Latata

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TW : alcool, mention de drogue

Percy l'a même pas eu l'temps d'profiter d'officialiser, d'visiter l'antre d'l'animal qu'est maintenant l'sien qu'déjà l'bouclé lui tirait l'oreille en hurlant qu'ils d'vaient rejoindre un Lucas en peine, l'a engueulé en l'traînant par l'oreille jusqu'au parking sans lui laisser en placer une, d'vant sa pauvre caisse violette l'a enfin lâché, lui fourrant les clés dans les mains en l'regardant d'cette manière mauvaise, les yeux plissés.

-- Si t'veux bien commencer cette relation pas un mot sur ma caisse quand tu la conduis.

Puis s'jette à l'intérieur du véhicule après avoir galéré à l'ouvrir, cogné contre la portière jusqu'à ce qu'elle veuille bien l'laisser rentrer. Ont pas mit longtemps avant d'prendre la route pendant qu'Alastor envoyait des messages à une précieuse amie, tenter d'demander conseils, tenter d'avoir une alliée sur c'terrain glissant qu'semblent être les amis du Percy qu'en parle pas énormément, d'jà beaucoup d'choses à comprendre entre eux pour rajouter l'bordel alentour mais quand ça envoie des signaux d'détresse comme ça, pas d'autres choix qu'tout plaquer pour surveiller l'pauvret.

-- ARRETE TOI LA!!

Lui appui sur la cuisse pour qu'il freine l'pauvre tacot dans un crissement de pneu, manque d's'emboutir avec la voiture d'derrière qui heureusement freine à temps.

-- J'ai promis qu'on ramènerait à bouffer... et j'ai faim.

Donne pas trop d'autres choix, la caisse arrêtée au milieu d'la voie, passe donc au guichet récupérer une commande qu'Alastor allonge en choisissant chaque article du menu sous les yeux d'un Percy impuissant qu'peut toujours pas en placer une. Quand ils récupèrent les milliers d'sacs qu'ils sécurisent sur la banquette arrière, s'échangent un regard qu'fait hausser un sourcil au belge.

-- Bah ça va j'sais pas c'qu'il aime ton pote et y a Lilly qu'vient aussi donc... Et puis j'ai faim!

L'reste du trajet qui s'fait relativement en silence parce que l'bouclé grignote une fraise sortie d'nulle part les yeux rivés sur son téléphone, une main sur un sac mcdo qu'lui réchauffe les cuisses, l'autres sur la nuque du partenaire qu'il caresse distraitement.
Arrivent en quelques minutes à l'appartement, place de choix assez proche, sont chanceux. S'partagent la répartition d'tout les sacs qu'ils tiennent maladroitement parce qu'Alastor r'fuse de faire plusieurs trajets. Et là d'vant l'immeuble voit la jolie silhouette de Lilly qui les attend sagement avec des bouteilles d'vodka et d'tequilla en équilibre entre ses doigts.

-- AH bah toi non plus t'as pas voulu faire plusieurs trajets?

Et lui claque une bise sur l'front dans une salutation grotesque dont ils ont l'habitude maintenant. Les mains prises, réfléchis pas trop quand il lève l'pieds et l'écrase contre la sonnette pour avertir le Lucas d'leurs présence mais a pas l'temps de s'impatienter parce que Percy ouvre la porte d'entrée avec des clés les laissant pénétrer dans le hall.

-- T'aurais pas pu l'dire avant?? Ah au faite Lilly Percy, Percy Lilly, c'est une alliée pour ce soir pose pas d'questions.

Capte même pas si les deux s'reconnaissent parce que s'met déjà en route d'l'étage souhaité, les laissant derrière. Arrive d'vant le bon numéro, r'frappe lourdement avec son pied et quand ça s'ouvre sur un pauvre ami qu'a l'air au bord d'la crise de nerfs, ou en plein d'dans, Al il lui lâche tout sourire:

-- Percy m'a d'mandé d'officialiser! On a ram'né d'la bouffe. Et Lilly, t'connais pas Lilly c'est une amie, elle a ram'né d'la boisson parce qu'on va t'changer les idées mon p'tit- ... Wow t'ressemble à un cadavre mon pauvre, ça va?

S'tourne alors vers les deux accompagnants qu'sont derrière lui, lance une œillade apeuré à un Percy qu'sera sûrement plus doué qu'lui avec les mots et les émotions.

-- Aide moi...

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TW : alcool, mention de drogue, mort

C'est l'enfer en ce moment, tout s'enchaîne, je prend tout en pleine gueule et tout part en milles morceaux. Avec Iris c'est tendu en ce moment, elle en est même venue par me larguer par sms, c'est dire...Abandonné, encore une fois c'est ce que je ressens. J'ai cette douleur à la poitrine, celle que j'avais quand Luke mon frère jumeau est décédé. Quand j'ai apprit pour la tromprie d'Alaska, j'ai eu mal ô ça oui, mais je me rend compte que mes sentiments pour Iris sont bien plus fort que pour mon ex. Alors oui j'ai mal, j'ai juste envie de m'arrâcher le coeur. Si j'avais un autre cachet de morphine que m'a donné Alastor, je l'aurais prit. Ouais, de toute façon elle m'a largué alors autant oublier le temps de quelques heures non ?. Sauf que de la morphine j'en ai pas...alors je me lâche dans une autre sorte de douleur.

Mon regard est trouble par les larmes qui coulent sur ma joue, les cris retentissent dans tout l'appartement, tout comme les meubles qui volent. La lampe du salon vole à l'autre bout de la pièce, mon poing vient frapper dans le miroir de l'entrée. La corbeille de fruits chante "I believe i can fly" tout comme les pommes qui roulent sur le sol. Les chaises glissent mais ne se cassent pas. Je finis par tomber au sol dans le coin, à pleurer. Mes jambes remontés contre mon torse, mon visage enroulé de mon bras libre se cache contre mes genoux. Un cauchemars, c'est ce que je suis entrain de vivre. Putain de semaine, putain de morphine, putain de Lucas.

latata
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TW : alcool, mention de drogue, mort

En vérité, les messages d'Alfou étaient bien trop bizarres. Lui et moi, on n'est pas du genre à tourner autour du pot, encore moins quand il y a un problème. Je n'ai pas besoin de grand chose, un sms et je démarre. Enfin presque. Oui, je n'ai pas l'ambulance garée en bas de ma chambre d'étudiante. Logique, elle ne m'appartient pas.

Alors ça m'a pris un peu plus de temps. Ni une, ni deux, ni trois, j'ai ouvert mes réseaux pour relancer un mec utile. Oui, je catégorise mon répertoire. Il m'a suffit d'un émoji qui rougit et d'une fausse grand-mère malade pour qu'il vienne me chercher et me dépose à l'adresse indiquée. Je me suis arrêtée dans une épicerie prendre de quoi boire avec l'argent de mon chauffeur du jour. Vous pensiez tout de même pas que j'allais payer les "médicaments" avec mon argent ? J'ai pas d'argent, ok ? En revanche, pas de chance, les sacs sont en plastiques. Je ressors en tenant les bouteilles dans les mains et voilà que Joe le taxi me voit de loin. Il m'a cramée ! Tant pis, l'essentiel c'est que j'ai de quoi aider ce Lucas à oublier ses problèmes, au moins le temps d'une soirée. Alfou et moi, on s'occupera de lui rendre le sourire sur le long terme parce qu'on est comme ça nous.

Je n'ai absolument pas besoin de connaitre quelqu'un pour avoir envie de m'amuser avec ! La fête, la bonne humeur, y a que ça de vrai. Et puis, quand Alfoufinou me dit que telle personne mérite qu'on l'apprécie, ou pas, j'exécute. Je me suis retrouvée là, devant le bâtiment à attendre comme une cruche. Lorsque Al' arriva enfin, j'étais beaucoup trop joyeuse. J'essayais de canaliser mes émotions parce qu'il y avait quand même un Lucas blessé par balle là-haut. Mais comme d'habitude, quand je le vois, c'est plus fort que moi. Me voilà en train de montrer fièrement nos meilleures amies de la soirée en sautillant, sourire immense.

- Alfouuuuu ! Tu vas bien ? bisou bisou sur le front Je te présente nos copines du jour : "Résignation" et "Acceptation" ! dis-je en mettant en avant les bouteilles une à une.

