Elize Maartens | Elize is my name, rebel is my nickname, chaos is my game.

❝ Ici, tu décris ton personnage physiquement. Son style, sa morphologie, s'il a les cheveux en pétard, ou raides, des tatouages, un maquillage prononcé, son style vestimentaire, ... c'est toi qui choisis. Nous demandons uniquement à ce que cela fasse au minimum 200 mots ou 15 anecdotes. ❞


Elize, c’est la rebelle des super nanas, l’élément chaotique du trio infernal. Et vous seriez capable de le dire simplement en la regardant. De relativement grande taille (près d’1m84), elle se démarque par sa chevelure d’un noir abyssal (très loin de son blond d’origine, bien qu'elle opte parfois pour un bref retour vers cette couleur) parfois très longs ou très courts, de ses nombreux piercings (dans le visage, mais aussi d’autres endroits qui ne sont pas des affaires de personne) et de l’abondance de tatouages qu’elle collectionne comme des précieuses reliques.  On compte entre autre, des symboles nordiques, une succube et diverses créatures cauchemardesques, autant sur le haut que le bas du corps. Au premier coup d’oeil, vous vous dites qu’elle est sacrément badass, ou membre d’une bande de racaille si vous êtes un vieux boomer.

Au point de vue vestimentaire, elle rechigne pas sur les vêtements décontractés, de préférence courts ou déchirés. Elize a les talons hauts, les vêtements chics et tout ce qui fait un peu trop ‘’propre’’ en horreur. Ses parents ont beau lui répéter qu’elle serait si belle avec une grande robe, mais en vain. De toute façon, si ses parents disent blanc, elle va répondre noir. Son vêtement préféré : une veste en cuir sans manches, avec des pointes sur les épaules. Si elle le pouvait, elle dormirait avec.

Sinon, Elize aime se tenir en forme. Elle est loin d’être la plus fervente adepte de sport, mais elle aime bien aller s’entraîner, et se moquer des mecs moins forts qu’elle. Ce n’est pas la fille la plus assidue, ni la plus disciplinée. Mais elle aime bien s’y rendre pour juger les filles blondes qui font de l’elliptique avec un camion entier de maquillage en style 23 couleurs et des leggings Gucci.  D’ailleurs, pour elle-même, niveau maquillage, plus c’est noir, mieux c’est.

❝ « Maintenant, tu décris le caractère de ton personnage. Ses tics, ses manies, dépressif, ou alors super sociable, c'est toi qui choisis. .Nous demandons uniquement à ce que cela fasse au minimum 200 mots ou 15 anecdotes. ❞

Elize, c’est l’électron libre des super nanas, l’élément perturbateur du trio infernal. Agressive, colérique, rebelle et qui n’a pas la langue dans sa poche, elle aime provoquer et semer le chaos. Sanguine et impulsive, elle n’est pas du genre à prendre de gants blancs. C’est le proverbial taureau dans le magasin de porcelaine. Elle ne répare pas les pots cassés, elle en casse d’autres. Elle n’a peur de rien, au point de parfois, voir souvent, agir sans trop réfléchir, au grand dam de ses BFFs qui doivent souvent rectifier le tir. Si Margot la trouve parfois difficile à gérer, Bulle peut la trouver intimidante.

Elle n’est pas vraiment une fêtarde en soi. Certes, elle va apprécier une bonne fête entre amis, et une beuverie avec un peu de drogue à l’occasion, mais elle apprécie passer son temps seule à pratiquer ses hobbys préférés : la musique, le dessin et faire damner ses parents. C’est un autre point qui fait en sorte qu’Elize se démarque, sa capacité innée de rendre ses parents complètement dingues. Que se soit par ses choix de carrière (elle aimerait bien apprendre à faire du tatouage, vivre de la musique, ou travailler dans le commerce international), ses choix vestimentaires, ses choix de fréquentations, ses choix de divertissements etc.

--Tu pourrais pas être plus comme Margot ou Bulle? Lui demandait souvent sa mère. Ce sont des filles bien qui ne causent pas de problèmes.

En amour, Elize est intense et chaotique. Elle a besoin d’action, de divertissement, de stimulation. La petite vie rangée, calme et posée ce n’est pas pour elle. C’est une fille qui s’ennuie très facilement, alors elle n’hésite pas à séduire et à se laisser séduire sans trop de gêne. Elle aime les mauvais garçons, les mauvaises filles, les mauvais...là-dessus c’est compliqué.

