BACK IN WYNWOOD
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Tout le monde connaît cette ville de Floride qu’est Miami. Ville qu’on nomme aussi Magic city, elle est également synonyme de plages, de sable doré, de luxe. Dans cette ville, mais surtout à Wynwood, quartier atypique de Miami, vous pouvez être qui vous souhaitez être. Vivez au gré de vos envies, de vos croyances, vos idéologies ou encore ce qui vous anime et surtout, apprenez à le faire en communauté. D’autres personnes, des alter ego ? Une chose en commun, peut-être deux, ou plus. Des communautés bien distinctes, qui peuvent amener des conflits, de la concurrence. Des communautés qui s’affrontent pour en arborer leurs couleurs. Le plus important ? Ne pas oublier ce qu’il y a à côté : les fêtes, l’amitié, l’amour… les secrets ? Surtout LES SECRETS. Tout le monde cache des secrets, nous le savons. Qui n’a jamais pêché au point d’en avoir honte ? Personne. Et vous, vous osez vivre votre vie pleinement avec ce petit secret bien gardé. Faites cependant bien attention, parce que dans les rues des différents quartiers de Miami se cachent des personnes mal attentionnées voulant à tout prix faire de votre vie un fléau. Vous faire revivre vos plus grandes craintes, peurs ou encore raviver vos souvenirs les plus douloureux, et tout ça à l’aide de simples lettres, de réseaux sociaux, de textos et bien d’autres supports encore. Alors, le jeu en vaut-il la chandelle ? Il paraît que la vie est un jeu, mais heureusement tout le monde triche un jour … Que le jeu commence !
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Back in Wynwood est un forum city/university, vous avez donc le choix de créer un étudiant ou un citoyen. Que ce soit l’un ou l’autre, vous avez également autant d’occasion de vous y intégrer, puisqu’un concept de club est présent pour les citoyens et étudiants, et un système de confrérie pour les étudiants. Chaque confrérie possède un chef, chaque club possède un président. Des activités sont prévues, des missions, et surtout des rebondissements qui mettront vos secrets en péril. Il va donc falloir jouer le jeu, mais surtout réfléchir à un secret bien difficile à trouver. Ce forum se veut sans prise de tête, agréable et relativement light au niveau des contraintes. Nous respectons tous ces débats sur les origines des différents fc, mais nous avons fait le choix de ne pas obliger nos membres à respecter de manière stricte les origines de leur avatar.

rpg city/university réel - 1 rp par mois au minimum - 250 mots demandés - les initiales dans les pseudos sont autorisées - 10 jours pour terminer sa fiche - système de points mis en place - système de confréries et de communautés pour les citoyens - Chasse aux secrets.
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 don't you know i got your eyes (elias)

#Membre #Miami
Hector Rivas
Hector Rivas
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FACECLAIM : pedro pascal
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ÂGE : Quarante-et-unième bougie soufflée.
OCCUPATION : Journaliste, fouille merde en chef, connu dans le monde du journalisme pour avoir gagné le prix pulitzer il y a sept ans. Carrière mis en suspend, ne travaille plus que sur des articles mineurs depuis son retour à Miami. Son temps libre, il l'investit sur son livre d'illustration destiné aux enfants.
STATUT CIVIL : Célibataire, coeur bousillé par ses propres conneries. La bague de fiançailles tristement abandonnée dans son écrin.
RP
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(#) don't you know i got your eyes (elias) Empty07.05.24 16:52



don't you know i got your eyes
w/ @Elias Hegel  



Il s'était rendu sur le campus avec un peu d'avance pour relire ses notes et peaufiner sa présentation. Assis sur une chaise de la cafétéria, il avait laissé ses prunelles s'accrocher aux visages des étudiants qui passaient dans un ballet parfaitement exécuté. Dix minutes à siroter un café médiocre qui lui avait arraché une grimace, le palpitant s'était serré et ses espoirs s'étaient emballés lorsque les iris s'étaient ancrées sur une silhouette qu'il pensait reconnaître. Chevelure d'un brun profond. C'est le rire que l'étudiante avait lâché qui avait mis fin à ses maigres espoirs. Ce rire n'avait rien en commun du son lumineux pour lequel il aurait pu se damner. Ce n'était pas Alessia. Profondément déçu, il avait terminé l'immonde breuvage noir  d'une traite avant de quitter la cafétéria pour se rendre à l'auditoire.