Quoi, on est en deuil non ? C'est là que je le vois, Percy, LE Percy. "It was at this moment that he knew..." Mais je le connais en vrai ! C'est mon acolyte du casino !! Comment ai-je pu ne pas faire le rapprochement ? Des Percy il y en n'a pas des masses !! J'étais trop contente !!!

M'enfin, j'ai dû rapidement me calmer parce que l'heure n'était pas encore à la joie. Il y avait toujours le fameux Lucas là-haut, certainement en PLS. Je devais absolument contenir mes émotions. D'autant plus que Percy n'avait pas l'air d'aller très bien non plus. C'est son meilleur ami après tout. Donc je lui ai fait la bise en exprimant un petit "Ca va ?" qui n'attendait pas spécialement de réponse au vue de la situation, juste histoire de prendre la température et de ne pas perdre plus de temps à expliquer à Alfou comment on se connait etc. 

@Alastor Van Der Budenn @Lucas Weaver @Percy Haynes-Grayson

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TW : alcool, mention de drogue

L’décalage entre une officialisation rapide et une déchirure à la même allure de l’autre côté. Ton meilleur ami qu’a dû avouer ses sentiments à Iris à peu près en même temps qu’t’as rencontré Alastor. C’sentiment d’félicité amoureux que tu mets d’côté. Un partenaire qui prend d’jà les devants. Qui semble avoir des informations que tu n’as pas. Qu’tu ne comprends pas, si ce n’est au message de Lucas “j’ai pris de la morphine”. L’fumigène qu’éclaire tout Miami. L’homme si éloigné des consommations addictives qui sombre dans ce qu’il croit en être sa seule issue.
T’es pas pilote, encore moins dans la voiture dont tu crains que la carcasse s’en aille, ne vous laissant qu’les sièges et les roues pour avancer. T’marmonne des “on commencerait bien si t’étais un bon co-pilote” mais t’réserves le moindre commentaire, parce que vous n’avez pas l’temps pour ça. L’impression qu’les secondes sont comptées dans ce sauvetage. Un Lucas qu’vous pouvez laisser seul, à nouveau, dans une détresse. L’belge qui t’en dit pas bien plus, s’arrêtant à un fast food qui semble durer une éternité tant il commande.

La p’tite qui désigne "Résignation" et "Acceptation”, t’peux t’empêcher un rire sourd face à l’énergie d’la brune. Puis en t’approchant d’elle lorsque t'ouvres la porte de l’appartement, t’reconnais ce parfum de sugar baby. Le sucré d’la tentation. “Lilly, c'est une alliée pour ce soir pose pas d'questions.” Elle compte dérober Lucas ? Quel serait l’tour de magie dans l’sac ? Un lapin ? D'l'alcool visiblement. T’as pas trop l’espace de réagir davantage, si ce n’est que tu réponds à son “Ca va ?” par un “T’as dérobé l’barbu de l’autre fois pour ces bouteilles vitales ?” aucune méprise dans l’intonation d’la voix si ce n’est une complicité volage, toujours admiratif d'ces talents.

T’entends même pas les mots qu’Al quand vous arrivez dans la pièce. Ta gorge qui se noue au constat. Le souvenir brutal d’un Lucas rongé par un mélange d’tristesse, d’dégoût, d’haine, lorsque son amour l’a brisé en mille morceaux, répartissant les pièces partout mais nul part dans l'cœur du Lucas qui s’acharne en vain d’retrouver un semblant d’confiance. En lui, en la vie, en elle. Elle dont l’absence te frappe au visage. T’prends du sac d’Alastor un des sodas parce qu’tu te souviens comment il a géré ta propre crise. T’répètes des gestes qu’ont pu t’aider. Tu t’assois en tailleur devant l’ami en murmurant “J’crois c’est du coca mais si t’as b’soin de plus fort y’a Lilly qu’a pris de quoi” T’gardes une distance, parce que si tu aimes quand Alastor te prend dans ses bras, tu n’aimerais pas, dans cette situation, qu’un ami le fasse. Donc t’tentes de le raccrocher au présent par la voix “Il s’est passé quoi au juste Lucas ?” et le message de Lucas plus tôt dans la journée n’est qu’une dissimulation. Euphémisme d'la douleur qu'il doit subir depuis longtemps. “Prenez votre temps" qu’il disait. Mon cul. T’sais pas si vous allez avoir affaire à un Lucas auquel va falloir arracher les vers du nez, ou un Lucas si dévasté qu’il se videra à coeur ouvert. Mais vous êtes là. D’personnalité et d’amitiés différentes, et vous allez pas le lâcher.

latata
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TW : alcool, mention de drogue.

J'ai l'impression d'être dans un autre montre, dans le Multivers oui c'est ça, ça ne peut qu'être ça non ?. Hélas, c'est bien ma réalité. Tandis que je m'écroule sur le sol, je sens que mon épaule crit au secours à cause de la douleur. J'ai du faire sauté un point ou deux, je sais pas, car en même temps, j'ai un peu ma seule main de disponible en sang. Ah oui, j'ai pété un miroir, merde tant pis. Je finis par entendre du bruit et en quelques secondes, je vois la tête d'Alastor qui me dit ressembler à un cadavre devant la porte de mon appartement. Je ne relève même pas, je ne fais attention à rien en vrai, je laisse la porte ouverte et retourne dans mon coin. Ouais, il est bien mon coin, j'y suis bien.

Quand je lève le regard, mon regard ce dernier toujours aussi trouble se pose sur Percy et sa canette de coca. "Lilly ? Ne me dites pas que vous avez ramené une strip-teaseuse", je râle en attrapant la canette de ma main rougit par un peu de sang. "Elle m'a largué mec...par sms, comme une merde", je répond en reniflant. Je regarde derrière mon meilleur ami, observe Alastor. Ils vont réellement faire mes nounous ?. Je vois ensuite une fille. Lilly ? Ah ouais rien d'une strip-teaseuse. "Hm désolé", dis-je à la jeune femme.

@Alastor Van Der Budenn @Lilly Bell @Percy Haynes-Grayson

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TW : alcool

Même pas l'temps d'causer plus qu'le Lulu il va s'mettre en boule dans un coin et ça l'rend triste d'le voir comme ça son pote, parce qu'ils s'sont jamais vu qu'en soirée à faire les cons alors c'sûr qu'ça change bien soudainement. Donc il laisse Percy s'en approcher en premier, reste sur l'pas d'la porte avec Lilly et leurs 240 sacs d'provisions. "Lilly ? Ne me dites pas que vous avez ramené une strip-teaseuse" et il explose d'rire le bouclé en s'tournant vers la brune, s'marre comme un morse en l'observant.

-- UNE STRIPTEASEUSE!! T'l'as pas déjà été? T'sais quand on avait voulu dépouillé l'autre débile là... Comment s'appelle... L'ex d'Fab... SI t'avais dansé avec une perruque bleu! Même que Al elle avait-

"Elle m'a largué mec...par sms, comme une merde" L'Belge qui s'coupe dans son élan en entendant la révélation, tourne la tête vers les deux par terre, les yeux écarquillés, en fait finalement tomber les sac d'bouffe sur l'sol, une main sur l'front, dans son étonnement, arrive pas trop à r'mettre le puzzle en place là.

-- La meilleure amie d'enfance là elle t'a largué par texto alors qu't'es dans cet état?

Effaré par la situation, en perd les mots, quoiqu'il en aurait des bien choisis concernant une blonde qu'il n'a rencontré qu'une seule fois mais pense pas qu'ce soit l'moment d'les sortir, ou peut-être? Sait vraiment pas trop quoi faire alors s'retourne à nouveau vers l'alliée dont décidemment il a bien besoin.

-- Nan mais t'vois j't'avais dis la manière dont t'as rompu elle était pas si dégueulasse qu'ça hein.. File moi donc résignation parce que j'suis sur l'cul là mon raton.

Lui pique des doigts la tequila sans l'attendre, pas patient pour un sous, ouvre la bouteille dans une pichenette sur l'bouchon qui vole dans l'appartement dont il remarque enfin l'bordel. Observe les alentours en prenant une longue gorgée. "Faudrait faire l'ménage" qu'il pense soudainement. Il finit par fermer la porte d'entrée, reprend une gorgée et tend la bouteille à Percy qu'est toujours accroupi près de l'écorché.

