Vos désirs font désordre (Jo)

(#) 04.05.24 14:04

Vos désirs font désordre

Iris avait pris la décision de se trouver un boulot sous les conseils avisés de son père. Un boulot qui lui permettrait d’avoir un salaire, et de se trouver un appartement. Un jour. Depuis le braquage, autant dire que l’idée de passer ses journées toute seule l’enchante tout de suite moins, mais elle garde l’espoir que tout ça n’est que passager, et qu’un jour elle retrouvera l’envie de vouloir vivre ailleurs, chez elle, toute seule. Le réveil qui sonne à 5h30 est un peu trop piquant pour la petite blonde qui n’est en rien une lève-tôt. Préférant de loin les grasses matinées, elle se rend compte à quel point elle regrette de ne pas avoir opté pour un boulot en soirée. Pourtant, plus vite la journée est commencée, plus vite elle se termine pour vaquer à d’autres occupations. Dans la salle de bain, Iris sort de la douche et se retrouve face au miroir. Probablement que son père dort toujours, elle évite donc de faire trop de bruit. Dans sa trousse qu’elle ne cesse de balader à force de ne jamais dormir deux nuits de suite au même endroit, elle prend le temps d’appliquer une légère couche de maquillage pour lui donner meilleure mine. Loin d’appliquer une tonne de fond de teint, ou tout simplement de ressembler à un pot de peinture, elle finit rapidement avec une simple couche de mascara. Elle prend le temps de se sécher les cheveux, puis enfile un short en jeans et une blouse blanche pour se sentir plus à l’aise.

L’idée de se rendre au zoo comme premier jour de travail l’inquiète un peu. Elle n’a pas eu beaucoup d’informations, elle ne sait pas où elle doit se rendre ni ce qu’elle va réellement faire. Travailler dans une boutique, mais sans doute pas uniquement cela. Dans un sens, elle n’espère pas, parce que vendre des peluches toute la journée, ça risque vite de l’énerver. Iris, a besoin de bouger un peu, et pas de rester derrière une caisse enregistreuse à écouter les plaintes des clients parce que la peluche otarie n’est pas rose. Elle peut le faire un peu, mais au bout d’un moment, sans doute que sa patience aura atteint ses limites. La boule à l’estomac est bien présente, et pourtant elle est un peu moins stressée depuis que Jonathan lui a promis de l’aiguiller. Elle ne sait pas trop d’où il sort, mais elle a un peu l’impression qu’il tombe à pic. Elle aurait bien fini par se débrouiller, mais le faire accompagné est quand sans doute plus simple pour un premier jour dans un zoo.

Prête, Iris grimpe dans sa voiture pour se rendre à l’heure sur son lieu de travail. Le parking est vide, mais en même temps il est bien tôt. 7 heures pétantes, elle se retrouve à avancer vers l’entrée du zoo. Pas sûre qu’elle ait tout bien compris, parce qu’elle se demande encore pourquoi être là si tôt alors que le parc en lui-même n’ouvre pas avant dix heures ? Probablement pour lui montrer ce qu’il y a à savoir, peut-être même lui faire visiter le zoo en caddy pour lui montrer les différentes zones et les points clés. Peut-être aussi pour lui donner un t-shirt mieux adapté que son top, et surtout avec le logo de l’endroit pour qu’on la définisse elle aussi comme membre du staff jobiste. Plein de questions qui lui viennent en tête et pour lesquelles elle n’a pas vraiment de réponse.

