suite téléphonique

(#) 02.05.24 3:45

(Suite de ça je ferais un truc mieux demain je suis sur tel là)
(Nevermind 3 jours plus tard et j'ai la flemme)

/!\ TW: mention d’une crise de panique, drogues, bad trip /!\

Un téléphone qui tombe, commence à comprendre, un corps tremblant qui vient retrouver le sien prit d’assaut par les sanglots. Lâche enfin son combiné, le jette plutôt quelque part dans la pièce, comme la boîte qu’a glissé entre eux. Veut plus rien entre eux. Le serre contre lui en le forçant à se coller, réceptionne les tremblements entre ses bras qu’entourent le garçon, une main qui vient se reposer sur son crâne pour pat pat ses cheveux. Comment ça partir? Tu voulais partir- respire. C’est rien. S’force lui-même à reprendre un rythme convenable pour que le brun puisse le suivre et pas juste le faire paniquer plus. Renifle bruyamment afin de stopper les larmes. Du moins essaye. Pourquoi quoi? Je comprends pas bien… Je sais pas quoi faire. J’ai merdé? J’ai merdé je crois. Je suis désolé. Respire.

@Percy Haynes-Grayson

(#) 02.05.24 3:53

T'sens ses bras qui t'entourent. T'arrives même plus à écouter son coeur qui t'apaisait tant. Tente de t'concentrer mais plus tu t'concentres plus tu sens ton coeur qui bat bizarrement et ça t'fait peur.
Tu ...
Tu voulais partir
La tête qui s'lève à l'chercher du regard. Ta main qui tente directement de sécher les joues aussi humides d'Al. Mais c'mouvement te provoque juste un noeud encore plus lourd. T'sais même pas où il est c'putain noeud parce que tu sens qu'tu peux respirer de nul part.
Tu veux partir ?
Que t'arrives quand même à dire, en tentant d'réduire les larmes. Mais parce que la réponse au présent t'importe autant que celle du passé.

@Alastor Van Der Budenn

(#) 02.05.24 4:00

Quoi? Non? Mais non le gp il est à miami… c’pas loin miami rapport au fait qu’on est à miami.. Comprend rien de bout en bout, arrive pas à capter exactement où il a merdé, ce qui provoque cette hystérie chez le garçon qui en retour le fait paniquer de le voir dans cet état. Un pat pat qui devient une caresse entre ses mèches quand il relève la tête, croise ses yeux, maintient le regard en reniflant encore. Attrape sa main qu’est perdue, la serre en y déposant un baiser. Mais partir où? Du bateau? Je peux te laisser oui si tu veux. Je veux juste être certain que ça va avant ok? Gigote un peu pour s’éloigner de quelques centimètres assez pour poser une main sur le pectoral de l’amoureux -transit- sent les battements affolés sous ses doigts. Tu veux que j’appelle quelqu’un? Ça bat fort là je peux pas te laisse seul comme ça. Ordre d’un médecin.

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 02.05.24 4:10

Capte pas pourquoi il parle du GP. C'est pas l'week-end prochain?
Mais ses lèvres qu'viennent un peu, rassurer, une angoisse qui s'voulait inavouée. Tu secoues ta tête de gauche à droite. Refus qu'il parte. Tout sauf qu'il parte.
Ca va
mais
sa main qu'tente d'analyser la situation, t'comprends pas comment il peut être si distant et si présent à la fois. T'es en train de bader? T'hallucines?
Non ça va aller
T'essayes d'prouver que t'arrives à respirer mieux, parce que ton souffle s'fait plus grave, mais se temporise pas pour autant.
J'ai pris des trucs
Ca doit
Être
Ca
Ta main qui vient attraper la sienne qu'flotte dans l'vide. Tu t'serres à lui, mais tu luttes toujours autant. Parce que ses paroles t'font plus paniquer qu'autre chose et tes veines palpitent seulement pour retrouver Sissy.
Si t'es médecin
Tu m'sauveras ?
T'sais pas trop c'que tu racontes, mais tes yeux restent rivés sur un sac déposé sur une table de nuit plus loin. Fausse croyance de dégénéré, qu'elle pourra t'aider.