-- J'pense pas que l'coca fera grand chose à c'stade. s'tourne à nouveau vers Lilly L'un d'vous m'fait ça j'le pend par les racines puis j'me jette j'crois..

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TW : alcool, mention de drogue, mort

Lorsque Percy m'a lancé sa référence au vieux barbu de la "dernière fois" je n'ai pu m'empêcher de pouffer de rire, me forçant à garder la bouche fermée pour pas casser l'ambiance "SADNESS". Non pas que cette anecdote était plus amusante qu'une autre, plutôt parce que j'étais incapable de me souvenir de quel barbu il voulait parler.

A peine la porte ne s'ouvre que le soldat retourne se mettre à terre. Pendant une fraction de seconde, j'ai cru voir du sang sur sa main. J'ai très vite détourné le regard afin d'éviter le malaise. Manquerait plus que je m'effondre aux côtés de Lucas. Percy entra le premier dans l'appartement. "Lilly ? Ne me dites pas que vous avez ramené une strip-teaseuse"

>>WATCH MY REACTION<<:

-- UNE STRIPTEASEUSE!! T'l'as pas déjà été? T'sais quand on avait voulu dépouillé l'autre débile là... Comment s'appelle... L'ex d'Fab... SI t'avais dansé avec une perruque bleu! Même que Al elle avait-

On s'est directement regardé avec Alfou. J'ai loupé le message qui disait que j'avais un show à faire ce soir ? Oui, je l'avais déjà fait... comme beaucoup d'autres choses d'ailleurs. Alalala cette perruque bleue qu'est-ce que je l'aime ! Je sais pas, quand je l'ai vu je me suis tout de suite dit que le meilleur accessoire était la nudité.

Dans mes oreilles c'était brouillon. Percy qui jouait son rôle de meilleur ami, Alfou animé par la situation, qui ne filtrait aucune de ses réactions aux tristes nouvelles d'un Lucas en PLS et moi, la strip-teaseuse ? Non c'était trop pour moi.

-- -- Nan mais t'vois j't'avais dis la manière dont t'as rompu elle était pas si dégueulasse qu'ça hein.. File moi donc résignation parce que j'suis sur l'cul là mon raton.

-- -- Et moi donc... si j'avais su que je venais pour poser le miens sur les genoux du soldat Rayan... j'aurai apporté la perruque bleue. là, j'ai ris

Je m'avançai dans l'appartement, déposant l'autre bouteille sur le comptoir. Etant un peu sans gêne, je m'installai sur le rebord du canapé observant Alfou s'hydrater à la tequila. Sans un mot, je pointai du doigt la bouteille pour qu'il partage un peu parce qu'à ma droite il y en avait un avec du sang sur la main... J'avais besoin de force.

-- J'pense pas que l'coca fera grand chose à c'stade. L'un d'vous m'fait ça j'le pend par les racines puis j'me jette j'crois..

J'avoue que même si mon excuse pour quitter Alfou avait été un peu bidon, j'avais au moins eu la présence d'esprit de le faire en face. Bien que je passe ma vie à faire des mauvais coups aux hommes, quand quelqu'un a compté pour toi, il y a des formes à mettre en place.

D'ailleurs en parlant d'amour, c'était la première fois que je voyais Alfou avec un garçon. Sur le moment, ça m'a fait bizarre. Je n'ai pas pu m'empêcher de regarder mon reflet sur l'écran noir de mon téléphone. Je positionnai mon index au dessus de ma bouche en guise de moustache. Petit haussement de sourcil avant de regarder autour de moi du coin de l'œil. Mince, je me sens stupide, ça ne veut rien dire, je cesse immédiatement.

@Alastor Van Der Budenn @Lucas Weaver @Percy Haynes-Grayson

latata
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TW : alcool, traumatisme

“une strip-teaseuse” t’regardes autour d’toi, voyant les deux complices rirent d’propos que t’entends pas d’ici. T’comprends juste qu’elle le prend pas mal, semble presque fière. Donc tu t’tournes vers Lucas d’un regard joueur “T’aurai aimé ?” mais t’as pas l’temps de blaguer qu’la vérité te claque à la gueule. Comment ça elle l’a plaqué ? “COMMENT CA ?” T’cris sans trop t’en rendre compte. “J'veux dire...” Une profonde respiration. T’comprends pas qu’on puisse parler ici d’Iris et Lucas. “La meilleure amie d'enfance” qu’ont tout vécu ensemble, tu les voyais ensemble d’une facilité déconcertante. Certes les discussions qui s’faisaient difficiles entre les deux, mais tu t’disais qu’il est juste compliqué de passer de la bulle d’bonheur aux réalités du couple. T’pensais pas que ça irait jusque là.
T’vois Al qui te tend la bouteille, t’en glisses sans entrain dans l’verre du Lucas qu’sombre sans lueur. La tequila qu’passe ensuite dans les mains de Lilly, bâton d’survie face à l’annonce. “puis j'me jette j'crois..” T’jettes un regard d’grenouille ébahie à ton partenaire. “Ca lui donne une belle idée ça tiens” qu’tu réponds en jetant un regard au corps du Lucas qu’ressemble plus à un cadavre, déjà jeté dans le pré de l’Asphodèle. L’âme sans substance en face de vous. Tu t’lèves avec difficulté, passant d’vant une Lilly qui s’amuse avec un doigt. T’arque un sourcil, manquant la pièce d’puzzle qu’expliquerait son geste. “T’regarde si tu serais belle en drag king ?” la question qu’fait référence au show qu’elle semblerait être capable  d’faire. Parce qu’t’as entendu “perruque” plus tôt, et tu l’imagines avec une moustache à la Gomez Adams. L’corps s’baisse en direction des sacs, nécessité d’soft dans ton verre. T’donne donc des gobelets remplis à Lilly et Alastor, par réflexe poli, sans vraiment savoir s’ils en ont besoin tant tu les vois boire à la bouteille. T’penses à l'alcool que tu ne sais pas digérer, qu’tu bois trop peu pour y faire face. Mais malgré tout, t’verses d’la vodka dans ton coca. L’verre en l’air, incapable d’boire sans trinquer. “A la lâcheté” qu’tu balances dans un murmure, parce que tu vois qu’ça, dans ton appréciation d’une amie qui s’perd dans des attitudes qu’tu comprends pas. Ca te semble inimaginable d’laisser un proche sous trauma avec une telle facilité. Si tu vois que l’côté d’une pièce, n’empêche que l’Lucas s’enfonce dans son coin, la main pleine d’sang. Tu jettes un oeil à Alastor, incapable d’gérer quoi que ce soit médical, même si c’est pour lui enrouler une serviette de pq autour des phalanges. Puis, tu t’glisses contre le mur non loin d’Lucas. “Et elle a une raison ?” que tu demandes avec amertume. L’gorge nouée d’une déception qu’porte le nom d’Iris.

latata
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TW : alcool, mention de drogue.

Je vois Alastor en premier, puis Percy. J'entend ensuite qu'une nana est avec eux et là, je me dis clairement que la strip-teaseuse n'est pas la bien venu. Non je m'en tape de voir une femme nue ou presque, autre qu'Iris. Sauf que là, en entendant à peu près les réactions des uns et des autres, je me rend compte que c'est une amie des garçons ou du moins, qu'ils la connaissent. Je m'excuse auprès de la jeune femme, répond à Percy qu'Iris m'a largué par sms. -- La meilleure amie d'enfance là elle t'a largué par texto alors qu't'es dans cet état?, je hausse les épaules en répond à Alastor. Le cris de Percy me fait grimacer, je lui tend alors mon téléphone, sur les sms d'Iris. "Tiens, amuse toi à lire, j'ai pas la force", dis-je en soupirant. -- J'pense pas que l'coca fera grand chose à c'stade. L'un d'vous m'fait ça j'le pend par les racines puis j'me jette j'crois.., c'est Alastor qui dit ça. Je lève les yeux un instant vers lui, il est trouble. Je m'essuie les yeux comme je peux avec mon t-shirt, toujours trouble. J'observe enfin la jeune femme, que je ne connais pas. Elle se chatouille une moustache invisible où que sais-je. Ils sont tous tarés ma parole. Et elle a une raison ?”, que me demande Percy...."Seulement ce que tu peux lire là dedans", c'est-à-dire pas grand chosse. Je finis par me redresser, observe le bordel que j'ai foutu, puis ma main en sang. "Merde...", j'attrape une bouteille d'alcool qui semble tourner, en verse sur ma main. Ca pique bordel, j'ai l'impression d'avoir la feu en main, mais au moins, ça désinfecte. "T'es qui au fait ?", je demande à la nana, que je ne connais ni d'Eve, ni d'Adam.