S’approchant de l’entrée, elle repère Jonathan qui semble l’attendre, comme promis. Le sourire sur les lèvres, elle lui fait un grand signe, preuve qu’elle l’a bel et bien reconnu alors qu’à part à la soirée sur la plage, ils ne se sont jamais vraiment vus. – T’as vu, je me rappelle de toi ! qu’elle lance avec beaucoup de fierté, puis s’approche pour lui faire la bise. – Pas trop dur le réveil ? Tu ne me détestes pas trop ?

codage par aqua

(#) 05.05.24 18:20

Vos désirs font désordre.
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outfit : ici

Jonathan est loin d’être un lève tôt. Plutôt un couche-tard, lève tard. Pourtant, le manque de sommeil il commence à y être habitué, son job lui demandant souvent d’être matinal. Généralement, il doit être sur les lieux entre 7h et 8h, ce qui l’oblige à survivre plutôt que de savourer chaque journée pleinement. Et contrairement à ce qu’on dit, non, on ne prend jamais le rythme.

Pourtant ce matin, étrangement, le réveil sonne à peine qu’il est déjà sur ses pieds. Eveillé, impatient, une pile électrique. Il va la voir elle. Il va s’occuper d’elle toute la journée. L’aider, l’entourer, la guider. Y’a pas grand-chose qui pourrait le rendre plus heureux. En fait, depuis cette soirée sur la plage, Iris est un peu comme son obsession. Celle à qui il pense un peu trop. Elle lui fait un plaisir immense rien qu’à lui causer par sms, mais cause aussi un sérieux trou noir quand les sms se taisent. Un sentiment de solitude, qu’il n’avait pas connu depuis longtemps. Un coup de foudre, c’est comme ça qu’il détaille ce qu’il ressent, pour éviter de dire “amoureux”. Un terme un peu concon, qui plus est, mal adapté. D’Iris il ne connait rien. Comment peut-on être amoureux de quelqu’un qu’on ne connait pas ?

6h50, il est déjà devant le portail fermé du Zoo. Pas âme qui vive n’est ici, sauf peut-être des âmes solitaires qui accourent vers la porte employée sans s’arrêter, par peur d’être en retard. Mains dans les poches de sa fine veste, il scrute devant lui, quand enfin, une silhouette blonde fait son apparition. Un sourire mécanique, nerveux se dessine sur ses lèvres. Il ne peut pas vraiment le contrôler. Et plus Iris approche, plus son cœur s’affole. Elle encore plus jolie que dans ses souvenirs. “ T’as vu, je me rappelle de toi ! “ Encore ses lèvres qui s’étirent un peu plus, et il hoche la tête, alors qu’un petit rictus lui échappe.

_ “ Rappelle-moi comment j’m’appelle ? “

Qu’il la taquine, alors qu’elle s’approche pour lui faire la bise. Un peu surpris, ne s’y attendant pas, il se crispe légèrement, le cœur manquant d’en sortir de sa cage thoracique. Les joues rougissantes aussi, et pourtant, qu’est-ce que ce simple geste fait monter la chaleur dans sa petite personne. De quoi faire sa journée. Le voilà revigoré, heureux, tout sourire jusqu’à ce soir, c’est sûr. Les épaules retombant, soulagé et tout sourire, ses yeux recroisent les siens quand elle se recule. “ Pas trop dur le réveil ? Tu ne me détestes pas trop ? “ Il lève un instant les yeux au ciel, amusé de la question.

_ “ C’est mon réveil que j’déteste, pas toi. “

De toute façon même s’il le voulait, il n’y parviendrait pas. Il est comme soumis à Iris, et peut-être même jusqu’à la fin de ses jours. Ce qui deviendrait dramatique si elle ne s’entiche jamais de lui.

_ “ Allez viens Blondie, j’te montre. “

Il sort de sa poche, sa carte d’accès aux zones du staff. Il s’en va vers la porte employée, suivit d’Iris. L’ouvre et fait passer Iris avant d’y entrer et de refermer derrière lui. Il entraîne la jeune à travers quelques petits chemins, entre plusieurs bâtiments.

_ “ Bienvenue dans les Backstages. Ca va te paraître un peu grand au début, mais tu t’y feras vite. “

Il s’engouffre dans une porte, donnant accès à un bureau. Il empoigne un talkie walkie, puis en donne un second à Iris avant d’appuyer sur le sien et de l’approcher de sa bouche.

_ “ Jonathan pour la boutique si y’a quelqu’un. “

On répond positivement dans l’engin. Alors il pose ses yeux sur Iris tout en souriant plus malicieusement.

_ “ J’fais faire le tour à votre nouvelle recrue, j’vous la dépose après. “

Il accroche l’appareil à sa ceinture, puis vient fouiner dans une armoire. Il en sort un teeshirt aux couleurs du zoo, estampillé du nom et du logo du parc au dos et sur le torse. Il le tend à Iris.

_ “ Je suppose qu’un S te va ? Y’a des casiers et des vestiaires par là-bas. “

Il laisse le teeshirt à la jeune femme puis prend le chemin qu’il indique. Comme s’il était chez lui, il tente d’ouvrir quelques casiers pour en trouver un disponible. Et quand c’est le cas, il l’ouvre en grand.

_ “ Tiens, il est à toi celui-là. “

Il en vérifie la propreté en se penchant à l’intérieur.

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Le trublion.

Inquisiteurs, citoyens, je ne vous dois rien. Je suis un libre penseur, un trublion, un emmerdeur. Messieurs les juges, les procureurs, non je n'ai cure de vos assises, je suis assis sur votre honneur, et vos valeurs que je méprise.

(#) 12.05.24 8:27

Vos désirs font désordre

feat. @Jonathan Camden ☾

Devant le Zoo, Iris prend le chemin jusqu’à l’entrée de celui-ci, en abandonnant sa voiture au beau milieu du parking. Il n’y a qu’elle, parce que sans trop savoir, elle n’a pas trouvé d’autres endroit que le parking visiteur pour l’abandonner pour la journée. Ses pas la mènent vers cette entrée où Jonathan est déjà présent. Elle sourit au fur et à mesure de son arrivée, et fière de lui prouver qu’elle se rappelle toujours de lui, alors qu’ils ne se sont croisés qu’une fois à la soirée sur la plage, elle sourit d’autant plus en voyant ce mini test pour s’assurer que sa mémoire ne lui fait vraiment pas défaut. Iris fait mine de réfléchir, l’index replié contre son menton, et rétorque aussitôt : - Cunégond ! un prénom affreusement moche pour un homme si beau. – Non, je plaisante Jonathan. En fait t’es comme saint Thomas toi, tu ne crois qu’en ce que tu vois ? Parce qu’elle lui avait vraiment assuré se rappeler de lui. Iris est loin d’être une lève tôt, qu’importe si elle se couche tôt. On peut donc la qualifier de marmotte, et c’est le cas depuis sa plus tendre enfance. Ses parents n’ont surement pas eu beaucoup de mal à la mettre au dodo lorsqu’elle était encore un poupon, à part peut-être une fois capable de courir partout, pour aller se planquer dans des recoins dans l’espoir qu’on ne la retrouve pas. Mais une fois dans son lit, le marchand de sable n’était jamais trop en retard, et les petits yeux de boucle d’or finissaient par se fermer jusqu’au lendemain – Je note donc que tout ce qui a la capacité de te réveiller aux aurores est susceptible d’être détesté. Dit-elle, comme si elle était elle-même susceptible de devoir le tirer de son lit en se trouvant dans cette même pièce.

Jonathan l’invite à entrer par la porte de service et la curiosité prend le dessus lorsque Iris passe la porte. Ses yeux bleus se posent sur un peu tout et n’importe quoi, en attendant de suivre à nouveau Jonathan qui semble vouloir se désigner comme guide des nouveaux. Ou juste Guide d’Iris ? La demoiselle continue d’observer curieusement, mais dans sa cage thoracique, on ne peut pas faire comme si tout était calme. Son petit cœur s’accélère légèrement face à l’inconnue que sera cette journée, pour finalement s’engouffrer dans un ultime bâtiment où se trouve un bureau. – J’ai droit à un gps ? Elle retient un sourire en regardant Jonathan, face à sa question pour définir cet endroit comme très grand. Elle a beau y être déjà venue quelques fois avec ses parents, elle n’y venait pas suffisamment pour prétendre se rappeler de tous les endroits, de toutes les zones ou encore de tous les animaux. La suite se fait assez rapidement lorsqu’il prévient par talkie-walkie qu’il prend son rôle de guide très à coeur et Iris de son coté, observe l’objet un peu plus en détail. Avant aujourd’hui, elle n’avait jamais dû ce servir de cela à part lorsqu’elle était petite - quand j’étais petite j’en avais un rose que je mettais dans la chambre de mes parents sans qu’ils le savent, et je les réveillais la nuit pour leur dire que j’avais soif, que je devais faire pipi ou que je les aimais. Je crois qu’aujourd’hui ils détestent ce truc. Jamais j’offrirai ça à mes enfants. Elle sourit légèrement et reprends - tout ça pour dire que je vais essayer d’oublier qu’il y a quelqu’un au bout du fil, juste pour me ôter l’envie d’essayer…

Iris regarde Jonathan chercher ce qui semble être un t-shirt dans une armoire et en ressort une taille S - t’as l’oeil, pas mal. Pendant qu’elle acquiesce sur la bonne taille de celui-ci. Quand aux casiers, il lui en désigne un libre dans lequel elle pourra laisser ses affaires pour la journée. - merci. Tous les nouveaux sont aussi bien accueillis ou ça m’est entièrement réservé ? Lui demande-t-elle avec un leger sourire en coin - retourne toi et ne triche pas. Iris sourit avec une idée bien en tête, comme celle de se changer là en vitesse, parce que juste pour un t-shirt on ne peut pas vraiment dire qu’elle ait besoin d’une cabine. Le changement fait, elle prend le temps de plier sa blouse et de la ranger dans le casier, mais aussi d’attacher ses cheveux en vitesse. - on m’a dit d’être efficace. Ça commence par là, non ?

codage par aqua

(#) 12.05.24 18:24

Vos désirs font désordre.
— w/ @Iris Penn
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Il se pince la lèvre à sa petite blague, abaissant le regard vers ses pieds comme s’il était touché coulé. Puis il hoche la tête de haut en bas à sa question. Était-il réellement de ce genre-là, à ne croire que ce que ses yeux peuvent juger d’eux-mêmes ? Peut-être pas tant que ça, mais il n’aurait pas autant de facilité à reconnaître qu’il a un petit côté bien naïf.

_ “ Si ça fait de moi un saint, je prends. “

Il relève le nez, sourit malicieusement, alors qu’elle le taquine encore sur ses réveils difficiles. Pas vraiment du genre violent, Jonathan ne serait peut-être pas allé jusqu’au point de faire disparaître quiconque troublerait son sommeil. Quoi que. S’en était assez tentant.

_ “ C’est un motif de divorce. “

Qu’il ajoute d’un petit rictus, avant de l’inviter à le suivre au sein des backstages du zoo. “ J’ai droit à un gps ? “ Il hoche négativement la tête cette fois, alors que ses yeux sont rivés sur le talkie-walkie qu’il est en train de régler sur la bonne fréquence. Sans perdre son malicieux sourire.

_ “ Tu m’appelle, j’m’en ferais un plaisir. “

Il relève le nez et le regard vers elle, il ne peut empêcher son sourire de s’en trouver quelque peu charmeur. Tout est une bonne raison de passer du temps avec elle, ou plutôt, de se faire remarquer par elle. Même s’il sait que son cœur est pris, il ne pourra certainement pas aller contre son désir d’être là pour l’épauler. D’être à ses petits soins. “ Quand j’étais petite j’en avais un rose que je mettais dans la chambre de mes parents sans qu’ils le sachent, et je les réveillais la nuit pour leur dire que j’avais soif, que je devais faire pipi ou que je les aimais. Je crois qu’aujourd’hui ils détestent ce truc. Jamais je n’offrirai ça à mes enfants. Tout ça pour dire que je vais essayer d’oublier qu’il y a quelqu’un au bout du fil, juste pour m'ôter l’envie d’essayer… “ Franchement, c’était tellement mignon, qu’il se pince la lèvre avec ses dents tout abaissant son visage, pour s’éviter un trop grand sourire marqué. Iris a clairement une innocence à toute épreuve, qui fait craquer le pauvre Jonathan un peu plus. Son cœur se serrant dans sa poitrine, il lui tend l’appareil tout en essayant de se convaincre que cette fille-là n’était pas pour lui. Trop prise, trop jeune, trop de trop. Mais quand ses doigts frôlent les siens alors qu’elle empoigne l’appareil, il croise son regard, son cœur fait bang. Et il sourit plus tendrement, sans pouvoir s’en empêcher. Ses mains reviennent vers ses poches, l’air de rien, pourtant au fond, c’est comme un feu d’artifice dans son esprit.

_ “ Si t’as envie de dire aux autres que t’as envie de faire pipi, ou que tu les aime, tu vas te faire des amis. “

Qu’il se moque légèrement, juste pour la taquiner et essayer de se changer lui-même les idées. Puis après l’attribution d’un teeshirt, ils se rendent aux casiers. " Merci. Tous les nouveaux sont aussi bien accueillis ou ça m’est entièrement réservé ? " Reculant d’un pas pour laisser libre accès à son placard personnel, il sourit de plus belle, tout en relâchant la portière en ferraille.

_ “ J’essaie de faire ça bien à chaque fois... “

Il marque une petite pause avant de laisser son sourire devenir de plus en plus malicieux, s’étirant en coin de ses lèvres.

_ “ Mais d’habitude c’est pas moi qui encadre les nouveaux. “

C’est clairement pas son job à lui, ça revient aux responsables du zoo. Mais Iris n’étant pas n’importe qui, et après de tels échanges en sms, il n’allait pas la laisser entre les mains de n’importe qui. Ni maintenant, ni jamais.

_ “ T’es un cas spécial. “

Qu’il ajoute d’une petite voix, presque un peu trop sérieuse. Jusqu’à ce qu’il réalise les intentions de la blondinette, quant à se changer sur place. Presque crispé, il fait un demi-tour sur lui-même pour lui tourner le dos. Et se met à fixer le mur d’en face tout en espérant n’y trouver aucun miroir, et pouvoir y compter les moutons. Tendu, il n’ose guère se retourner, jusqu’à l’entendre déposer quelque chose dans le casier. Soufflant discrètement, il se retourne, et hoche la tête, essayant de paraître le plus naturel possible.

_ “ Effectivement. Ajoute-le au cv. “

Il retrouve son petit sourire puis se dirige vers la sortie, chassant toutes les idées de sa tête, comme il le pouvait. Il sort aussi des coulisses pour se faufiler dans les allées encore désertes à cette heure-ci.

_ “ Tu veux une visite guidée, ou tu veux directement commencer par aller compter les animaux en plastique sur les étagères de la boutique ? “

Il renfourne ses mains dans les poches de son short de travail. Il préférait quand même lui laisser le choix avant de l’entraîner à travers le zoo, si finalement, les animaux n’étaient pas vraiment ce qui l’intéressait. Peut-être qu’elle n’est ici que pour l’appât du gain, et que tout le reste lui est futile ?

_ “ Sache quand même que d’habitude, les visites guidées c’est payant. “

Qu’il minaude, pour se donner un peu plus de chances de gagner du temps, du temps qu’il pourrait passer avec elle. Même si franchement là, c’était plus du tout professionnel. Loin des habitudes du Jonathan plutôt sérieux dans son travail.

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Le trublion.

Inquisiteurs, citoyens, je ne vous dois rien. Je suis un libre penseur, un trublion, un emmerdeur. Messieurs les juges, les procureurs, non je n'ai cure de vos assises, je suis assis sur votre honneur, et vos valeurs que je méprise.

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