(#) 02.05.24 4:19

Ah bah non ça va pas là!! S’étouffe un peu en paniquant de plus en plus. Crise de larme oubliée qui continu à faire s’échapper quelques perles de temps en temps mais globalement cherche maintenant une prise sur le cou du garçon pour tenter d’analyser sa tension. Non ça va pas aller non plus non! Percy je dois- Son aveux qui l’coupe dans son élan. Reste silencieux. Comment ça il a prit des trucs?! A toujours prit des trucs, l’a jamais été comme ça. Si? Le connaît après tout pas depuis si longtemps que ça. Le laisse combler l’espace entre leurs corps à nouveau, pendant un instant seulement parce que ses prochains mots le foutent hors de lui. Le regard qui suit celui gris sur un sac. Se dégage immédiatement de l’étreinte pour aller récupérer le sac et l’ouvrir avec hâte. Le paquet blanc qui lui fait un clin d’œil. T’as pris quoi avec la cocaine?! Exactement? PERCY! Pichenette qu’atterrit sur l’épaule du garçon, claque des doigts devant ses yeux. Qu’est-ce que t’as fais?! Et pourquoi t’as- Qu’est-ce que t’as pris Percy?!

(#) 02.05.24 10:48

Il panique ? Pourquoi il panique ? T'captes pas trop son problème là de suite. Mais tu vois ses larmes, et ces perles qu'te forcent à essayer d'te calmer. Parce qu'tu voudrais pas le voir aussi mal. T'as dit qu'il explose quand ça émotionne trop fort, ça émotionne trop fort ?
Tu l'vois saisir le sac, tu profites d'son départ pour serrer davantage le drap dans tes bras. T'as une sensation d'froid qui t'monte aussi, qu'accentue un peu les tremblements, mais t'as pas trop la force.
Bah
La pichenette qui t'fait mal. Ses paroles qu'résonnent comme des cris, et t'froncent les sourcils parce que ça fait beaucoup.
Comme d'hab
T'essaye d'te calmer, parce que ça va pas en face. Et tu veux pas qu'il n'aille pas. Vu qu'tu commence à capter qu'ta situation aide pas trop
Weed. Alcool.
J'ai
pris qu'une trace
Que tu lui dis comme si ça pouvait aider dans quoi qu'ce soit. Mais l'pourquoi qui veut pas s'en rappeler. La peur qu'remonte. Il est là par pitié ?
T'as dis qu'tu peux pas
La mâchoire qui s'rre, les larmes qui t'ont trop vidé, plus assez d'eau pour exprimer une sensibilité accérée.
Tu veux partir
Le drap qui pourrait s'déchirer à force de le maintenir aussi fermement
... de moi

(#) 02.05.24 12:48

Comme d'hab, comment ça comme d'hab? T'es pas comme ça comme d'hab. Et quand ça semble s'débloquer, y a tout qui semble enfin sortir, la la liste, la raison, s'calme même un peu, plus d'larmes qui coulent et il souffle simplement du nez Al. Croit enfin capter l'problème, pas entièrement mais c'pas ce dont il a besoin là l'Percy. Repose le sac afin d's'accroupir près du lit, caresser à nouveau les cheveux bruns. T'peux compter jusqu'à 20? Mais bien. 1 Mississipi, 2 Mississipi, 3 Mississipi Continue jusqu'à ce que le garçon l'fasse aussi, lui dépose un baiser sur l'front puis s'en va rapidement chercher une bouteille d'eau qu'il trouve avec une efficacité qui le surprend lui-même, avant qu'il s'mange un mur dans son excitation. Revient dans la chambre en grommelant sur ces putains d'lumière qu'veulent pas l'aider. Pose la trouvaille un instant afin de forcer l'garçon à s'asseoir. Arrête de paniquer j'suis là. Et puis t'es lourd faut faire un effort allez! Quand enfin l'corps est en position assise, lui force la bouteille dans les mains en lui intimant de boire. J'devais réfléchir. Je t'ai dis que les émotions et... J'gère pas bien moi ça. Bois encore! Et j'ai pas dis que je voulais partir de toi, j'ai dis qu'il fallait que tu réfléchisse, je veux te donner une chance de... BOIS ENCORE J'T'AI DIS! J'croyais que t'étais tout seul pourquoi tu t'es mis minable comme ça tout se- Silence quand ça tourne. À cause de moi?