@Alastor Van Der Budenn @Lilly Bell @Percy Haynes-Grayson

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TW : alcool

Un r'gard de crapaud qui lui ait lancé par l'Percy, s'demande s'il l'a pas déjà vu c'regard, moins d'fois certainement qu'l'autre a reçu les foudres d'une volaille énervée. Hausse les épaules à l'apostrophe du brun, s'décale un peu histoire qu'ça lui vienne pas à l'esprit d'lui ficher une pichenette aussi maintenant qu'il le peut.

-- Oui oh ça va j'lui ai pas dis d'le faire non plus...

Observe la bouteille passer d'main encore pour rejoindre la Lilly qu'il voit s'fourrer un doigt sous l'nez, fronce les sourcils d'stupeur et s'demandant si ça fait un truc s'fourre un doigt sous l'nez aussi en louchant d'ssus pour tenter d'le voir sans grand effet. Profite du fait qu'l'amoureux soit levé parce que quand il d'mande si elle s'trouve belle en dragking, ou baragouine un truc du genre, l'bouclé il lui fourre aussi l'doigt d'sa main libre sous l'nez. Mais l'est bien déçu.

-- Change pas grand chose sur toi...

Et l'laisse partir afin d'servir des verres. Sauf qu'le malotru capte pas trop pourquoi il sert ça, pense connement qu'ça va finir en beerpong donc quand il lui est refourgué dans les mains, l'dépose sur la table, quand ça trinque à la lâcheté, il récupère la bouteille des mains d'Lilly et boit une autre gorgée sans rien dire parce qu'il croit bien qu'le Lucas s'rait pas d'humeur pour des insultes contre sa douce. R'donne la dite résignation à la brune parce que soudainement un téléphone qu'est échangé paraît bien plus entraînant. Enjambe alors un des nombreux objets cassés par terre pour s'glisser contre le mur à côté d'Percy à qui il donne un baiser sur l'coin des lèvres puis s'blotti contre lui afin d'allègrement lire les messages sans aucune gêne certaine pendant qu'ses deux mondes s'rencontrent d'la plus cocasse des manières. Mais quand y a l'sujet d'la morphine qui s'affiche et lire qu'le Lucas l'a protégé contre la fureur sans fond d'celle qu'il aimait, il s'sent soudainement un peu con. Lâche aussi sur les bords. Quitte donc l'étreinte du brun afin d'se lever et s'approcher d'son sac qu'il a lâché avec les poches mcdo, en sort un vieux t-shirt d'frippe qu'il plie d'une certaine manière afin d'revenir vers le blessé qu'a déjà désinfecté à coup d'téquila la plaie pour venir y serrer l'tissu et le maintenir en place par un nœud d'marin  qu'est laid mais bougera pas d'la nuit.

-- Reste pas d'bout comme ça et va t'asseoir..

Lui laisse par vraiment l'temps au Lucas d'accepter l'ordre parce qu'il le pousse sans ménagement à prendre place sur l'canapé à côté d'Lilly à qui il pat pat la tête au passage.

-- Elle est là pour servir d'oreille externe et d'conseils féminin. Percy il est là pour jouer la Suisse qui connaît aussi bien ta blonde qu'toi et moi j'suis là pour gueuler qu'c'est pas une nana bien. Comme ça t'auras toutes les voix possible. Et on t'enfoncera pas là où tu veux pas forcément être.. On t'aidera à ranger d'main Percy et moi ok? Ce soir juste.. Profite d'nous pour t'laisser aller.

latata
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TW : alcool, mention de drogue, mort, pouce dans l'oeil

Bon, visiblement la discrétion c’était pas vraiment mon fort. Pourtant, quand je fais les poches, ça fonctionne très bien. A croire que ces trois là avaient les yeux rivés sur moi. C’était le coup de la strip-teaseuse qui avait rallumé leurs boules à facette ? J’aurai bien pu dire que je me sentais stupide avec mon geste, mais… la stupidité c’est un peu ma signature, alors j’étais contente ! J’ai souris fort !  “T’regarde si tu serais belle en drag king ?” Le Percy venait de me donner une idée. La prochaine fois, je tente de me grimer en garçon sur Tinder, je suis certaine que le coté androgyne peut plaire et me rapporter un petit virement Pay-pal bien sympathique. Ça paiera la nourriture pour le poisson que je n’ai pas.

Malgré la petite pique du Percy, il me rapporta un gobelet Mcdo. Je retirai le couvercle en carton. Ouais, parce qu’ils ont enfin compris que le plastique c’est mauvais pour la planète ! Afin de découvrir sur quelle boisson j’étais tombée. Orangina ! Toujours mieux que leur coca-cola infect surtout avec les glaçons là, beuuuuuuurk. Pour être totalement honnête, je n’étais pas vraiment concentrée sur les malheurs du pauvre Lucas. Mes oreilles captaient des petites informations croustillantes par-ci par-là, mais l’amour et moi… Alors attention, je trouve ça super mignon, je rêve d’être amoureuse, mais je crois que j’ai pas trop compris les règles du jeu. En fait, je ne comprends pas comment on peut se briser de la sorte. L’objectif c’est pas juste les câlins et le romantisme ? Mouais, ça me dépasse, je ne dois pas être faite pour ça !

-- A la lâcheté

-- Hein ?

A peine le temps de sortir de mes pensées qu’Alfou m’arrache la bouteille. Meh ? Je me suis retrouvée, encore une fois, un peu bête la main en l’air qui avait gardé la forme de la bouteille. Je regardai mon pauvre Orangina. Je ne pouvais quand même pas trinquer avec du soft ! Si ? Heureusement il lui fallut pas longtemps pour siffler ses grosses gorgées et me renvoyer la bouteille. Cette fois-ci je versai un peu de cette magnifique potion magique dans mon gobelet. Je ne me ferais plus avoir.

-- T’es qui au fait ? 

-- Hm ?

Je levai les yeux en sa direction, je n’avais même pas remarqué qu’il s’était levé celui là ! Bwah, il avait du sang partout c’était immonde, je sentis mon Orangina remonter à la surface. Je baissai immédiatement la tête, me mordant la langue pour faire diversion à mon envie de vomir, les yeux écarquillés.

Merci de répondre à ma place Alfou, toujours là pour moi celui-là. Je repris une gorgée puis, je tendis la bouteille de tequila à Alfou et déposai mon verre sur la table basse. Je plaçai mes doigts en forme de cercle autour de mes yeux pour en faire des lunettes. Ouais, j’ai de l’imagination. Pis je fermai les yeux pour regarder Lucas. Pratique.

— Lilly enchantée ! Alors comme ça en l’espace d’une semaine t’as enchainé coup de foudre, coup d’fusil et coup d’pute. Soit rassuré, maintenant je suis là pour le coup d’pouce !

Je retirai mes lunettes pour lui envoyer mon pouce. Sauf que les yeux toujours fermés, je crois que je lui ai foutu dans l’oeil… Non ? Dites-moi ?