Au point de vue amitié par contre, c’est totalement différent. La stabilité règne. Étant BFF avec Margot et Bulle depuis la petite enfance, Elize protège cette amitié à tout prix, même si cela implique de briser un nez ou d’agir sans trop réfléchir. Ce lien presque fusionnel, Elize y tient plus que tout. Elle est loyale et présente à ses deux amies au point que c’est presque suspect aux yeux de certains, ce qui peut alimenter bien des ragots.

En vérité, je m'appelle AJ, mais on me reconnait souvent sous le pseudo de Toxica. J'ai bien des bougies et je me suis inscrite sur BIW parce que ça fait changement du medieval fantasy. J'ai trouvé le forum sur très chou! et pour le peu que j'en ai vu, je le trouve bien ficelé comme un bon morceau de viande. Ah ! j'oubliais, j'ai zéro multicomptes qui sont les suivants: j’ai dit zéro! sinon, j'ai envoyé mon secret. Un dernier petit mot ? Aucun votre honneur!

#PRESENTATION

❝ Pour terminer, il nous faut savoir ce qu'il s'est passé dans la vie de ton personnage. C'est totalement libre. Tu peux le faire sous forme de journal, de RP, avec des chapitres... Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 350 mots ou 15 anecdotes.❞

L’histoire d’Elize, c’est un parcours simple mais sinueux. Née le 13 décembre 1998 dans un pays loin, très loin de Miami. Elle vit le jour à Pretoria en Afrique du Sud. Elle est  la 2ème d’une famille de 7 enfants, avec 4 sœurs et 2 frères. Ses parents, le joueur de cricket Jacobus Maartens et de l’avocate Meghan Hanekom, l’ont élevé comme tous bons parents afrikaners élèvent leurs enfants : avec les valeurs du travail acharné et du respect des traditions. Mais Elize n’a pas vraiment de souvenirs de son temps en Afrique du Sud. En effet, la famille a déménagé aux États-Unis alors qu’elle avait à peine un an. Elle leur en tient rigueur encore aujourd’hui d’ailleurs. Pourquoi Miami? Selon les histoires de ses parents et de sa fratrie ainée, l’Afrique du Sud était beaucoup trop dangereuse pour une famille. Après tout, c’est l’un des pays avec le plus haut taux de criminalité au monde non? Ça, Elize va toute sa vie souhaiter s’en rendre compte par elle-même.

Mais enfant, elle n’eut pas à se soucier de ces histoires d’immigration et des vie outremer. Miami était une ville magnifique et divertissante, et où le climat, la plage et les activités plaisent énormément à n’importe quelle petite fille. C’est à l’école qu’elle rencontra Margot et Bulle. Cette rencontre allait changer sa vie. Très tôt, les trois filles se trouvèrent certains points communs, et après très peu de temps, elles devinrent inséparables. Leurs parents passaient beaucoup de temps ensemble, et les filles étaient toujours chez l’une ou chez l’autre, jouant tout le temps ensemble, elles en vinrent presque à être capables de terminer les phrases des autres. C’était à ce point solide comme lien. Malgré qu’elles restaient soudées, chacune vivait son enfance et son adolescence d’une manière un peu différente.

Elize avait déjà quelques problèmes de comportement en grandissant. Certains peuvent appeler cela un trouble d’opposition, d’autres une rébellion hâtive, mais Elize faisait tout son possible pour contrarier ses parents.  Et cela commença à l’école. Elle avait des notes convenables certes, mais elle ne résistait jamais à l’envie de se mettre dans le trouble, soit en se battant ou en faisant des mauvais coups. Et on ne parle pas de sonner aux portes avant de se cacher, on parle de casser des fenêtres et mettre le feu à des poubelles. Le psychologue de l’école eut beau essayer de cerner pourquoi elle agissait ainsi, mais ce mystère n’a toujours pas été résolu à ce jour. À l’école, c’était toujours elle qui montait au front pour défendre un ami maltraité ou une camarade provoquée, x10 000 si c’était contre Bulle ou Margot. Combien de petit gars avait-elle fait pleurer parce que ces derniers s’étaient moqué du rire contagieux de Bulle? Elle était la petite terreur de la cours d’école.

