Nayvee Rayans | You should see me in a Crown

Nayvee n'est pas très grande du haut de ses 1m60, c'est peut être aussi grâce à ça qu'elle parvient à rester discrète, si discrète qu'on ne remarquerais pas sa présence. Comme un chat, elle se glisse dans les pièces sans que personne ne la remarque. Cette caractéristique lui est très utile lorsqu'elle utilise ses talents de pickpocket parvenant à faire les poches ou détacher une montre d'un poignet sans qu'on ne puisse le remarquer. Ses cheveux ont souvent changer de couleur mais elle porte actuellement une longue chevelure noire lisse encadrant son visage porcelaine et faisant ressortir ses pupilles océans. Elle possède quelques tatouages : un dragon sur sa hanche mais dont la queue descend jusque sur sa cuisse, un motif descendant de sa nuque sur toute sa colonne vertébrale, trois petites fées sur sa main représentant les fées de son livre d'enfance. Elle se maquille peu, elle reste très naturelle au quotidien. Son style vestimentaire est très casual, elle cache ses formes voluptueuse sous des vêtements plutôt ample et confortable. Cependant, parfois elle aime créer la surprise en portant des tenues plus sexy avec un maquillage plus prononcé pour des évènements ou des dates.

Beaucoup de choses peuvent faire varier la perception que l'on peut avoir de Nayvee lorsqu'on la rencontre. Notamment sa maladie. Nayvee est atteinte de trouble bipolaire qui lui ont été diagnostiqué il y a quelques années maintenant. Elle oscille entre des phases dépressives violente et des phases euphorique. Les phases peuvent durer plusieurs jours, plusieurs semaines voir plusieurs mois. Son traitement permet de réguler quelque peu ses phases mais elle reste cependant encore fragilisé, même si elle ne le montrera pas. Aux premiers abords, elle peut paraître distante, peut-être un peu froide et directe mais lorsqu'on apprend à la connaître, on peut découvrir un petit bout de femme loyale et attachante. Si elle peut paraître calme, il faut se méfier de l'eau qui dort. Elle est impulsive, parfois colérique. Elle peut devenir très agressive lorsqu'on s'attaque à ses proches, surtout lorsque sa phase est descendante. Côté coeur, Nayvee a connu peu de relation sérieuse et aucune n'a réellement fonctionner. Par peur de l'abandon, elle s'empêche de s'attacher, de peur de souffrir. Son côté auto-destructeur prend le pas sur ses relations qu'elle finit par gâcher d'elle-même. C'est pourquoi, elle papillonne plus qu'elle ne tente de vraiment rencontrer quelqu'un pour une relation sérieuse. La personne qui voudra la garder devra s'armer de patience pour ne pas qu'elle prenne la fuite au premier signe de relation sérieuse.

En vérité, je m'appelle C', mais on me reconnait souvent sous le pseudo de Hellish. J'ai 28 bougies et je me suis inscrite sur BIW parce que c'était le contexte parfait pour rejouer un de mes persos fétiches. J'ai trouvé le forum sur Tumblr et pour le peu que j'en ai vu, je le trouve BEAUTIFUL. Ah ! j'oubliais, j'ai 0 multicomptes sinon, j'ai envoyé mon secret. Un dernier petit mot ? Hâte de jouer avec vous

#PRESENTATION

Par où commencer...? Le début ? Ouai... c'était un peu obvious en fait. Je suis née à Los Angeles, L.A. pour les intimes. Je suis la petite dernière de la famille, le "bébé" comme disais ma grande soeur. Oui disais... mais on y reviendra. J'ai grandis à L.A. dans un quartier modeste, dans une famille modeste. Ma mère m'a fait l'école à la maison, du coup j'avais jamais foutu un pied dans une école avant qu'on arrive à Miami quand j'avais une dizaine d'année parce que mon père avait été muté. J'ai fais mes premiers pas dans une école à onze ans. J'ai détesté ça au départ, je ne supportais pas les autres élèves. Il y avais trop de monde, trop de bruit. On me forçais à rester assise pendant des heures sur une chaise à écouter et prendre des notes. Quel horreur ! C'était bien plus ludique à la maison, bien plus varié et personnalisé aussi. Mais bon, ça devenait compliqué financièrement, ma mère a dû prendre un emploi.

J'ai toujours eu des crises de colères incontrôlable, des journées où j'étais si triste que je ne pouvais pas me lever de mon lit ou au contraire des journées où j'étais une véritable pile électrique branchée sur secteur, mais tout ça est devenu vraiment violent à l'adolescence. C'est après ma seconde TS que j'ai été prise en charge par un psychiatre et qu'on a enfin mis les mots sur ce mal-être mentale qui me torturait depuis des années : Bipolaire. Quand le diagnostique est tombé, j'étais aussi effrayée que soulagée. Soulagée d'avoir enfin un mot sur ce qui ne tournait pas rond chez moi mais terrifiée à l'idée que jamais je ne serais guérit, que tout ça restera coincé dans ma tête jusqu'à la fin.

Dans cette épreuve ma grande soeur ne m'a jamais lâché. Elle était mon modèle, ma meilleure amie, la personne la plus importante de ma vie. J'aurais pu tuer pour elle. Elle n'a jamais douté de moi, elle était la seule à pouvoir me parler dans les pires phases de ma maladie. La seule à me faire entendre raison quand mes crises de colères devenait trop violente. Lorsqu'elle est tombé enceinte, elle n'a jamais douté de mes capacités par rapport à son futur enfant, quand moi-même j'avais peur d'être un danger pour lui. Elle m'a proposé d'être la marraine de sa fille, enfin... elle ne m'a pas vraiment laisser le choix en réalité. Malheureusement, elle n'auras pas eu le temps de connaître sa fille très longtemps, elle a été emporté par un cancer du sein dont les soins ont été trop retardé à cause de sa grossesse. Je ne me suis pas vraiment remise de cette perte, mais ma priorité est donc devenu ma petite filleule pour m'assurer de lui transmettre ce que ma soeur aurait voulu qu'elle sache.

Je suis restée proche de mon beau-frère, le père de ma filleul. Et je l'aide autant que je peux avec la petite. Malgré mon aversion pour l'école, je suis entrée à l'université, car c'est ce que ma grande soeur aurait voulu. Elle voulait que je poursuive mes rêves de musique, alors je l'ai fait en étudiant l'art pour me donner les clés pour réussir et qu'un jour on entende ma musique partout.