@Alastor Van Der Budenn @Lucas Weaver @Percy Haynes-Grayson

latata
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TW : alcool, usage récréatif de drogue, traumatisme

Le portable qui t’est tendu, t’remontes le doigt pour arriver à des messages plus anciens et t’concentres. Tu sens juste les lèvres d’Al sur toi, l’visage qui vient lui voler un baiser furtif. Quand son visage se blottit ensuite, tes mains qu’viennent le serrer contre toi.
“Bah fais toi plaise avec tes potes, moi j'arrête les frais Lucas.”
T’ris jaunes. Comme si Lucas était un cas désespéré qu'le groupe soignait depuis des années.
“"les potes avant les putes".
Ravie d'avoir été l'une d'elles. Au moins je sais où je dois me placer.”
T’comprends pas non plus à quel moment elle a eu l’impression d’être considérée comme telle.
“Je vais pas te frapper dessus pour que tu me parles.” t’lances un regard complice à Alastor, t’aurais envie d’lui susurrer les boîtes mais t’gardes bien cette idée. Or il se lève soudainement, comme si sa curiosité avait été remplie d’un seul coup. T’suis pas pourquoi mais tu continues de scroller. Petit à petit, tu sens une colère dans les messages d’Iris que t'aurais jamais su possible devant son meilleur ami, et le sms “J'ai aussi besoin de temps pour moi et tu l'as mal pris.” vient sûrement t’faire réaliser. Le braquage, le trauma qui peut s’en suivre. T’ressens une empathie face à une fille qui semble chuter. Sans morphine mais tout aussi fort. Cependant tu n’peux cautionner une facilité aussi déconcertante à se séparer d’un être cher. T’comprends pas comment, au-delà même de la communication, les émotions n’ont pas été comprises entre les deux amoureux. T’comprends aussi qu’il n’y a pas grand chose à  faire dans une histoire où tu sens des énergies si différentes entre les deux protagonistes. Tu lèves les yeux pour chercher Lucas du regard, sa main qu’est entourée d’un vieux t-shirt, le corps affalé dans un canapé. Plus aucune trace du sang si ce n’est qu'une tâche au sol qu’a un mélange rouge. T’arrives pas à parler de suite à l’écoute d’Alastor, parce que t’as pas vraiment l’impression de la connaître sa blonde, t’reconnais plus cette meilleure amie attentive à l’autre, qui est juste capable d’briser son propre meilleur ami. Et t’sais plus quoi dire. Pris entre les souvenirs d’une Iris et un présent déstabilisant, qu’plonge ton meilleur ami dans un état d’vie pitoyable. Le coup d’pouce qui s’enfonce bel et bien dans les yeux du Lucas, t’pousse un cri d’dégoût, cachant tes propres yeux des mains. “Lilly, sois là pour l’coup d’oeil je crois ça serait plus utile” que tu réponds simplement, la gorge un peu nouée d’déceptions. Quand tu te lèves pour rendre le portable à Lucas, tu n’peux t’empêcher de te coller à celui qui est devenu quelques minutes plus tôt ton officiel. L’besoin de l’sentir près de toi, la crainte d’le voir partir avec la même facilité qu’Iris. Son contact physique qui t’permet de te raccrocher, d’ne pas envoyer les émotions dans tous les sens. “Si j’fume vous allez vous offenser?” tu dis d’une voix amère, pensant aux propres messages d’une Iris qu’a rien compris à ta consommation d’drogue. Tu sors alors d'ton sac de quoi effriter l’tout. “Y’en a que ça intéresse ? Savoir si j’le charge ?” puis enfin, lorsque tu croises le regard d’Lucas, tes sourcils qui s’froncent dans une moue d’pardon “Je suis désolé qu’ça ait fini comme ça entre Iris et toi, vous méritiez pas cette fin” les mots qui résonnent dans un vieux grimoire qui s’ferme définitivement, plus aucune page d’libre pour celle devenue l’ex.

latata
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TW : alcool, mention de drogue.

Tout bouge trop rapidement autour de moi, j'ai l'impression de les entendre parler en même temps. Alors je donne mon téléphone à Percy, qu'il puisse lire de lui même les sms, qu'on ne puisse pas dire que j'ai inventé ou quoique ce soit. J'essaye de suivre, demande qui est la jeune femme qu'ils ont ramené si ce n'est pas une strip-teaseuse. Alastor m'explique le pourquoi du comment ils sont là, de qui à le rôle de quoi. Ah, je ne la connais ni d'Eve, ni d'Adam, mais la nana connait mon histoire ?. J'en profite pour désinfecter ma main, grâce à de l'alcool puis Al l'enroule d'un t-shirt. "Je peux te boxer maintenant ?", je lui balance en regardant ma main, qui ressemble à présent à un gant de boxe. Je me retrouve très rapidement sur le canapé aux côtés de Lilly, sous l'ordre d'Alastor. Je soupire, ne répond même pas mais la jeune femme prend la parole et me laisse sûr le cul. "Coup de foudre...hum pas vraiment, c'est compliqué...c'est...pas envie d'en parler...mais pour le reste ta juste !". Tous les coups ont été permis, même celui de ne même plus respecter ton meilleur ami, au moins de le larguer par sms. Pas le temps de souffler, que je me prend un pouce dans l'oeil. "Putain, sérieux ?", je râle en me levant, allant dans la cuisine pour me sortir une bouteille de whisky. Allez hop, cul sec. Enfin pas tout la bouteille hein, mais je prend une belle grand gorgée. Elle m'a fait mal la gourdasse. Je frotte mon oeil, cligne plusieurs fois en entendant que Percy veut fumer et nous demande si on en veut aussi. Je lui fais signe que non et reprend une gorgée du whisky. "Je la partage pas", dis-je en secouant la bouteille. Je croise en suite le regard de mon meilleur, il fait la moue, j'hausse les épaules. "Non, clairement pas", je répond en regardant la bouteille, avant de reprendre une gorgée.

@Alastor Van Der Budenn @Lilly Bell @Percy Haynes-Grayson

latata
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TW : alcool

L'garçon qui d'mande s'il peut le boxer et ça fait hausser ses sourcils au bouclé, prend une attitude d'poulet mal famé en grognant presque contre le blessé.

-- Bah non? Puis essaye voir si ça t'fait du bien au bras aussi après avoir saccagé ton appart gros naze.

Heureusement la meilleure amie qu'change de sujet en déclamant les raisons d'sa présence qui lui arrache un rire conquis, la d'moiselle qu'a bien des élans d'amour, ça les changera d'son énervement et d'la dépression qui a apparemment déteins sur Percy quand c'dernier vient s'coller à lui soudainement. Plisse l'nez en lui faisant d'la place pour qu'il s'assoit aussi sur la table basse, lui caresse distraitement les cheveux en observant la brune.

-- T'inquiète l'est un peu sensible moi j'l'ai trouvé super ton discours! Minus le pouce dans l'oeil... C'comme ça qu'Andréa a chopé son oeil d'verre faut faire gaffe.

L'a pas vraiment senti gigoter l'bonhomme avant qu'il sorte de quoi rouler et d'mande d'une voix un tantinet empreinte d'sarcasme si ça dérange quelqu'un dans l'appart. Sauf qu'le sarcasme la créature elle le comprend pas bien, alors ça l'étonne plus qu'autre chose la question. C'qui l'étonne d'autant plus c'l'attitude d'son monsieur qu'a l'air d'prendre un peu l'eau, capte dans les yeux gris un morne qu'il a vu qu'de rares fois et qu'il aime pas. Dépose alors un bisou sur son front avant de l'obliger à l'regarder en lui prenant la weed des mains.

-- Personne mérite cette fin.

Puis un autre baiser qu'est déposé sur ses lèvres avec un doux sourire, tente d'lui faire réapparaître un sourire sur l'faciès, quand ça marche toujours pas lui mordille l'bout du nez en ricanant tout en tapotant maintenant ses cheveux.

-- J'vais émietter et charger. Et Lucas s'tu veux pas que j'te balance par la fenêtre t'vas m'faire le plaisir d'bouffer avant d'boire ta teille solitaire. J'préfère la tequila, c'plus dansant d'toute. On a commandé pleins trucs choisis et r'viens t'asseoir ici que j'garde un oeil sur toi.

latata
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TW : alcool, mention de drogue, mort, pouce dans l'oeil

C’est compliqué… Mouais, c’est compliqué parce qu’ils veulent que ça le soit. Pour moi, si tu n’es pas bien avec quelqu’un, pour n’importe quelle raison, tu pars. Il n’y a pas plus simple que ça. Je ne comprends vraiment pas les gens qui se font des noeuds au cerveau pour si peu, en soit c’est juste une balle, c’est juste une fille. Y a pas mort d’homme. Bon en même temps, s’il était mort, y aurait pas de débat. Peut-être même qu’elle aurait joué le rôle de la pauvre veuve sans alliance et que son amour se serait décuplé comme l’autre film là, j’sais plus. Est-ce que ça veut dire qu’il n’y a jamais eu de véritable sentiment ? Parce que là elle s’est dit quoi en fait ? Qu’elle a failli le perdre et elle s’est rendue compte que ouais, finalement pas ouf, ça m’fait rien, pas une grande perte, on s’arrête là. Non ? J’suis débile ou… ? Je m’ennuie.