À l’adolescence, période ingrate comme pas possible, peu avait changé. Elize se tenait toujours avec les BFF, faisait toujours en sorte que ses parents s’arrachent les cheveux et décourageait ses professeurs. Ses notes toujours suffisamment adéquates pour éviter de se faire foutre dehors, mais son taux d’absentéisme et ses problèmes de comportement restaient problématique. Elize préférait se tenir avec des fréquentations, douteuses pour utiliser un terme poli, que de rester assise des heures sur les bancs d’école. Elle n’avait pas l’âge encore, mais ne manquait jamais une occasion de faire la fête, au grand dam de ses parents. Meghan et Jacobus n’avaient aucune idée pourquoi Elize était leur seul enfant qui causait tant de chaos, les 6 autres étant relativement...normaux. Ils en parlèrent aux parents de Margot et de Bulle, qui ne voyaient pas nécessairement le problème puisque Elize n’entraînait pas leurs propres enfants dans les problèmes, préférant leur servir de bouclier en cas de tracas. Mais Elize savait que si quelque chose n'allait pas, elle pourrait toujours compter sur le soutient de ses BFFS. Et c'était réciproque à 10 000%.

C’est d’ailleurs à l’adolescence qu’Elize découvrit sa passion pour la musique. Fréquentant un bassiste de heavy metal, ou c’était peut-être le batteur? Elle apprit les notions de base pour jouer, tout en ouvrant ses horizons aux divers univers musicaux. C’est également dans cette période qu’elle eut la piqure (littéralement) pour le tatouage, monde qu’elle trouva absolument fascinant. Son premier tatouage fut un discret hommage à son pays de naissance, bien dissimulé derrière sa cheville gauche. Ensuite, sont venus les créatures cauchemardesques, démons et autre iconologie sinistre, au grand dam de ses parents. Ces derniers lui ont fait l’ultimatum : au prochain tatouage, c’était la porte. Avec l’aide de ses amies, elle se trouva donc un appartement, frôlant le taudis, mais habitable. Peu de temps après, elle était déjà de retour au salon de tatouage. En comptant près d’une quinzaine aujourd’hui, elle ne compte pas s’arrêter de sitôt.

Mais quelque chose clochait dans le tableau. Bulle et Margot avaient déjà des perspectives d'avenir assez intéressantes. Après tout, Margot était quand même sauveteuse en mer, ce qui est plus que respectable. Mais Elize réalisa qu’elle allait devoir non seulement se botter le train si elle voulait être acceptée mais également se trouver quelque chose à étudier! Elle avait la ferme intention d'avoir autant de succès et d'avenir que sea BFFs. Elle choisit de tenter sa chance en commerce international, sous les...conseils...de ses parents, qui furent enfin content que leur fille daigne les écouter pour une fois. Au moins, ils allaient peut-être lui lâcher les baskets.

--Personne vit de la musique Elize! Il te faut un boulot qui mettra de la nourriture sur la table de ta future famille, lui disait sans cesse son père.

Très ironique venant d’un ex-joueur de cricket qui a passé des années de vache maigre à essayer de faire les grandes ligues. Mais elle essaya de voir du positif dans la situation. Avec le commerce international, elle aura peut-être la chance d’aller voir et de faire affaire avec son pays natal, l’un de ses souhaits le plus cher. Et comme option secondaire, elle choisit musique (évidemment), autant par passion que pour envoyer promener son père. Mais des études, c’est cher, très cher même. Devant le refus total de ses parents de lui payer sa scolarité, avec encore une fois l’aide de ses amies, elle se trouva un boulot à l’un des endroits où elle passait le plus clair de son temps : le salon de tatouage. N’ayant pas la patience ni le talent nécessaire, elle travailla au moins en tant que job étudiante, assurant le bon fonctionnement du salon en s’occupant d’un peu tout et n’importe quoi. C’est pas beaucoup, mais c’est un boulot honnête. Et en plus, elle apprenait les quelques rudiments et les techniques de base pour opérer une machine à tatouer.

Et c’est ainsi que l’on retrouve Elize. Dans son appartement miteux, avec son python Jacob (que sa mère déteste plus que quoi que se soit au monde), oscillant entre son boulot, l’université et quelques fêtes et concerts,  la Rebelle continue à faire son bout de chemin, toujours ses buts bien plantés en face d’elle, et ses deux BFFs solidement à ses côtés.