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 02.05.24 13:09

Non non jamais
Qu’tu réponds toi-même surpris. T’aurais jamais continué avec une telle descente. Qui accepterait quelques moments de plaisir pour ÇA?
T’demandes pourquoi il te parle de mississippi. T’entends pas les chiffres. Donc t’es la. À épeler chaque syllabe.
mi
si
si
sisisisi
pi
mi
Ses lèvres qui restent sur ton front. Ça te réchauffe pas mal. Et tu continues pendant son absence à tenter de répéter ce nom d’Etat.
J’essaye Al J’essaye
T’fais tout pour ralentir ce rythme. T’arrives déjà à trouver du souffle dans la gorge. Ça vient pas chercher dans l’ventre mais y’a un début.
Mais tu… c’est vrai tu me ?
Le drap que tu fais caresser contre le bout d’ton nez. Habitude infantile qui t’rassure, comme le doudou dont l’oreille du mouton que tu venais titiller le bout. Te force à boire. Mais t’arrives plus. T’arrives pas à engloutir l’eau, ça t’racle la gorge et ça te fait mal. L’eau un moment même qui coule sur le côté d’la lèvre.
J’ai eu peur de te perdre
Tu finis, seule réflexion que t’es capable d’lui sortir. T’aimerai retrouver ton habilité à faire confiance, à être patient. A l’écouter. Lui laisser tout l’temps qu’il souhaite. Mais la. L’coeur angoissé qui parle.

(#) 02.05.24 13:41

Essui l'eau qui s'écoule, prouvant qu'le garçon a enfin bien bu, en silence, croise pas encore son regard, s'occupe de fermer la bouteille pour la reposer par terre. La prochaine confession qu'lui coupe l'souffle, force un nouveau sanglot qu'il étouffe, l'enterre avec hargne en prenant une inspiration, s'relève. Allez, tu vas prendre un bain, ça t'fera du bien. Se souvient d'chaque méthodes même la plus conne qu'on lui a apprise, s'pare d'ce faux air d'docteur sérieux qu'on lui a claqué à coup d'bottes dans l'crâne avant d'enfin lui r'filer l'diplôme. S'dit qu'ça lui fera du bien à lui aussi, sent qu'ça tourne pas rond, qu'ça fait beaucoup, qu'son corps veut s'effondrer. Alors ça commence à d'venir trop flou, chancelle sur ses appuis, tente d'repousser mais finit par s'allonger sans s'en rendre compte, la gorge sèche et les mains sur les yeux. Attends deux s'condes.. J'reboot.. Explication qu'sort difficilement mais veut pas l'laisser retomber dans sa panique quand la torpeur l'prend. Dans un sursaut jette une main qui s'écrase contre la cuisse de l'autre, y plante ses ongles. Oui oui je t'aime sous-produit d'ectoplasme et j'vais t'niquer tes grands morts quandjreviensparcequtesjrot.. L'cerveau qui déconnecte l'corps en plein milieu d'sa phrase.

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 02.05.24 16:27

Tu captes pas pourquoi ça ferait du bien un bain. Y’a une renaissance dans a l’eau ? Miracle. Oui sûrement.
Mais alors qu’tu le suis, faiblement, tu ressens que ton appui perd pied. Tu le dévisages de la tête aux pieds. T’vois qu’il fait défaillance. Son corps qui s’allonge. Reboot. Tu penses à lui à la beach party. Tu comprends l’importance alors tu le laisses, et ta respiration qu’reprend le rythme petit à petit. Mississippi. Mississippi. Tu souffles fortement.
Les ongles qui se creusent dans ta peau. T’force à te rendre compte. Pas vraiment l’temps de répondre. De lui demander. T’proteges son espace.
Mais t’exécutes. Parce que t’es meilleur à l’écouter qu’à agir. Les draps que tu dégages de ton corps pour retirer tout habit.
Puis tu te mets à genoux sur le sol, venant dénouer ses chaussures. Tu lui retires dans un dernier geste ses chaussettes sans vouloir aller plus loin, lui laisser l’temps.
Respirer qu’il t’a demandé.

(#) 02.05.24 18:24

Comme toujours, l'impression d'simplement cligner des yeux, rouvre doucement les paupières, s'étire, fait craquer son épaule, récupère la bouteille pour boire longuement, observe ses pieds dévêtu des chaussettes, plisse l'nez, observe le Percy qu'est au sol. Qu'est-ce que tu fous par terre toi? Le force à se relever en faisant de même, le tire ensuite direction la salle de bain, chancelle un instant, s'rattrape contre la porte, respire, repart, s'dit qu'il s'est relevé bien trop subitement, chancelle à nouveau quand ils arrivent dans la pièce recherchée, s'assoit sur l'rebord de la baignoire afin de triturer les robinets, respire. À poil Percy et dans l'bain. Met sa main sous l'eau afin d'tester puis quand la température lui convient, bouche l'écoulement afin que ça commence à se remplir. T'as d'la chance d'pas avoir pris plus de cocaïne. Les bad trip là-dessous c'moche. Dans l'bain J'AI DIS. J'me retiens déjà d'te noyer, ne me POUSSE PAS.