Woh, voilà qu’il me hurlait dessus, j’étais pas prête, je tombai à la renverse dans un petit cri pas très sexy et m’étalai sur le canapé, les yeux grands ouverts cette fois-ci, face au plafond. "Lilly, sois là pour l’coup d’oeil je crois ça serait plus utile"

— Haha, très drôle !

-- T'inquiète l'est un peu sensible moi j'l'ai trouvé super ton discours! Minus le pouce dans l'oeil... C'comme ça qu'Andréa a chopé son oeil d'verre faut faire gaffe.

-- J’ai toujours voulu jouer aux billes avec…

Je regardai Percy qui était debout, vue imprenable sur ses narines. C’est plutôt lui qui tenait le rôle de « coup d’oeil » au casino hein, n’inversons pas les rôles ok ? Je gonflai les miennes pour l’imiter. Je m’ennuie. Je levai mes longues jambes, prenant légèrement de l’élan avant de me redresser. Bon, faut que ça bouge. Je me levai du canapé pour rejoindre le soldat Rayan au niveau de la cuisine pour lui piquer la bouteille de whisky.  Radin. J’empoignai son remède pour aller chercher le bon effet directement à la source, parce que là, il fallait que ça bouge. J’eus envie de faire comme Alfoufou, envoyer une pichenette dans le nez de Lucas parce qu’il était trop dans un mauvais mood à mon gout et qu'il fallait que ça bouge. Oui encore. Mais je venais de lui crever l’oeil alors bon…

-- Tu vois, ça t’a fait mal sur le coup et c’est passé… Bah une rupture c’est pareil, suffit de lâcher la corde qui t’écorche les mains ! big smile

-- Y’en a que ça intéresse ? Savoir si j’le charge ?

-- J’ai jamais su rouler… j’me contente de tirer sur ce qu’Alfou me met dans la bouche. Exprimai-je en haussant les épaules.

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latata
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TW : alcool, usage récréatif de drogue

J’peux te boxer qui sonne comme une alerte à tes oreilles, prêt à bondir sur l’Lucas. Mais l’concerné qui s’défend avec ses mots, tu l’trouves intelligent là, soudainement, à parler d’bras. D'ta tête t'émet un hochement affirmatif, l’corps qui est pas loin non plus pour calmer la sauvagerie soudaine du garçon.
Tu sais que Lucas ne parlerait pas de l’histoire aussi facilement, pas devant une Lilly qui lui est encore bien inconnue. Les vers du nez qu’vous devez lui tirer si vous souhaitez en savoir davantage sur ces émotions. Mais en soit, qu’est-ce qu’il y aurait à dire ? La rupture qu’a saccagé l’coeur meurtri de l’étudiant, qui s’attendait pas à c’genre de trahison de sa meilleure amie ? Un baiser qui se dépose sur l'front, personne mérite cette fin. Les yeux s’ferment durant l'instant, laissant l’amoureux dérober ce qu’tu as dans les mains. L’évocation du jeu de billes qui te remonte à la gorge. “C’pas un peu gros un oeil de verre pour jouer aux billes avec ?” L’interrogation qu’se pose réellement parce qu’en plus d’être dégoûtant, t’vois pas vraiment comme ça peut être réalisable. Alastor qui t’ramène un peu, d’abord ses lèvres sur les tiennes. La passion qu’tu contrôles face aux autres. Mais lorsque tu sens ses dents sur l’nez tu n’peux qu’glisser ta main sur son ventre pour l’chatouiller en guise de réponse. Ce pat pat qu’vient te rassurer à chaque fois. Les lèvres qu’émettent les formes d’un je t’aime muet. L’besoin d’lui dire, dans c’moment de difficulté émotionnelle.
Lorsque Lucas revient, son précieux whisky dans les mains, dont la poigne ne le lâchera pour rien, tu lances enfin un léger rire “T’inquiète, j’les aime pas vos alcools” T’observe ton gobelet rempli d’vodka légère, quelques gouttes qui viennent parfumer l’coca. C’qui est pas le cas de la voleuse qui prend plaisir à dérober la fameuse bouteille. Ses propos qu’suivent et dont la rupture semblerait si facile à l’entendre. “J’crois pas que c’est possible de retirer quelqu’un d’ta vie comme on lâche une corde” t’pars déjà dans des phrasés qu’toi même tu suis pas trop “une corde ça a pas vraiment d’âme, tu crées pas d’souvenirs avec une corde ? Mais une personne, t’sens vide sans elle” tes yeux qui s’accrochent furtivement à ceux d’Alastor. La gorge nouée, l’regard que tu dévies rapidement, parce que tout ça c’est nouveau d’votre côté et qu’tu n’envisages même pas de considérer la fin. Mais Al qui t’répond, qui s’en charge, qui vous rappelle l’plus important. Un merci que tu murmures avant que ta main ne vienne s’appuyer sur sa cuisse pour t’lever et chercher les fameux sacs. N’pas laisser le choix au Lucas d’se nourrir, et vous aussi, ce serait bien. Tu prends un sandwich au hasard qu’tu fous dans la bouche d’Alastor, l’papier encore recouvert. Un autre que t’envole en direction d’Lilly mais qui finit sur l’nez. “Un coup d’gueule ?” la blague facile, l’sourire taquin en direction de la fille. Puis un troisième sandwich qui atterrit entre les jambes du propriétaire des lieux. “Mais t’aimes c’qu’il te met ? T’pas obligé de consommer Lilly hein… Après si tu fais confiance à Al, c’est la même herbe que j’achète depuis des années et il l’a déjà goûté” tu réponds en haussant les épaules, parce que si t’préfères fumer à boire, l’angoisse d’une Iris qui t’balance qu’tu vis dans un “monde de merde” où t’entraîne Lucas vient encore te refroidir l’dos.

latata
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TW : alcool, mention de drogue.

"Hm, si mais on s'en fout", je répond à Alastor quand il me demande de voir si ça me fait mal au bras. Trop de douleur et peine à la fois, on pourrait me tirer encore dessus, que je ne sais même pas si je sentirais la douleur. J'essaye de me concentrere pour écouter tout le monde, mais c'est sans compter le doigt de Lilly qui atterrit dans mon oeil. Oh la conne !, c'est ce qui j'ai voulu lui pester à la figure, mais au lieu de ça, je peste autre chose en me levant. "La corde je vais lui mettre autour du cou à elle ouais", je répond quand elle dit de lâcher prise, lâcher la corde. Sait-elle au moins de quoi elle parle ?. Je me sers un whisky dans la cuisine, les écoute débattre. Enfin, je ne sais même pas si c'est un débat, je ne comprend même pas ce qu'ils racontent. Percy m'envoie un sandwhich que je ramasse, mais laisse sur le comptoir. Je n'ai pas fin, je préfère boire. Sauf qu'entre temps, Lilly me prend la bouteille de whisky. "J'ai dit pas touche", je grogne en récupérant la bouteille des mains de la jeune femme. Je m'assoie ensuite sur un tabouret, reprend une gorgée. "Ouais, par contre fumez sur le balcon hein, pas de vos odeurs dans l'appart sinon je vous fais voler comme les meubles". Ça pue leur truc, juste sentir leur fumée ça pourrait me faire planer. Je finis par déballer le burger et croquer dedans, mouais bon, je vais au moins manger ça.

@Alastor Van Der Budenn @Lilly Bell @Percy Haynes-Grayson

latata
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TW : alcool, weed

La déclaration d'la Lilly sur un jeu qu'il accueille avec un hochement vif d'la tête parce que c'tait un peu leurs rêve d'jouer avec, avant d'pouvoir s'perdre dans les souvenirs, la voix un peu dégoûté d'un Percy qu'résonne dans ses oreilles.