Besace sur l'épaule, il avait rejoint l'amphithéâtre qui lui avait été indiqué dans l'échange d'e-mail d'un pas rapide. Sous l'œil des premiers étudiants il s'était installé, avant d'aller serrer la main du professeur en charge du cursus de journalisme. Il avait ri à la blague de ce dernier. « Enfin là ! » Ce moment il l'avait longtemps repoussé Hector. Pas par peur de parler devant une assemblée mais par manque de temps. Les allers et retours à Miami qui avaient rythmé sa vie des années durant ne lui avaient laissé que très peu de répit. Aujourd'hui de retour pour une durée indéterminée, il avait fini par accepter l'invitation de la faculté de communication.

Une demi-heure de présentation suivie d’une heure de questions et de débats. D’abord sur la réserve, les étudiants et étudiantes présents s’étaient rapidement prêtés au jeu et les échanges étaient vite devenus animés et passionnants. L’heure avait filé sans que le chilien n’y prête une réelle attention.

« Il faudra revenir rapidement, c'était passionnant ! » Il relève la tête pour offrir un sourire au professeur tout en glissant son ordinateur portable dans son sac. « J'y penserai. Ils sont passionnants vos étudiants, ça donne un peu d'espoir pour l'avenir. » Le professeur lui offre une tape amicale sur l'épaule, des remerciements. Puis, le voilà seul alors que l'amphithéâtre se vide. Hector s'empresse d'empaqueter ses dernières feuilles volantes lorsque son regard se pose sur un étudiant qui s'approche de lui. « Bonjour. » Il reconnaît le jeune homme assis au premier rang. Il n'a pas posé une seule question mais semblait pourtant suspendu aux lèvres du journaliste. « Vous avez encore une question ? » Il pointe d'un geste vague les portes de l'amphithéâtre. « J'allais partir mais je ne suis pas à une minute près. » Ses iris qui glissent sur la montre qu'il porte au poignet avant de s'accrocher aux prunelles chocolats du jeune.


#Membre #Miami
Elias Hegel
Elias Hegel
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FACECLAIM : Aron Piper
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STATUT CIVIL : célibâtard, incapable d'entretenir de relations sérieuses, adepte des coups d'un soir, sans attache, fait souffrir.
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(#) don't you know i got your eyes (elias) Empty08.05.24 10:36

-- don't you know i got your eyes


@Hector Rivas

Il vient à toi. Presque aucun effort pour le retrouver. Le retrouver, à vrai dire c’était déjà chose faite. Six petits mois d’enquête ont suffi à retrouver son lieu de travail et même sa baraque. Tu n’as pas franchi le pas, tu es longtemps passé devant chez lui pourtant. Mais tu ne t’es jamais arrêté, le manque de temps ou ne sachant pas comment l’aborder.
Mais aujourd’hui, il te fait face. Assis au premier rang, tu admires ton père tel un Dieu. Tu bois ses paroles, tu l’écoutes, il captive l’assemblée et tu comprends pourquoi ta mère est tombée amoureuse d’Hector. Il sait y faire, c’est clair. Journaliste de renom, tu es plutôt fier d’assister à ce cours. T’es clairement pas dans la bonne partie de l’université, tu n’as même rien à faire ici. Mais tu t’es glissé parmi les autres étudiants pour le voir, et saisir enfin cette opportunité qu’Hector t’offre, malgré lui.
Tu as toujours cru que ton père t’avait abandonné de son plein grès. Il met en cloque sa nana et se barre, du grand classique chez les mecs qui manquent clairement de virilité. Ne voulant rien assumer, laissant une femme seule avec son enfant. Tu as grandi en espérant que ton père était mort dans d’affreuses souffrances. Tu as beaucoup vu ta mère pleurer le soir, tu n’as jamais su les vraies raisons, mais tu as toujours pensé que c’était de sa faute. Et puis elle t’a tout avoué il y a six mois. Qui était Hector, sa rencontre avec lui, tes grands-parents qui l’ont obligé à le fuir, sans rien lui dire. Hector ne sait rien de ton existence, et la faute revient à ceux qui t’ont élevé. Le temps n’est plus aux reproches, ta mère est malade, tu ne veux pas la faire souffrir davantage. Bien sûr tu as mal digéré la nouvelle, tu as le sentiment d’avoir perdu du temps. Mais maintenant que tu sais la vérité, tu veux connaître ton père. Parce que tu as toujours manqué de ce p’tit quelque chose dans ton enfance. Cette voix masculine qui pouvait t’aider dans tes devoirs, te conseiller sur la vie, t’apprendre des valeurs, t’éviter de faire des conneries. Tu ne rattraperas rien avec Hector – encore faut-il qu’il accepte de t’écouter. Encore faut-il qu’il t’accepte tout court.

Tu l’écoutes, mais ton cerveau divague parfois. Est-il marié ? Tu l’imagines grande, brune une belle femme avec de l’assurance. Des enfants peut-être ? Dans cette université ? Pas de Rivas du côté des arts en tout cas.
Le temps files, trente minutes passées en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Quelques questions des étudiants. Ta jambe bouge, presque toute seule, signe de ton stress, de ton impatience. Que faire ? Partir comme tous les autres, l’assemblée commence à se lever, se disperser, tu entends des commentaires «  quel charisme » « j’aimerai faire comme lui » ou encore «  quel égo de merde ». ça te fait sourire. Ton père divise et tu adores ça. Tu prends ton temps pour ranger tes affaires, aucune note de prise, tu as un cerveau qui n’oublie rien. Tu te lèves et t’approche de lui. C’est maintenant, ou ça ne le sera jamais.

Tu es perturbé par son bonjour. Tu te perds dans son regard, avale ta salive, presque bruyamment. Il impressionne Hector, il a le regard profond et ça te déstabilise. Tu l’écoutes, et tu finis enfin par prendre la parole « une minute ne va pas suffire. » Tu fuis un instant l’homme qui te fait face, passe une main dans tes cheveux, essaie de reprendre le contrôle que tu es entrain de perdre. La panique sans doute, la peur de sa réaction, toute ton assurance semble presque être parti. Alors nerveux, tu enchaines, sans penser aux conséquences que tu t’apprêtes à faire vivre à cet homme. « Ester Hegel ça vous parle ? » tu ricanes, « évidemment que ça vous parle. » tu replantes tes yeux dans ceux de ton paternel, le regard sérieux, profond. "Vous êtes mon père." Pas de pincettes, y'en a jamais eu avec toi.


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Hector Rivas
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OCCUPATION : Journaliste, fouille merde en chef, connu dans le monde du journalisme pour avoir gagné le prix pulitzer il y a sept ans. Carrière mis en suspend, ne travaille plus que sur des articles mineurs depuis son retour à Miami. Son temps libre, il l'investit sur son livre d'illustration destiné aux enfants.
STATUT CIVIL : Célibataire, coeur bousillé par ses propres conneries. La bague de fiançailles tristement abandonnée dans son écrin.
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(#) don't you know i got your eyes (elias) Empty13.05.24 15:36



don't you know i got your eyes
w/ @Elias Hegel  


Ce regard sombre qui se pose sur lui. Impression fugace d'un déjà-vu qui s'élève et se dissipe aussi rapidement que le battement d'aile d'un colibri. Le jeune homme se tient devant lui et malgré son menton haut et son regard perçant, il y a cette drôle de lueur qui voile son iris. Hector l'observe en silence, sans réussir à mettre le doigt sur la soudaine émotion qui l'habite. Une minute ne suffira pas. Le ton grave qui s'élève lui indique que son instinct a tapé juste. Une vie à travailler auprès du genre humain, à jouer les inspecteurs en herbe à sa façon. On y gagne quelques réflexes. Les sourcils du chilien qui se froncent face au sérieux de l'étudiant, qui le regarde comme s'il cherchait à le convaincre de quelque chose que lui-même n'arrive pas à formuler. Il a la soudaine impression de se voir plus jeune, lorsqu'il montait au créneau pour gueuler ses idéaux en essayant de convaincre ses collègues de signer ses pétitions. Sans un mot, sans bouger, il observe le jeune gagné par une certaine nervosité, puis la bombe est lâchée. « Ester Hegel ça vous parle ? » L'habituel flegme qui se fissure, brèche dans le cœur qu'il n'a jamais réellement su colmater. Des paroles qui réveillent les morts, dépoussiérant ses vieux fantômes. Ester était son premier amour. Une rencontre dans un club de débat. Le cerveau qui fait remonter des bribes de souvenirs qu'il avait enfoui à double tour dans le plus profond de sa mémoire. Ester et son sourire, qui avait le don d'illuminer la pièce, son monde. Il n'a pas vraiment le temps d'encaisser la surprise d'entendre ce nom tût tant d'années que le jeune enchaîne rapidement, comme s'il se brulait les lèvres des mots balancés à l'urgence apparente.

Il s'attendait à tout sans réussir à formuler le moindre scénario dans son esprit tant la surprise l'a rendu léthargique. Puis voilà que le jeune homme lâche cette vérité qu'il brûlait de partager. D'une traite, ses yeux plongés dans ceux de l'homme. « Vous êtes mon père. » Les minutes se figent et son monde se bloque, déraillé par les quatre petits mots qui viennent lui retourner l'estomac. Les yeux mordorés du jeune plongés dans les siens, ceux-là même qui, deux minutes avant, lui faisait se demander où est-ce qu'il avait bien pu les croiser. Ce regard qui lui renvoi soudainement sa propre image dans la glace. « C'est une blague ? » C'est une putain de blague. Le ton dur, les barricades qui s'érigent comme instinct de protection alors qu'un faible rire s'échappe de ses lippes. Le regard qui balaie l'amphithéâtre désormais vide, à la recherche de la caméra cachée. Il est habitué aux courriers des lectures qui lui prêtent tout un florilège d'insultes ingénieusement fabriquées. Aux menaces plus ou moins sérieuses. Il ne s'attendait pas un jour devenir la victime d'une face aussi grotesque. Il aimerait partir d'un rire tonitruant, lâcher une frappe sur l'épaule du jeune à l'humour douteux mais reste figé, piégé dans ce monde et cette réalité que les aveux viennent de chambouler à jamais. La question plus rhétorique qu'autre chose. Le jeune à cette lueur au fond du regard qui l'anime. Il n'est pas venu ici pour rire, le faire sourire. Puis, alors qu'il se sent sombrer dans un flot de pensées et de questions qui l'assaillent, son regard s'arrête sur le grain de beauté que l'étudiant arbore. Au coin de l'œil droit. Comme Ester. Il se sent vaciller mais reste fier et droit. Encaisse le coup, sans réussir à encore accepter cette drôle de réalité. Perdu entre l'impression que tout ceci est un rêve dont il se réveillera sous peu, sans parvenir à se défaire de la drôle d'impression que le jeune lui dit la vérité.

« Et qu'est-ce qui vous fait penser ça exactement ? » Le ton moins sûr qu'il ne l'aurait souhaité, il ne peut s'empêcher de le questionner. L'impression d'entrer dans son jeu, prit entre deux feux. La rationalité qui le pousse à refuser cette vérité qu'il ne peut admettre et son cœur qui reconnaît la soudaine fragilité qui habite ce jeune qui prétend être son fils. Se peut-il ? Son fils ? Le regard d'Hector s'adoucit. Sans laisser le temps au jeune homme de répondre, il récupère ses affaires, balance la lanière de sa besace sur son épaule et l'invite d'un geste de la main. « Tu sais quoi, on peut pas parler ici. Je te paie un café. » Le ton soudainement plus familier alors que le tutoiement se glisse dans la conversation. La tête en vrac et le cœur qui bat un rythme effréné entre ses côtes, les jambes flageolantes, il s'élance, sans vraiment prendre la peine de vérifier si le jeune homme le suit. Retour à la cafétéria. Lui qui s'était juré de ne plus gaspiller son argent dans le café de mauvaise qualité porte un regard bien différent sur la boisson qui, il l'espère, parviendra à calmer ses nerfs à vif.


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