monde plutôt que de l’expliquer avec des théorèmes ou des lois complexes.
Et si Mickey n’était pas un génie en sciences, il adorait l’art. Si la grammaire, la conjugaison l’avaient ennuyé au plus haut point quand il était en primaire, une fois arrivé au collège, la littérature et les rédactions étaient des moments de joie intenses pour le jeune adolescent. Enfin pas autant que les arts plastiques.

- C’est quoi ça Mickey ?!  D en maths !
- Oui. Mais j’ai eu A+ en arts visuels.
- Et comment tu expliques ce F en musique ! Comment on peut avoir F en musique ?! S’étouffa Papa.

Autre point noir du tableau. Mickey ne supportait pas la musique et n’avait absolument pas l’oreille musicale. Il apparentait la musique à du bruit et à l’inverse, écoutait les bruits issus de la nature.
- Notre gosse est chelou Anne…
- Pourquoi tu dis ça encore ?
- Il écoute le chant des baleines ?! Qui écoute le chant des baleines !? Il pourrait pas écouter de la pop ou du rap comme les gamins de son âge ?!
- Tu sais bien comment il est, c’est un rêveur, un artiste dans l’âme… soupira Maman.
- Ouais… mais il est quand même bizarre. On aurait pas du faire l’amour dans la voiture…
- Ted !

Arrivé au lycée, Mickey n’avait toujours pas d’amis, beaucoup trop timide pour aller vers les autres. Alors que tous ses camarades n’avaient qu’un mot à la bouche : amour, Mickey y semblait imperméable. Et je dis bien « semblait » parce qu’au fond de lui, ses hormones étaient en ébullition devant la gente feminine. A tel point qu’il envoya un poème anonyme en l’honneur d’une de ses camarades qu’il trouvait particulièrement à son goût. Mais tout le lycée avait trouvé ça cringe au possible. Heureusement que c’était anonyme. Depuis ce jour, Mickey n’a plus jamais déclaré sa flamme à qui que ce soit.
De toute façon il est beaucoup trop absorbé par ses activités artistiques. Sa préférée sans doute la peinture, mais le jeune homme adore puiser ses inspirations dans les mots d’amours de grands auteurs, surtout les Français, Edmond Rostand, Victor Hugo, Baudelaire…. Tant de noms. Parfois lui aussi s’amuse à écrire des lettres, des poèmes à une muse, qui n’existe que dans son imagination.

Après son diplôme, il intégra l’université de la ville, il hésita longtemps à faire des arts visuels, sauf qu’il n’avait pas réussi à obtenir de bourse, ses notes en sciences étant trop basses, et son père ne semblait pas apprécié l’idée :
- De la peinture à la fac ?! Non mais ça va pas !? Je suis pas Rothschild moi ! Et puis donne moi un nom de peintre ENCORE vivant riche ? Y’en a pas ! Parce que pour gagner du fric avec de la peinture faut être mort !

Mickey n’essaya pas de débattre avec son père. C’était peine perdue, mais en lui expliquant que J.K Rowling était parmi les premières fortunes d’Angleterre avec sa saga d’Harry Potter, Papa finit par consentir à lui payer une licence de littérature.

- T’a intérêt à nous pondre un chef d’œuvre, Fils !
C’était bien la première fois que Papa s’intéressait vraiment aux activités de Mickey. Et pour Mickey c’était une bien plus grande victoire que tous les prix de littérature.

- Tu sais, mon coeur, les finances sont un peu compliquées en ce moment. Ça serait bien si tu pouvais te trouver un petit job. Histoire de nous aider un peu, ok mon poussin ?

Pour Maman, Mickey aurait fait n’importe quoi. Même travailler dans un Starbucks et parler avec des gens qu’il ne connaissait pas. Quelle angoisse !
Mais il n’avait pas le choix, Maman comptait sur lui.