-- Bah comme les boulards. Z'aviez pas les boulards vous pour jouer? C'tait trop bien tu défonçais toutes les billes avec. Bah son oeil ça aurait été un super boulard dans la collection d'Miguel. On a tenté d'le voler avec Lilly mais on s'est fait gronder, j'm'en souviens parce que c'était quand Al elle avait sa grippe. On s'faisait chier.

Une main qu'se faufile sur son ventre et l'fait se tordre subitement bien trop sensible aux chatouilles, manque d'lui foutre un coup d'genou au passage à l'aimé qui lui forme un je t'aime silencieux, capte encore pas bien pourquoi il sent l'besoin d'le dire ou d'se rapprocher mais s'contente d'apprécier l'affection en capturant sa main pour la forcer à rester sur son bide, chaleur qu's'étend, un simple bien être dans c'geste.

-- Je t'aime aussi.

Contrairement au brun n'a aucunement la présence d'esprit d'le dire en chuchotant afin qu'le pauvre brisé n'entende pas cet étalage d'passion niaise, l'fait pas exprès quand il répond juste au partenaire pour pas lui foutre un vent d'l'espace. S'occupe d'commencer à rouler en les écoutant à moitié, concentré sur son travail manuel, créé l'joint rapidement, en quelques s'condes à peine. L'truc qui du coup r'ssemble à rien, tout tordu et avec trop d'tabac au milieu, l'animal qui s'doute pas qu'sa création pue la merde, veut la r'filer au Percy qu'est en train d'parler d'corde, et l'Lucas qu'répond avec l'même mot, plisse l'nez le bouclé en r'levant les yeux. Puis y a l'étreinte qu's'en va, plisse un peu plus l'nez dans une moue dévastée en l'regardant se mouvoir pour refiler d'la bouffe à tout l'monde, reçoit l'sien en ouvrant la bouche gentiment, puis s'lève aussi récupère l'sandwich d'sa main libre, renifle l'papier qui possède un dessin du burger qu'il a reçu et l'fourre soudainement dans la bouche du brun comme il lui a fait.

-- Bien sûr qu'elle aime c'que j'lui met- J'suis l'seul à capter l'sous entendu ou c'mon esprit qu'est l'plus pervers? Et j'aime pas lui en plus toi aussi t'dois bouffer.

Sautille ensuite jusqu'aux poches mcdo à son tour, les fouille avec efficacité pour en sortir une boîte d'nuggets avec un cri d'victoire, zieute le Lucas qu'leurs donne un ordre auquel il répond par un signe militaire, main sur l'front et corps gainé, l'observe prendre ensuite un croc d'son burger, heureux d'être écouté.

-- Moi j'trouve ça beau comment on s'menace tous pour l'bien être. On d'vrait faire ça tout l'temps au lieu d'se causer gentiment genre "HYDRATE TOI GROSSE MERDE". J'trouve ça rentre mieux.

Pendant qu'il baragouine sa nouvelle idée, s'dirige vers l'balcon, attrapant la main d'Percy au passage pour l'entraîner, passe près d'Lilly et lui gigote l'joint sous les yeux comme f'rait un maître avec son chat afin qu'elle le suive aussi. Arrivé sur l'balcon, pose ses nuggets sur l'coin d'une chaise afin d'avoir les mains libre pour glisser l'cône magique entre ses lèvres, récupérer un briquet dans ses poches afin de l'allumer, tire une taffe, s'étouffe d'ssus, l'a peut-être un peu trop chargé, s'penche sur la rambarde afin d'cracher, immédiatement un cri qu'résonne d'la rue.

-- Ah SCUSEZ!

Qu'il hurle à l'attention d'la pauvre victime qu'peut pas l'voir et s'met à vociférer des insultes. Mais le Al qui prend une deuxième taffe en s'fichant éperdument des grossièretés, souffle sa fumée sur l'visage d'Percy avant d'lui remettre l'roulé en main afin d'être libre pour récupérer sa boîte d'bouffe et enquiller deux nuggets, en propose un à Lilly quand il s'rend compte qu'y a quelqu'un qui manque. Sont 3. Ils étaient 4. Alors fourre sa boîte dans les mains d'la brune pour passer la tête par la porte afin d'pouvoir r'garder le Lucas qu'est toujours à l'intérieur.

-- NON MAIS RESTE PAS TOUT SEUL NON PLUS. J'veux bien l'odeur et voler comme des meubles mais l'balcon il est grand, vient avec nous. À rester seul t'vas t'enfoncer dans ta misère!

Résumé pour Lulu:

latata
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TW : alcool, mention de drogue, mort, pouce dans l'oeil

Je laissai Alfou répondre à Percy au sujet de l’œil de verre. Il était tellement doué pour raconter des histoires ! Je me souvenais bien de cette anecdote et je ne pus m’empêcher de lâcher un petit rire. Fallait nous voir pendant son sommeil, à essayer de lui ouvrir les paupières et de lui substituer son œil. Bon encore une fois on avait été con. On s’était dit qu’il voyait rien avec, ou sans, mais on avait zappé le fait qu’il pouvait encore ressentir deux pairs de mains lui trifouiller le trou. Je n’sais pas comment ça s’appelle ok ? Bref, on était sur le point de tenter avec une pince lorsque Alondra l’a réveillé avec sa super toux. Grosse ambiance j’vous dis pas.

« La corde je vais lui mettre autour du cou à elle ouais » Mon regard se tourna vers Percy, va savoir pourquoi. « Pourquoi tant de violence ? » Un sourcil relevé, fortement surprise par ses réactions toujours un peu plus démesurées. Non mais il a un véritable problème celui-là, j’eus envie d’appuyer sur sa blessure dans le bras pour le recalibrer, comme un bouton reset sur une box défectueuse. Pauv’con. Percy qui parlait des sentiments, de l’âme et des souvenirs. Il est où le rapport avec ma corde ? J’comprends rien. J’mennuie. J’ai mal à la tête à force de trop réfléchir, ça me dépasse. Je commençai à me demander pourquoi je donnais autant de ma personne pour lui redonner le sourire. Ce n’était pas une blague le coup de la strip-teaseuse ? Je tournai la tête pour regarder mon petit boule, me cambrant légèrement. Non Lilly, n’y pense même pas ! Heureusement que le burger en plein dans ma tête me ramena à la raison. « Aoutch ! »

Un bon coup dans la gueule oui. Et elle était bonne celle-là ! Je ris, mais en même temps je regardai Percy qui était tout de même vachement taquin avec moi. Bon, disons qu’il l’a toujours été au casino, mais la discrétion qui s’y impose ne lui permettait pas de se lâcher autant avec moi. J’aime bien ses vacheries. J’ai faim. Et je lui tirai la langue, les yeux fermés, basculant la tête de gauche à droite. A moins que ce fût l’inverse. Je tapai un croc dans mon sandwich parce que la dépression ça creuse. « Bien sûr qu'elle aime c'que j'lui met- J'suis l'seul à capter l'sous entendu ou c'mon esprit qu'est l'plus pervers? Et j'aime pas lui en plus toi aussi t'dois bouffer. » « Hentai !! […] Non en fait, j’ai pas compris haha ! »

-- Moi j'trouve ça beau comment on s'menace tous pour l'bien être. On d'vrait faire ça tout l'temps au lieu d'se causer gentiment genre "HYDRATE TOI GROSSE MERDE". J'trouve ça rentre mieux.

-- Alors maintenant tu la fermes et tu m’sers un café ! Hurlai-je à Lucas. Face au blanc, j’enchainai. Non ? Personne a la ref ?? Oups…

Vint alors le moment où Alfou attisa ma concentration sur le joint en le remuant sous mon nez. Comme le chaton que je suis, je suivis le pas, direction le balcon ! Je piquai un nugget dans la barquette en carton parce que ça me donnait trop envie. Faut dire que tout ce qu’Alfou met dans sa bouche a l’air appétissant. J’me souviens, quand on était petit et que je lui demandais de pré-sucer mes sucettes pour leur donner du gout. Oh, wait a minut… Non, n’y pense même pas ! Voulant imiter mon meilleur ami, je crachai à mon tour sur les passants, sauf que j’oubliai d’avaler ma bouchée. « Attention ! Poulet volant !! » Merci pour la barquette, j’ai des munitions.

