Mission 1 - Bienvenue dans l'arène

Tu comprends pas trop ce que ces messages reçus veulent dire, mais t'es curieuse, alors arrivée 22h30, vêtue de ton plus beau jogging et une veste par dessus tu te retrouves dans l'université. Le code rentrée indiqué dans le SMS pour éteindre l'alarme et tu suis les indications te demandant sincèrement ce qui pouvait se tramer. Qu'est-ce que tu avais bien pu faire pour te retrouver mêler a tout ça. La recherche du fameux tableau, le bouton appuyé dessus, tu t'engouffre dans le couloir peu lumineux. Des petits cris de surprises sortent de ta bouche quand tu sens des truc frôler ton visage. "Oh c'est pas drôle hein !" Tu savais pas trop ce que c'était mais t'étais prête à taper s'il fallait. Tu finis par arriver dans une salle vide. Tu regardes autour de toi et tu t'installes sur une des chaises. Pas a l'extrémité de la table, juste au milieu d'un des deux côtés. Tu comptes alors les chaises te rendant compte que tu seras certainement plus seule longtemps.

Qu'est-ce que je fais ici ? C'est bien ce que je me demande. J'ai reçu dans la journée des sms bizarres, d'un numéro inconnu. Je ne sais pas ce qu'il m'attend, mais hors de question que je me fasse attraper par les agents de sécurité du Campus. J'ai donc enfilé un sweat-shirt à capuche qu'un de mes plans cul à laissé chez moi, un joggin légèrement trop grand et une paire de basket. Capuche sur la tête, je baisse la tête en passant devant les caméras et tape le code 56318# poue désormais l'alarme de la bibliothèque. Je me dirige ensuite au fond de la pièce et monte au premier étage. J'essaye d'être silencieuse, on ne sait jamais. Je tombe sur le fameux cadre qui représente un pont et une rivière, actionne le bouton qui se cache derrière. Une porte s'ouvre, "c'est une blague ?", c'est quoi ce bordel...Je m'engouffre dans le couleur, qui est plus que flippant. J'utilise la lumière de mon téléphone pour moi, me retiens de crier en voyant des araignées. Là, une salle se présente à moi mais aussi une jeune femme (@Jordane Camden). "C'est quoi ce bordel", je peste en la dévisageant. C'est elle qui a envoyé ces sms ? Je remarque ensuite des chaises, qui sont au nombre de sept.

Premier sms. Tu crus d’abord à une vieille blague d’un ami. Persuadé que tu allais rejoindre les PI SIGMA pour une soirée aux airs de bizutage. Lorsque tu reçois un deuxième message, tu t'exécutes sans vraiment réfléchir. Toujours aussi certain de croiser rapidement des visages connus. Presque heureux de te retrouver dans cet escape game où tu espères gagner une belle poudre blanche comme récompense de jeu. Rare fois où tu t'engouffres à la bibliothèque, tu regardes les multiples chaises, un rire aux lèvres en imaginant tomber sur le camp de nuit d’Asher. Tu mets du temps à tout capter, trouver le bon tableau, les paupières encore bien closes de fatigue. A la fin du couloir, tu tombes sur une pièce inquiétante. Bien loin d’une soirée secrète que tu espérais. Même pas à boire sur la table. Tu fronces les sourcils en essayant de distinguer les visages inconnus. Tu ne t’assois pas directement, les mains posées sur le dossier d’une des chaises “Vous en savez pas plus j’imagine ?” que tu demandes aux filles. Tu espérais qu’en reconnaissant les autres, tu aurais pu comprendre ce qu’il se trame. Et en attendant l’arrivée des autres, tes paupières se ferment petit à petit. Le sommeil qui te gagne de nouveau, incapable de rester concentré face à si peu de plaisir festif.

mission 1 bienvneue dans l'arene.
Margot avait reçu un sms assez étrange de la part d'un inconnu, cela lui demandait de se rendre à la bibliothèque de l'université pour vingt-trois heures. Elle avait même eu tout les codes nécessaires pour ne pas avoir de problème. L'université était si silencieuse, la nuit était là. Nerveusement Margot marcha vers le lieu de rendez-vous et là bas elle désarma l'alarme grâce au code 56318#. C'était la première fois qu'elle venait ici vu qu'elle n'avait pas suivi de cours à l'université, cherchant le fameux cadre avec la rivière et le pont elle actionna aussitôt le bouton derrière et là une porte s'ouvre devant elle.
Il faut sans doute être inconscient pour venir en pleine nuit ici toute seule mais Margot est beaucoup trop curieuse, marchant dans le couloir bien sombre elle arriva dans une pièce où quelques personnes se trouvaient déjà. "C'est quoi ce délire ? Qu'est ce que je fais là ?" demande t-elle sans attendre, elle ne connaissait visiblement personne.

Mes excuses:

Ta sieste qui s'termine à entendre la porte qui n'fait que de s'ouvrir. T'rouspètes contre ce bruit et les minutes loin d'ton lit. Les différentes personnes qui s'enchaînent, trois personnes, dont l'une qu'semble déjà tout analyser. Te dis qu'il y aura au moins trois cerveaux dans la pièce. Et puis lui, lui qui raconte t'sais pas trop quoi, t'captes même pas la voix qui forme des mots. Tu t'arrêtes un peu trop longtemps sur son short, c'rose qui lui va à merveille. C'corps athlétique si beau en pyjama. T'finis d'l'admirer quand tu te souviens que tu l'as ghosté et qu'une voix s'émet dans la pièce. Mystérieuse, évoquant vos secrets. T'penses au tien, aux conséquences de sa découverte, la gorge qui s'noue un moment. Nécessite de le protéger pour toi et autrui. Protection d'la confrérie que la voix évoque, l'idée de n'pas être dernier. T'arrives pas bien à savoir si elle est sérieuse, si elle n'avait qu'ça à faire. "Les pi sigma vont s'taper des barres quand je vais leur raconter" Tu réponds simplement, les mains déjà en train de tapoter l'portable pour savoir si l'un ou l'une de tes camarades est disponible pour une nuit d'ivresse à lui raconter la nouvelle. Des secrets dévoilés ? Et puis quoi encore ? Un tournoi d'confréries, ça par contre ça te parle. "Bonne compétition, j'espère qu'vous aimez perdre" un clin d'oeil qu'tu lances à l'assemblée qu't'espères vaincre, plus par jeu que par réel mépris. Puis tu déguerpis rapidement, parce qu'évidemment que les bleus sont encore levés et t'attendent pour la nouvelle.