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 02.05.24 18:41

Les limites qu’sont toujours longues dans ces moments là parce t’sais pas quoi faire. Alors t’attends, les pieds dans tes mains. Voudrais lui masser la plante mais ose pas trop, t’dit qu’aussi mal, ton contact devrait pas être satisfaisant.
T’vois qu’il se mange des portes. S’ demande un instant combien il a du s’en prendre en v’nant la. Mais ça va mieux déjà parce que t’arrives a marcher. Même si ça doit être humiliant d’un œil extérieur, deux canards cassés qu’tentent de trouver l’chemin de la rivière.
Quand c’est l’heure d’s’excuter, nu comme un ver, tu glisses dans un mouvement lourd et las ton corps contre la baignoire. Les yeux qui s ferment un instant. Tu lèves juste les bras dans sa direction pour l’inviter à s’glisser entre tes jambes. T’veux le sentir à nouveau près d’toi.
A moi
Que tu marmonnes comme un mouette d’dessin animé attendant son poisson avec impatience.

(#) 02.05.24 19:01

Suit enfin l’ordre de se glisser dans la baignoire. Peut se relaxer un peu en sachant que le garçon est revenu dans une position en sécurité assis et se mangera pas le sol. Quand y a sa main qui vient le chercher, il la frappe pour l’éloigner. ATTENDS. Pas habillé. C’pas vrai cette impatience là. S’dit pas que c’est l’hôpital qui se fout de la carte vitale. Retire ses habits rapidement afin de venir se glisser dans la baignoire, l’eau qui monte réchauffe petit à petit un corps qu’tremble encore légèrement. Le temps que ça reparte correctement. S’met en face de Percy, pas contre lui parce qu’il se dit que y a toujours besoin de parler et qu’il aurait même pas du être là. Plisse le nez en l’entendant exclamer le possessif. Ça je sais pas encore. Pourquoi t’as pas répondu?! Tu m’as pas dis que ça allait aussi mal?! Pourquoi t’as pas essayé d’appeler quelqu’un au lieu de sombrer comme ça?? Putain Percy pourquoi tu m’as pas simplement expliqué que tu comprenais pas?! T’aurais fais quoi si j’étais pas venu déposer la boîte ou que t’étais autre part?!

(#) 02.05.24 19:16

La main qui flotte dans le vide un peu trop molle alors qui reste la comme ça, on sait pas trop pourquoi. Puis quand il arrive enfin dans l’eau, tes yeux qui l’regardent en imitant le fameux poulet. Parce que t’aimes pas trop ça. T’en r’viens juste avec une tête de grenouille maussade.
Euh… T’as lu ?
Tu répondais pas Al…
T’arrives a aligner des phrases, bravo. Maintenant on va chercher la respiration dans l’ventre.
T’étais en teuf et …
Puis tes yeux qui s’illuminent parce que le cerveau comprend pas trop la leçon d’moral.
T’comprends pas quoi quand j’te dis explique moi ?
L’visage qui tombe dans ta main, parce les yeux ont du mal à rester bien ouverts pour l’instant. Qu’t’as besoin de prendre des inspirations avant d’trop parler.
Maman. À maman j’ai envoyé mais j’ai pas osé.
Et.. j’espérai t’allais revenir
Donc
J’voulais pas être avec quelqu’un
Alors que t’aurais pu être là.
Sait pas trop si ça fait sens ce que tu racontes. Mais tes yeux vont chercher son regard. T’sens vide un peu, épuisé. Les batteries qu’ont du mal à se recharger.
Ton pied qui vient chercher une bouteille de mousse de bain derrière le corps d’Al. Quand elle tombe d’un bruit épais, tu l’attires à vous.
J’veux des bulles