@Alastor Van Der Budenn @Lucas Weaver @Percy Haynes-Grayson

latata
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TW : alcool, usage récréatif de drogue

Oublier la douleur dans une bouteille de whisky, ça t’fait grimacer parce qu’tu sens le mal qu’lui a fait Iris. Sans plus aucun espoir d’survie t’observe le meilleur ami qui s’laisse couler, qui aboie à la moindre taquinerie, dont ni Al ou Lilly n’arrivent à temporiser. Ça parle de boulards et t’comprends pas trop les joies infantiles qu’ont bercé les deux en face de vous. “Les seules boules qu’on touchait avec Ash c’était au mini golf” t’penses encore aux bosses et aux pièges du country club où vous étiez jetés en attendant qu’les cigares s’terminent. “D’le voler ? Quand il l’enlevait pour l’nettoyer ?” tu réponds un peu dégoûté, les imaginant décortiquer le corps d’un vieux bougre. L’image qu’est balayée par le je t’aime du garçon, un sourire niais qui t’anime un instant. Qu’ça te fait du bien de l’entendre, l’officialisation qu’t’aurai pas voulu ainsi, l’instant qui t’semble être volé.
Bien sûr qu'elle aime c'que j'lui met- les sourcils qui s’froncent dans la moue fâchée d’grenouille. Comment ça ? Hentai. L’visage qui se tourne encore plus subitement en direction d’la Lilly. Comment ! Brin d’jalousie qui ne veut pas se faire trop de place, alors tu lui serres juste la cuisse pour vider cette vilaine sensation. Parce qu’tu sens bien que c’est déplacé, qu’tu voudrais pas t’enfoncer plus dedans. La bouche qu’évite de s’ouvrir. L’esprit bousculé plutôt par les propos du Al et d’Lilly qu’prennent plaisir à s’parler en jurons. La mâchoire qui se serre, pas bien certain d’apprécier la démarche. “Moi j’aime bien qu’on m’parle avec douceur” t’parles presque pour toi-même, pensant aux mots tendres de la maman, parce que t’as déjà ta main qui s’fait embarquer par l’amoureux. L’crachat qui vient encore plus te dégoûter. Un haut l’coeur qui monte à ta gorge "worh" le précieux que t’es qui ressent l’crachat sur son corps. Dans ce dégoût t’vois même pas qu’c’est sa fumée qui se transmet à toi. T’entends l’garçon parler au Lucas resté à l’intérieur. Tu l’vois enfin manger, daddy is happy. Alors des taffes que tu t’prends, t’en retires une fumée qui prend la forme de cœur en direction du meilleur ami. Fière technique d’adolescent. Les formes qui s’estompent rapidement alors t’envoie des coeurs avec les doigts au Lucas pour qu’il comprenne bien. P’tite fierté. Puis l’dégoût qui t’prend à nouveau quand tu vois Lilly faire de même avec sa salive mêlée d'poulet. Tu t’lèves dans leur direction, t’mettant entre les deux, pour venir saisir avec douceur la nuque de la brune. L'geste tendre qui lui permet de te dévier si elle n'consent pas. Parce que tu l'incites, là, à tourner son visage en ta direction  “On gâche pas la nourriture” et t’profite de sa bouche encore ouverte pour lui souffler ta fumée. L’joint que tu glisses ensuite dans ses mains pour venir déposer un baiser sur la tempe d’Al, avant de toi aussi, regarder les passants, les bras tendus sur la rambarde du balcon.

résumé:

latata
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TW : alcool, mention de drogue.

J'entend un je t'aime venir d'Alastor, ce qui me fait grimacer. Ouais, je t'aime...j'étais prêt à le dire à Iris...Putain, quel con que je fais vraiment. Je répond à la jeune femme, Lilly si j'ai bien suivi son prénom, qui me parle de corde. "Pour ma plus grande joie ?", si j'ai bien comprit, ils sont là pour ça non ? Me rendre ma joie ? ou me faire rire ? J'en sais rien en vrai, je capte que quelques mots par-ci, par-là. Il y a ensuite la distribution de bouffe. Je ne calcule pas mon burger, à par pour le ramasser. Non, je répfère récupérer ma bouteille de whisky dans les mains de la brune, en pestant. On ne va quand même pas me retirer mon biberon, si ?. Ça parle de fumette, je leur ordonne donc de dégager sur le balcon. Il est assez grand, il y a même de quoi s'asseoir. Alastor me répond en se la jouant militaire, ce qui me fait légèrement sourire. Tous les trois se dirigent sur la balcon, je finis enfin par croquer dans le burger. Hm, plutôt pas mal. "Hein ? Qu'est-ce qu'elle dit ?", je demande en les regardant, après avoir entendu la voix de Lilly qui visiblement, s'adresse à moi.

Deuxième croc dans le burger, je vois Percy qui me fait des coeurs, autant avec les mains qu'avec la fumée. "Arrêtes, il va être jaloux", dis-je en montrant Alastor d'un mouvement de tête, un peu amusé pour le coup. "Si je viens, tu arrêtes de crier ?", je demande à Al en venant à eux avec mon burger. Je me laisse tomber sur un pouf, les entend cracher ou ce qui y ressemble. "Eurk, je vais gerber", dis-je en faisant une grimace. "Qui m'en passe une ?", je demande en les voyant se passer les fumettes.

@Alastor Van Der Budenn @Lilly Bell @Percy Haynes-Grayson

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( confort party )

TW : alcool, weed

Le Lucas qu'hurle qu'y a un truc qui doit l'rendre l'jaloux, fait un peut l'tour sur lui-même perdu avant d'voir les coeurs qu'sont envoyés par Percy, plisse à nouveau l'nez, s'demande si d'ici d'main il s'ra pas coincé comme ça, comme l'fait d'loucher et d'souffler.

-- Non mais ça va j'en suis pas là!

Qu'il s'égosille avant d'se calmer quand l'garçon les rejoint enfin pour s'asseoir sur l'un des fauteuils, content d'le savoir à porter, se tourne à nouveau vers les deux loustiques qu'il a laissé seuls deux secondes et observe maintenant s'échanger une soufflette.

-- Ah ça par contre j'en suis là.

Les narines qui s'écartent dans une grande inspiration pour pas éclater une claque sur l'arrière du crâne du grand dadais, la paupière droite qui déconne un instant, s'arrête quand y a un baiser qu'est déposé sur sa tempe. Sa paupière. Pas sa jalousie. R'lève la tête vers l'brun avec un grand sourire puis attrape sa mâchoire entre deux doigts agressifs et lui mord l'cou rapidement.

-- Refais ça et l'prochain endroit que j'mords c'quand j'te sucerais tête de zob.

Qu'il siffle avant d's'écarter pour récupérer sa boîte de nuggets, s'éloigne de l'incongru avec une œillade mauvaise, la seule présence d'un Lucas malheureux comme les prés qui l'retient d'aller plus loin, s'concentre donc sur zieuter par dessus la rambarde l'gars en bas qu'est toujours en train d'vociférer à cause des multiples crachats.

-- Ah l'tiens vaut plus d'points, y avait d'la nourriture et t'as réussi à toucher pile au milieu d'son chapeau.

S'retiens néanmoins d'relancer la compétition, voudrait pas qu'le blessé s'mette maintenant à dégueuler. S'relève donc, gobe deux nuggets, grimace parce qu'c'est devenu subitement trop tiède à son goût, a d'toute manière plus faim donc lâche la barquette sur la table basse puis s'rend rapidement dans l'salon pour récupérer la tequila et revenir s'asseoir dehors sur l'siège à côté d'Lucas qu'il zieute un instant, les yeux plissés, prend une longue gorgée du liquide, plisse l'nez, renifle, relance un regard noir dans cette attitude d'poulet à Percy, rereboit une gorgée, étend ses jambes sur la table basse en glissant un peu sur l'fauteuil, la bouteille posée sur son ventre, gueule finalement:

-- J'croyais tu voulais pas fumer?!

Enième gorgée qu'commence un peu à lui brûler la glotte, s'relève incapable d'rester en place, évite bien l'brun en passant d'l'autre côté d'la table pour rejoindre la Lilly et lui volait l'joint des doigts, en prend une taffe en r'venant vers le Lucas, s'penche un peu sur lui et d'mande vicieux dans sa démarche:

-- T'veux une sousou?

Résumé pour Lulu: