MINA PENN | I wear it on my shoulders, gotta find strength in me

Wilehlmina, c'est la femme simple par excellence, elle ne cherche jamais à trop se démarquer de la masse par du maquillage prononcé et des décolletés affligeants. Elle n'en a jamais vraiment eu besoin. Elle se maquille simplement par un trait de liner, du mascara sur ses cils naturellement volumineux et parfois elle s'autorise un gloss à la fraise. Croiser Mina dans une chemise ample et un jeans de coupe Mom ou bien confortable, avec sa paire de converses noires favorites, ce ne serait absolument pas anodin ; c'est son look de tous les jours. Quand on l'invite à sortir, là, elle se coiffe un peu plus, soigne son chignon habituellement fait au petit réveil, elle sort sa seule palette de fards à paupières et son seul rouge à lèvres. Question tenue du soir, elle a de multiples robes courtes, décolletés ou non, des talons pas plus hauts que dix centimètres et un sac à main plus chic que sa bandoulière usée en faux cuir marron.
Tout lui va, à Mina, elle a ce chic, ce charisme, d'accepter tout sur son corps, même un sac à patates, comme si c'était la dernière mode. Honteuse de rien du tout, elle peut tout oser mais préfère le confort des habits amples pour sa vie quotidienne.
Physique athlétique, fine mais avec de petites formes sculptées, elle ne se dirait pas plus jolie qu'une autre mais elle s'entretient comme elle peut. Mina aime son physique, jouant de bikinis à la plage sans gênes, ces derniers laissant dévoiler un petit tatouage en haut de la fesse gauche, un petit coeur noir. Une envie qu'elle a eu jadis. Légèrement grande, mesurant 170cm et un poids d'environs 59kg.

Mina est la première fille d'une seconde union pour son père, il n'a jamais été question de lui caché cette partie de sa vie passée, à elle, à sa soeur tout comme sa mère. Franck Penn, son père, est une figure paternel que Mina a toujours vu d'un assez bon oeil, les deux ont d'ailleurs un caractère fortement similaire ; ce qui a déjà engendré des disputes. Wilhelmina est une femme sûre d'elle, c'est un trait que son père lui a toujours poussé à avoir, de ne jamais douté d'elle quoi qu'il arrive ; si ses projets ne plaisaient pas, elle se devait de persévérer. Ainsi, elle a également développé ce coté têtue de son caractère, à toujours tenir tête et à mener à bout ses idées. Mina, la femme érudite, gamine qui avait souvent de très bonnes notes, à la limite de se demander si elle n'avait pas un cerveau de génie, elle comprenait tout rapidement, comme un mécanisme. Seulement, pour ses parents, l'envoyer en établissement spécialisé pour enfants surdoués n'était pas dans leurs revenus. Mina parfait sa culture avec les livres de la bibliothèque, endroit qu'elle côtoyait le plus pendant de longues années. Enfant discrète, première de la classe et peu amicale avec les autres élèves, elle n'était pas vraiment la jeune femme qu'elle est actuellement. C'est en entrant à la fac de New-York qu'elle se décroche un peu des livres et des études ; elle entre dans la spirale pure des étudiants. Soirées, alcool et petites substances illicites au rendez-vous, elle se laisse facilement entraîner par tout ça avec sa colocataire. Elle adore, elle s'ouvre aux autres et s'amuse pour la première fois depuis longtemps ; la dernière fois, elle s'en souvient, c'était quand elle était toute petite, à jouer aux poupées avec sa jeune soeur.
Mina obtient néanmoins son master en Management, elle aurait pu pousser au doctorat mais a préféré quitter les bancs de la fac pour un road trip seule en Amérique Latine, là-bas, elle apprendra les recettes des locaux avec une joie immense, se découvrant une nouvelle passion ; celle des fourneaux. Deux années là-bas, elle décide de rentrer chez ses parents par la suite mais ne restera pas longtemps avant de trouver une place en école culinaire à New-York encore une fois. C'est là-bas qu'elle apprend à être minutieuse, perfectionniste.

En vérité, je m'appelle lou, mais on me reconnait souvent sous le pseudo de genesis. J'ai 27 bougies et je me suis inscrite sur BIW parce que tout nouveau tout beau. J'ai trouvé le forum sur obsession27 et pour le peu que j'en ai vu, je le trouve chou. Ah ! j'oubliais, j'ai 0 multicomptes sinon, j'ai envoyé mon secret. Un dernier petit mot ? après une petite pause de rp pendant quelques mois pour raison persos, je remet le pied à l'étrier    please be indulgent  

#PRESENTATION

Les palmiers commencent tout doucement à venir égayer son champ de vision, le soleil de Floride qui se reflète sur sa peau délicieusement huiler, la brise légère mais ébouriffante dans ses cheveux, tandis que sa décapotable rouge d'un certain âge dévale en direction du panneau affichant en gros blanc sur fond verdâtre ; MIAMI. Lunettes de soleil sur le bout de son nez délicat, percé d'un anneau sur le septum, folie parmi tant, elle roule confortablement à une allure légèrement plus élevée que demandée par les signalisations. Coude en dehors du véhicule, une seule main au volant, elle jette un coup d'oeil sur le rétroviseur pour observer avant de faire une manoeuvre, les dés roses qui gigotent ; décoration qu'elle n'aime pas trop mais c'était un cadeau alors autant les garder. Elle entre dans la ville de Miami alors que Lana Del Rey pousse la chansonnette dans sa radio d'époque. Elle marmonne les paroles et vient chercher des yeux l'indication affichant Coral Gables. Une fois qu'elle le voit, elle emprunte la voie pour y accéder. Quelques feux rouges fatiguant plus tard, elle se gare maladroitement en chevauchant le trottoir face à une maison d'un style typiquement méditerranéen. Elle coupe le moteur vrombissant et légèrement assourdissant de sa voiture, ouvre sa portière qui se veut capricieuse et pose ses pieds vêtus de converses sur le bitume de la route. Elle claque fortement sa portière, tournant ses talons vers une maison. Elle soulève ses lunettes de soleil sur le haut de sa chevelure en bataille. Elle voit, devant la porte d'entrée venant de s'ouvrir une personne souriante lui faire de grands signes. Elle y répond poliment en attrapant son sac à bandoulière d'un faux cuir marron usé, situé sur la banquette arrière. Elle se dirige vers la personne lui ayant fait de gros signalements de la main. Elle vient lui serrer cette dernière, ne détachant pas son sourire joviale et contagieux, qu'elle sait si bien faire pour amadouer. C'était une de ses nouvelles colocataires, en effet, Mina vient d'emménager chez eux, une maison partagée entre elle et trois autres personnes.

Après trois mois d'habitation dans cette maison, Mina a rapidement pris ses aises  mais n'a toujours pas trouvé le boulot qu'elle désirait adopter. Ses économies se font de plus en plus minces ; elle avait abandonnée une splendide carrière de manager à New-York dans un lieu luxueux. Tombé comme une obène, un de ses colocataires, étudiant(e) à la fac, lui annonce que le snack où iel a ses habitudes recherche un nouveau responsable. Le job paie pas de mine et ne correspond pas aux qualités de Mina mais elle y va franco. Après tout, elle serait au plus proche de Lonnie, ce frère qu'elle cherche à contacter et à se rapprocher par tous les moyens. La famille c'est important pour Mina et depuis le décès de son époux ; elle se sent plus que jamais obligée de s'en rapprocher. Puis, Lonnie, semblait une première cible plus facile à amadouer que l'ainé ; ce dernier ayant même changé de patronyme.

Mina est veuve, cela va bientôt faire un an. Une relation maritale qui était au début idyllique mais qui a vite chancelée en disputes multiples. Mina avait une maîtresse qu'elle aimait mais qu'elle se devait de garder secrète, n'assumant pas sa bisexualité. Son époux est décédé dans un accident automobile mais les suspicions d'un meurtre prémédité sont arrivés rapidement et c'est là que sa liaison a vu le jour aux yeux de tous. Sa maîtresse a avoué ses actes par jalousie et a été condamnée au jugement avec remise de peine suite à ses aveux. Depuis, Mina vit dans la peur de la revoir et a préférée repartir chez ses parents et bien vite, a décidée de reprendre contact avec cette fratrie qu'elle ne connait pas si bien finalement.