(#) 02.05.24 19:40

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 02.05.24 22:30

Ca fait un peu plus sens là en haut. Leçon Al n°1 : quand Al perd pied en sms, lui dire je t'aime et le laisser respirer. Tu d'vines, pas bien sûr que ça soit réellement ça la solution, mais t'essayes de retenir pour la prochaine fois de pas t'affoler ; au moins... T'essayes de retenir.
Son rire qui t'fait du bien. Ca ca te ramène.
Et comment je sais ?
Si tu m'dis pas ?
T'commences aussi à comprendre sa fameuse phrase, quand il t'dit qu'il est pas bien fort à dire directement c'qu'il pense. T'tentes de tisser une toile de compréhension, dans ton esprit, qui porte le nom du belge.
Faut qu'on trouve un code
Qui nous inquiète pas
Et qui t'permette de partir
Respirer
Quand tu veux
Tu proposes alors que t'as encore les yeux fermés, les doigts les forçant à pas s'ouvrir à nouveau, parce que t'arrives pas à t'préparer à la lumière à nouveau, t'cherches juste à retrouver un souffle.

Puis tu l'sens te ramener à la réalité. Tes paupières qui s'ouvrent enfin, la bouche qui s'entre-ouvre, l'yeux qui cherchent à comprendre ce qu'il fait.
Comment tu peux r'prendre ton souffle là ? Ton visage qui tombe en arrière pour accueillir la sensation. Respire.
Ton monde, c'est toi
Et t'crois pas si j'aime toi, j'vais aimer l'reste ?
Ta main vient chercher la bouteille pour commencer à faire couler la matière dans l'eau, puis tu viens la secouer férocement pour qu'il n'reste plus rien. Tu la vides d'un air satisfait.
Et toi?
Revenir dans mon monde t'effraie pas ?
Tes yeux qui l'fixent, qui cherchent une prise visuelle.
T'sais que j'ai toujours détesté qu'on dise que l'amour rend aveugle
Parce qu'en plus moi ça m'plairait d'être aveugle
J'veux dire la vie semble moins compliquée justement
Quand t'as l'soutien et l'amour d'la personne qui compte
Tes doigts qu'commencent à jouer avec l'eau en faisant des vagues. Tu fais même bouger ton bassin pour accentuer le courant afin qu'les bulles se forment rapidement.
Enfin... J'crois (bien la première fois qu'tu touches du doigt ce sentiment d'aimer, d'être aimé. Qu't'es réceptif aux émotions d'l'autre, que ses mimiques t'attendrissent, que ses rires te stimulent, bref, qu'tu te sens vibrer.)

Puis tu l'sens te saisir davantage. Ses bras qui t'entourent enfin, et tu lui lances un regard apaisé.
Tu colles tes lèvres à son oreille pour qu'il ressente ta respiration qu'a enfin reprit un rythme conv'nable, le rassurer qu'tu te dis.
Ta main vient se caler dans l'creux de son dos, pour à ton tour l'préserver à tes côtés.
Merci d'être venu
Ton regard qui plonge dans l'sien, qu'tu l'embrasses des yeux.
Merci l'doc
Tu me sauves

(#) 02.05.24 23:50

Mais parce que parfois j'ai pas.. Envie qu'tu saches? Que j'panique? Parfois j'ai b'soin d'respirer et j'veux pas inquiéter, rapport au fait que quand j'étais gamin... S'arrête en plein élan, secoue simplement la tête d'gauche à droite, les boucles qu'volent en accord avec la pensée qui s'enfuit. L'code c'est ça fait beaucoup? Ou y a trop d'émotions? Quoique parfois c'pas bon non plus d'me laisser.. T'vois?? J't'avais dis que c'était compliquée cette histoire! L'laisse un peu respirer, lui rev'nir, semble avoir fait effet sa technique, l'aime bien ça, l'fait pas avec beaucoup, c'que ça marche pas sur tout l'monde, d'vienne trop excité ou la sensation qu'gêne immédiatement, a pas l'air d'trop être désarçonné alors c'est qu'ça fonctionne? Les prochaines paroles qu'il aime pas réellement, veut pas s'expliquer, encore une fois d'vrait même pas être là, s'force à respirer correctement en l'observant vider l'tube d'gel douche dans l'eau. gonna be a lot of bubbles... T'peux ne pas aimer mon monde Percy. J'dis pas qu'ça doit forcément être compliqué, j'dis juste que c'jamais aussi simple que ça n'y paraît. Parfois j'le haïs mon monde et c'qui s'y passe. Mais j'fais avec parce que j'suis obligé, c'le mien. Mais toi.. T'as aucune obligation. L'évite son regard quand il cherche à l'capturer, tourne l'visage en gardant sa prise, souffle dans l'vide en observant par la fenêtre la vue qu'donne sur l'océan. C'bien ça qui bloque. Je retournerais pas dans ton monde... J'y survivrais pas. S'coue à nouveau la tête en ravalant ses larmes, l'observe enfin quand il lui fait une belle déclaration qu'change rien aux faits qui sont exposés. Et son souffle qui chatouille son oreille, lui prouve qu'ça va mieux, lui prouve qu'y a plus aucune raison qu'ils restent à deux. C'normal... Souffle éteint quand y a l'vert d'ses iris qui d'viennent plus terne. S'force à sourire, ça s'affiche mal, alors lui caresse la nuque d'cette manière qu'indique qu'faut lâcher maintenant. Comme quoi... J'savais bien qu'elles étaient pas perdues ces années. J'vais y aller. Vu qu'ça va mieux. Toi du repos, immédiat, et va pas au lit sans t'sécher, t'vas choper la crève.

(#) 03.05.24 9:18

Tes yeux fermés qui t'permettent de te concentrer sur ses intonations, son dernier mot qui reste dans ton esprit un moment. Ta main qu'vient caresser son avant-bras dans un, oui d'accord.
J'veux pas te laisser Al
Mais j'vois bien que t'as b'soin de tes moments
Et j'ai besoin de quelque chose qui m'dise de me retirer
Sans avoir peur
Que c'est toi qui m'laisse
T'essaye de pas trop penser à cette panique qui t'a tant retourné. Abandon qu'a toujours un goût amer sur l'bout de ta langue.
Mais j'ai envie d'le découvrir
Je peux ?
Tu jettes un regard furtif, mais il se concentre sur l'océan davantage que sur le cyclone d'tes yeux. A ses paroles tu ressens cette voix qu'est pas assurée, et t'aurais envie de le dorloter.
Très bien
On y retourne pas
T'capte même pas l'usage du "nous". T'y penses pas trop toi à c'monde, parce que tu sens qui s'écroule. Mavis. Asher. Ta mère. Et ton monde, c'est eux.

Puis tu l'sens se retirer. Sa prise qui s'perd et qui te laisse vide, à nouveau. T'sens directement l'néant qui t'a fait paniquer plus tôt. Mississippi. Mississippi. Tes pensées qu'ont du mal à suivre ce qu'il raconte. T'entends juste le "J'vais y aller." qui te fait manquer une salive.
Tu r'gardes autour de toi, les bulles qui s'font formés et dans une voix brisée
Tutututu, tant qu'l'eau est pas froide
Reste
T'prends conscience de la difficulté d'la situation. De l'élastique Al. Sa capacité à être là mais si éloigné à la fois, et ça t'fait peur, parce qu'un élastique, ça s'brise.
Tu le rapproches de toi en tirant sur l'une de ses cuisses. Dans l'même mouvement, tes mains viennent s'accaparer un certain nombre de bulles que tu viens coller à son visage.
Ferme les yeux
Et t'essayes de dessiner un fruit. Tes doigts qu'viennent se planter sur ses paupières pour faire des trous. Le haut qu't'essayes de faire dans une pointe. Ca ressemble pas à grand chose, et d'un rire sans conviction, l'noeud dans l'ventre, tu penses à son écurreil et à la rose.
J'voulais te faire une tête de fraise mais...

(#) 03.05.24 9:50

Sa compréhension elle le lacère petit à petit, elle fait remonter un acide dans sa gorge qu’est pas facile à maîtriser. Et il s’sent difficile à aimer quand l’garçon semble rendre ça si facile. T’as pas à te retirer dans ces moments… C’est un murmure qui répond parce qu’il a pas envie d’expliquer mais il a pas envie d’le laisser filer. Se sent con d’l’avoir ignoré ainsi et que ce soit c’qu’il pense. Qu’il a pas besoin de lui. Ou qu’il doit être seul? Y a beaucoup d’information et il arrive plus à tout suivre avec cette envie de degueuler omniprésente. Je peux pas t’interdire de le découvrir… Tu fais ce que tu veux t’es un grand bonhomme. Mais.. Tu comprends que si tu pars après l’avoir découvert ça va laisser un vide? Parce que je vais te faire une place et- Se rêche sur un nouveau sanglot étouffé, préfère pas finir cette pensée non plus. Secoue encore la tête d’maniere négative aux prochaines paroles. Arrête! Tu peux pas tout lâcher?! Sans être certain? Ça fait moins d’un mois qu’on se connaît. Le 6 ça le fera. Tu peux pas- Nouveau sanglot étouffé, sent bien que ça veut sortir mais s’force à le ravaler encore et encore, la nausée de plus en plus présente en contrepartie.

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 03.05.24 11:49

Un baiser qui se dépose sur sa joue parce que y’a rien de plus à dire. S’il veut que tu sois là, et bien tu apprendras à danser à son rythme. Parce que comme il le dit, t’es plus empressé, t’vois pas les risques, les sacrifices.

Puis ses mots qu’viennent te faire réaliser. Ce trou qu’t’as touché du doigt en le sentant partir, qu’il peut aussi ressentir. Encore plus fort.
Tu lui proposerai bien d’y aller petit à petit mais tu sens comment ça s’affole entre vous. Que t’es pas capable de lui promettre d’y aller doucement. L’impression d’pouvoir faire une place dans sa vie qu’en y rentrant à 110%, complètement. Parce que tu t’serai pas autant impliqué, tu serais jamais passé au dessus de ces doutes identitaires sans ce dévouement total.
Merci
De vouloir essayer
Que t’arrives simplement à lui répondre. Tu cherches à lui montrer que tu comprends, même si t’as pas les mots adéquats.

On s’est rencontrés le 6 ? que tu te dis. Il se souvient qu’votre date c’est le 6? L’detail qui vient chatouiller le romantisme en toi.
Tu sais pour Ash
Enfin j’crois
Et maman qui…
Bref tu captes que mon monde tient plus la route
Tu lui indiques, sans avouer que tu serais prêt à tout plaquer. Parce que t’as jamais été un radical, qu’ta socialisation elle est ancrée en toi et tu peux pas non plus tout faire valser. Mais s’ils lâchent, tu laches.

Tu l’sens revenir. Tu reviens dans l’present. Un souffle profond qui tombe sur l’torse du belge.
Affreux affreux mais non
t’es beau comme un…
…caca?
Qu’tu sors en analysant un peu plus sa tête ; et la forme que t’as crée.
Mais t’as pas l’temps de trouver une meilleure métaphore car il s’empresse. Ses mains qui cherchent à trouver un échappatoire. Tu l’aides un peu, en allant chercher de l’eau un peu propre pour essuyer ce qui lui reste.
Et son corps qui tremble. Ton annuaire qui vient faire des allers retours de manière à lui indiquer le rythme d’une respiration qui devrait s’ralentir.
Je t’aime Alastor
Et tu t’sens soulagé. Qu’il le sache enfin. Que ces mots viennent tout dire : personne ne va partir, on est ensemble, quoi qu’il en coûte.
Ta main libre qui vient se caler à l’arrière de son crâne pour l’inciter à trouver refuge dans ton cou. Puis tes baisers dans ses cheveux qui se déposent au même rythme que ton doigt qui dessine. T’es incapable cette fois-ci de rester passif même si tu sais pas si ça l’aide. Mais tu veux qu’il ressente ces trois mots par tes gestes. Tu veux qu’il comprenne que tu l’aimes. Peu importe que ce soit un coup d’foudre de cinéma.

(#) 03.05.24 13:23

Commence à avoir l'coeur qui s'affole et l'corps qui r'ssent plus rien à pleurer comme ça, à tenter d'se retenir en suffoquant. "Je t'aime Alastor" éclate dans d'chaudes larmes et une grimace, s'laisse reposer sur l'épaule, l'nez dans son cou quand on l'y invite. Emet des sons d'pleutre à chaque inspiration bancale en chialant comme un enfant, les émotions qu'sortent toute en même temps. Et ça prend du temps à s'calmer parce que ça f'sait un moment qu'ça montait, d'longues minutes d'silence bienfaiteur, finit par chouiner un peu plus doucement contre lui avant d'finalement renifler une morve abondante qui lui plaît qu'moyennement, reprenant son souffle sous des baisers et des caresses encourageantes. j'beux b'boucher. Qu'il déclame enfin, capricieux, en gigotant parce que la sensation est pas agréable mais il veut pas s'essuyer sur la beau propre du brun. Et c'est en gigotant qu'il l'sent si proche dans un souffle ravi. L'eau qu'commence à d'venir trop tiède, l'frileux qu'veut plus être là, qu'a désespérément besoin d'un mouchoir mais surtout d'sa présence à l'extérieur comme à l'intérieur. L'entoure alors d'ses jambes et ses bras, s'pend à Percy comme un paresseux à sa branche. B'ai fruad. Renifle encore bruyamment dans toute sa splendeur. Voudrait bien lui dire qu'il l'aime mais c'qu'il a pas fier allure actuellement, alors il dépose un doux baiser sur son cou. Avant d'mordre son épaule.

(#) 03.05.24 19:39

Plus ses pleurs augmentent, plus t'accentues tes mouvements. Ils se font plus lourds ; les doigts qui s'enfoncent dans la peau, les lèvres qui restent plus longtemps sur les cheveux ; tenter d'le rattacher à l'instant.
Puis quand ça semble s'calmer un peu, au moins physiquement, tu l'laisses s'éloigner en décrochant ta prise.
Mais il se raccroche davantage, t'entourant avec la seule indication d'le réchauffer. T'sens un baiser baveux non pas d'salive, puis une morsure qui te fait lâcher un léger rire. Les tensions qui faiblissent enfin.
Mais les bulles..... Tu réponds un peu déçu de voir un bain encore rempli de mousse inexploitée. T'penses au canard que t'aurais pu former, à la sublime barbe que tu te serais faite. Mais jouer n'est pas la priorité.
Tu le soulèves alors, gainant ton corps au maximum pour ne pas chuter sous l'eau. D'un bras tu tires l'bouchon et de l'autre tu viens chercher un mouchoir en tissu que tu lui fais tomber sur le nez. Pendant qu'tu l'entends renifler bruyamment, la moue toujours aussi dégoûtée, tu l'entoures d'un peignoir blanc portant les lettres de ton prénom. Tu frottes avec énergie son corps pour l'essuyer avant d'l'enfiler.
Lorsqu'enfin vos corps sont secs, tu n'perds pas de temps pour vous glisser dans l'lit. Ton bras qui lui permet d'avoir un coussin moyennement moelleux. Tes lèvres qu'viennent embrasser son front avant d'le border avec la couette.

(#) 03.05.24 20:16

Y a pas beaucoup d'trucs qui s'enregistrent dans son p'tit crâne malmené si ce n'est le mouchoir soutenu par Percy dans lequel il s'vide avec fracas, renifle ensuite d'pur bonheur, les nasaux libérés. Offre un doux baiser sur l'épaule à nouveau, qu'il essui d'ailleurs avec un bout de peignoir quand son corps est vivement réchauffé. Et tout cela sans relâcher une seule fois sa prise de koala possessif sur le garçon, le laisse absolument tout faire sans regret. Surtout lorsque les corps s'basculent sur le lit, resserre sa prise et frotte sa joue contre son cou puis pose un baiser sur sa mâchoire, puis frotte sa joue contre la joue du brun, l'embrasse sur la joue ensuite. Je t'aime. Merci... Dépose un autre baiser sur ses lèvres tout en gigotant pour mieux glisser contre lui. T'veux ouvrir les boîtes? Ce n'est qu'un murmure, un secret échangé dans une tendre embrassade, ses mains qui caressent un dos vêtu du peignoir. T'es obligé d'toujours t'habiller comme ça?!

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

(#) 03.05.24 21:06

T'sens sa joue contre la tienne. Et t'as jamais bien aimé les animaux mais là t'as l'impression d'avoir un chaton dans les bras. D'une douceur extrême aux pics d'excitation incapable d' suivre. Et qu'tu l'aimes ce chaton. Même si ça t'empêche pas d'répondre
Moi aussi je t'aime... mollusque...? dernier mot qui sort d'ta bouche en le regardant globalement, à l'voir si collé à toi.
Ses lèvres qui viennent à toi, t'aurai envie de continuer l'baiser mais t'as juste la bouche pendue à lui en l'écoutant
Ca va pas trop émotionner si on le fait maintenant ? Tu penses aux quelques mots que t'as griffonné. Des lettres en majuscules dans tous les sens, qu'veulent pas dire grand chose à part des jurons d'sentiments.
Eh ! L'est super beau mon peignoir que tu rouspètes en lui montrant un sigle "Percy" En plus t'adorerai regarde tu lui montres l'écriture rouge mexicaine C'est rouge comme une fraise qu'tu réponds fièrement.
Puis tes yeux qui croisent les siens et tu comprends.
Ok l'gros cochon, j'me déshabille.

(#) 04.05.24 13:22

You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.

Contenu sponsorisé Infos RP +