BACK IN WYNWOOD
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Tout le monde connaît cette ville de Floride qu’est Miami. Ville qu’on nomme aussi Magic city, elle est également synonyme de plages, de sable doré, de luxe. Dans cette ville, mais surtout à Wynwood, quartier atypique de Miami, vous pouvez être qui vous souhaitez être. Vivez au gré de vos envies, de vos croyances, vos idéologies ou encore ce qui vous anime et surtout, apprenez à le faire en communauté. D’autres personnes, des alter ego ? Une chose en commun, peut-être deux, ou plus. Des communautés bien distinctes, qui peuvent amener des conflits, de la concurrence. Des communautés qui s’affrontent pour en arborer leurs couleurs. Le plus important ? Ne pas oublier ce qu’il y a à côté : les fêtes, l’amitié, l’amour… les secrets ? Surtout LES SECRETS. Tout le monde cache des secrets, nous le savons. Qui n’a jamais pêché au point d’en avoir honte ? Personne. Et vous, vous osez vivre votre vie pleinement avec ce petit secret bien gardé. Faites cependant bien attention, parce que dans les rues des différents quartiers de Miami se cachent des personnes mal attentionnées voulant à tout prix faire de votre vie un fléau. Vous faire revivre vos plus grandes craintes, peurs ou encore raviver vos souvenirs les plus douloureux, et tout ça à l’aide de simples lettres, de réseaux sociaux, de textos et bien d’autres supports encore. Alors, le jeu en vaut-il la chandelle ? Il paraît que la vie est un jeu, mais heureusement tout le monde triche un jour … Que le jeu commence !
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Back in Wynwood est un forum city/university, vous avez donc le choix de créer un étudiant ou un citoyen. Que ce soit l’un ou l’autre, vous avez également autant d’occasion de vous y intégrer, puisqu’un concept de club est présent pour les citoyens et étudiants, et un système de confrérie pour les étudiants. Chaque confrérie possède un chef, chaque club possède un président. Des activités sont prévues, des missions, et surtout des rebondissements qui mettront vos secrets en péril. Il va donc falloir jouer le jeu, mais surtout réfléchir à un secret bien difficile à trouver. Ce forum se veut sans prise de tête, agréable et relativement light au niveau des contraintes. Nous respectons tous ces débats sur les origines des différents fc, mais nous avons fait le choix de ne pas obliger nos membres à respecter de manière stricte les origines de leur avatar.

rpg city/university réel - 1 rp par mois au minimum - 250 mots demandés - les initiales dans les pseudos sont autorisées - 10 jours pour terminer sa fiche - système de points mis en place - système de confréries et de communautés pour les citoyens - Chasse aux secrets.
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#Membre #Miami
Percy Haynes-Grayson
Percy Haynes-Grayson
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FACECLAIM : pierre gasly
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ÂGE : 23 ans (23/11/2000)
OCCUPATION : cursus : financial markets & investments + commerce international (6th, dernière année master) + investisseur crypto (simflouz $$)
STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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TW : référence à des drogues
- OUTFIT -


- 13 avril, huit jours plus tôt -

On ne s'attend jamais à ça. Au bonheur j’veux dire. On anticipe toujours les moments où notre cœur va lâcher, on préfère imaginer les pires scénarios, juste au moins, pour avoir des défenses assez solides. Mais on ne se prépare jamais pour la joie. L’absolu bien-être. Et même durant ces moments-là, s’en rendre compte relève d’une propre objectivation pas forcément évidente. Alors quand tu souris, les thés dans une main et les beignets de l’autre, tu ne remarques pas ce bien-être. Tu te diriges, simplement, selon toi, vers l’homme de ta nuit, que t’aimerais au pluriel. Dont tu veux perdurer la matinée à ses côtés. Tu penses un peu à son corps endormi, dont la fragilité s’est jetée à tes yeux. Ce corps athlétique, assuré, qui paraissait si frêle une fois endormi. L’envie de continuer à le connaître, qui se matérialise par cette invitation à déjeuner. Puis, tu penses à son sommeil, ou est-il déjà levé à se brosser les dents ? Dans tous les cas, de tes pas assurés t’affiche un sourire heureux. Jusqu’à ce que tu les voies. Ces deux hommes qui incarnent les paternels du garçon. Son père biologique, un tendre flamand qui vous a laissé profiter de votre mielleuse nuit, et son père adoptif, un protecteur mexicain, qui t’aurait fumé au charbon s’il avait pu. Tu t’rendais pas compte hier soir, dans ce mélange d’endorphine et de marijuana qu’ils étaient là, et toute la portée de la rencontre. Ta gorge qui se serre en les apercevant. Leur amour évident à remarquer, ces gestes qu’ils ont pour l’autre, leurs rires qui ne font qu’un. Parents des hyènes dont leur union atteste une simplicité de vie. Ton corps qui se bloque. Tes yeux parcourent le bout du bâteau, seul espace que tu saurais définir : la chambre d’Alastor. Tu l’imagines soudainement réveillé, à t’attendre, ses pas qui se dirigent vers ses pères. Et alors plus rien ne semble faire sens dans ton esprit. Le thé et les beignets que tu déposes sur un banc dans une agitation. Ton corps qui s’avance de lui-même, en arrière, de pas précipités. Incapacité à entrer dans cette vie. On s’attend jamais à ça. Au bonheur j’veux dire. On anticipe toujours la facilité, on préfère préserver ces scénarios de félicité. Mais on ne se prépare jamais pour les changements que cela engendre. On n’a jamais les bonnes défenses.



- 21 avril, aujourd’hui (dans la nuit, dortoir pi sigma) -

Si durant huit jours, tu as pensé à lui, que tu as tenté quelques fois d’écrire un message, tu te ravisais systématiquement. T’étais incapable de faire ce premier pas. Plus les jours avançaient, plus tu disais que tu ne pouvais débarquer comme une fleur dans ses messages privés. Alors t’avais tenté d’en parler, d’te dire que des amis pourraient t’aider, ou lui envoyer des fumigènes de détresse. Mais il ne se passa rien. Un vent qui soufflait, mutuel, provoquant certainement une tornade entre vous. Parce que si tout est nouveau de ton côté, d’autres tourments que tu ignores, animent celui que tu désires. Ce décalage qui vous éloigne alors que tu rêverais de créer des ponts.
Puis, il y eut ce glissement de doigt. Ta main sur un caleçon à bosse, des yeux qui se perdent sur ce corps qui te manque, et enfin, ce like. Ton téléphone que tu jettes dans une peur. Qui s’allume rapidement, six notifications qui te ramènent à une réalité : tout se voit, tout se sait.
8 JOURS LE RECONDITIONNÉ AND THIS IS THE NOTIFICATION I GET?!
La lèvre supérieure que tu mords, tes doigts empressés qui tentent de répondre de cet air désinvolte qui te colle à la peau. Se dédouaner sans subtilité aucune. Mais un partenaire blessé qui attend une maturité. Plusieurs messages durant lesquels tu ne montres quasi aucun pardon. Noyer l’poisson que tu penses. Et puis, sa colère que tu ressens, presque un peu de ses angoisses également. Sa soeur. Ton absence. L’besoin qui monte de le rassurer, de te montrer vulnérable toi aussi.
c'est pas une question de vouloir mais pouvoir l'reconditionné.
Tu ne sais pas trop à ce moment-là s’il parle uniquement de lui. Mais ça se questionne dans ton esprit, et tu te poses réellement la question. Qu’as-tu envie ? Que peux-tu lui offrir ? Après tout, il est arrivé dans ta vie dans une roulade qui a emporté pas mal de choses à l’arrivée. Tes envies qui se sont transformées, ton âme qui s’est ouverte à des possibilités inconnues, et puis ce désir ardent, toujours, de le découvrir. Mais peux-tu ? Peux-tu le découvrir ? Peux-tu accepter tout ce que cela signifie : gagner sa confiance ? Gagner la confiance de la sœur ? Par ailleurs, peux-tu toi-même accepter d'envisager un avenir avec un homme ? Cet homme qui aura ce siège vide attendant ta dulcinée, aux repas de famille ? Es-tu capable ?
essayer quoi?! explique moi ce qu'il y a à essayer??
Tu mets quelques minutes à répondre, les doigts levés sur ton écran. Tes paupières qui se ferment et qui se rappellent. Tous tes organes qui se rappellent ce qu’il produit en toi, de cette montée d’émotions dès que tu fais référence à lui. Tes lèvres qui s’étirent quand tu imagines être près de lui. Ce dégoût à t’imaginer avec une autre, parce qu’elle ne sera jamais lui. Sans savoir réellement encore ce qui te plaît vraiment chez le belge. Une superficialité que tu ne connais seulement. Mais cette surface déjà, qui t'intrigue tant. Et vos cœurs qui s’ouvrent à l’autre, éperdument.
puis tu comptais me l'demander quand d'y avoir un nous? entre deux panique, la tienne puis la mienne?
Une respiration. Un souffle que tu vas chercher jusqu’à ton ventre, des poumons qui se gonflent au maximum. Ta mâchoire qui se décontracte. La bulle qui se crée à nouveau entre vous. Parce qu’entre deux paniques, il y a ces rires, cette facilité déconcertante à être bien à ses côtés. Cette attirance que tu n'arrives à contrôler. Puis finalement, cette panique qui cesse dès lors que tu lui parles. Tout qui s’éclaircit dans ton esprit dès qu’il est là.
on panique certainement pas pour les mêmes raisons.
Tu t’assois au bord de ton lit, prêt à l’écouter. T’enferme dans une boîte toutes tes peurs, ce qui te terrifie face à un futur partagé pour le comprendre. Même si tu sais que tu n’as aucune arme, pour lui, tu veux découvrir la source de ces craintes, tenter d’y répondre, de soulager ces peines anxieuses qui l’animent.
que j'ai envie de prendre un putain d'bagel avec toi l'matin avant d'me faire assommer l'crâne en thanatologie générale. que j'ai envie d'partager un thé froid avant d'me bousiller en danse. que j'ai envie qu'tu viennes prouver que ça en vaut la peine.. la peine d'me battre pour qu'elle t'accepte.
Une larme. Le goût salé qui tombe à tes lèvres. Ton cœur qui manque de plus en plus de palpitations. Ce désir d’exister à ses côtés. Cette nécessité de créer des souvenirs. L’besoin d’arrêter de l’appeler Alastor pour l’appeler mien. De masser ses jambes lourdes après ses entraînements de danse, d’enfin, oser, partager un déjeuner à ses côtés et ceux des paternels. Tu ne réfléchis plus vraiment parce que lui parler te donne ces ailes que tu es incapable de construire seul. Il te donne ce courage que tu n'aurais jamais eu avec un autre. Et tu sais, à cette deuxième larme qui tombe sur la langue, que tu serais prêt à tout, pour lui.
Je t’attends devant la BU.


- 21 avril, aujourd’hui (dans la nuit, devant la bibliothèque) -

Ton corps s’affole, d’un revers de la main elle vient essuyer ces joues humidifiées. T’attrapes rapidement la tenue de la journée, sans trop savoir à quoi tu ressembles. Être près de lui le plus vite possible, en pyjama ou en costume. T’attrapes cependant ton parfum que t'enclenches, un baume à lèvres qui glisse sur la bouche et un chewing-gum à la myrtille que tu mastiques. Pas l’temps de se rouler quoi que ce soit. Des consommations néanmoins toujours présentes dans ton sac que tu emportes avec toi. Ces addictions qui t’empêchent généralement d’aller où qu’ce soit sans ces aides.
Et déjà, tu es dehors. Dans un pas pressé, tu arrives devant la librairie. Tu parcours les différentes colonnes pour vérifier qu’il n’est pas derrière, mais aucune trace. Tu tapes frénétiquement un je suis là impatient. Crainte qu’il ne se montre pas, qu’il comprenne que tu n’en vailles pas la peine. Après tout, quelle idée de se rejoindre à une heure improbable pour apaiser des cœurs meurtris de maladresse et de panique ?
Lorsque enfin, tu le vois. Tes sourcils s’abaissent, tes lèvres s’entre-ouvrent, tes joues virent à un léger rouge. Tu ne ressens pas tout de suite les papillons qui se créent en toi, c’est seulement à leur envolée, quand le danseur s’approche davantage que tu les sens exploser le long de tes poumons. Cette cage thoracique qui se sert, t’empêchant de respirer convenablement. Les doigts que tu malaxes entre eux, le pouce venant agresser l’intérieur de l’autre main. Ton genou s’agite sans même que tu ne t’en aperçoives. Enfin, quand il n’est plus qu’à quelques centimètres de toi, ton corps semble se dérober sous toi. Il est magnifique. Toujours. Sous les lumières tamisées des lampadaires du campus, reflétant des yeux verts perçants. Malgré un regard qui devrait t’indiquer son état d’esprit. Tu n’oses pas t’approcher de lui. Sentiment de lui voler une intimité si tu effectues le moindre pas. Alors t’évite d’observer ses lèvres, ce corps que tu voudrais enlacer. “Merci d’être venu…” tu commences cependant, la voix un peu écorchée. Ton pouce vient cette fois-ci jouer avec l’autre annuaire. Tu penses à Lucas, “parle avec ton cœur” qu’il t’a dit. Sans réfléchir plus, ta bouche s'ouvre à nouveau. “Je n'aurai jamais dû te laisser douter de moi, de nous. J’aurai dû saluer tes pères, j’aurai dû dire merci à papa pour… J’aurais dû t’envoyer ce message.” tes paroles sont maladroites, mais tu ne ressens plus aucune gêne à livrer ce que tu ressens. Parce que tu sais, tu crois, du moins, qu’il a besoin de ton honnêteté. “Je sais qu’on ne reviendra pas là-dessus. J’avais besoin d’être sûr de moi avant de revenir vers toi. Je ne reviens pas pour te faire des faux semblants. Je suis là, et je resterai là tant que tu voudras de moi” Et ta main tremblante qui vient chercher la sienne. Renouer contact que t’essaye difficilement. Cette main qui se plonge dans la sienne, qui tente de dénouer les doigts du Belge pour les enlacer. La résistance que tu tentes de détruire.

@Alastor Van Der Budenn lov





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Alastor Van Der Budenn
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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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TW : langage grossier
- OUTFIT -


- april 13th, 6am -

A fait preuve d'une extrême discrétion quand il a ouvert les yeux sur un torse velu, certainement pas l'sien, a continué à jouer les ninjas bas d'gamme en relevant les yeux sur l'visage d'un Percy endormi, la tête dans l'coltard et les paupières bouffis, a dû s'extraire de la prise réconfortante pour braver le froid afin de se précipiter au toilette, s'souvient des paroles du brun y a quelques heures, s'dit qu'effectivement il aurait du y aller sur le tas mais l'avait pas envie sur l'moment, avait juste envie d'dormir. S'souvient même pas s'être assoupi d'ailleurs, s'souvient juste du parfum du garçon, presque effacé après tant de temps et d'effort, une simple odeur fugace qui l'a bercé tandis que ses boucles reposaient sur un bras confortable, des gestes tendres qu'ont forcé ses membres à se détendre, une prise sur le bas d'son dos qu'a amené les corps à collisionner à nouveau, pour finir par un baiser, doux, a fermé les yeux pour en profiter, ne les a rouvert que bien plus tard.
Dans la petite salle de bain, a prit une douche rapidement avant de revenir dans la cabine, cold cold cold à nouveau en boucle dans son esprit. Et tandis qu'il allait se faufiler à nouveau sous les couettes, y a un endroit qui vibre, l'force à froncer les sourcils, l'force à partir en quête d'l'endroit qui s'excite frigorifié malgré le poêle qui émet une constante chaleur. Ses doigts tremblants qu'attrapent un sac qu'est pas l'sien pour en sortir un téléphone qu'affiche des sms et quelques appels manqués. A dans l'idée d'le reposer immédiatement, respecter la vie privée tout ça tout ça qu'on lui a bien apprit, mais l'fait pas. Garde l'appareil en main en glissant sur le lit pour atteindre l'endormi, fourgue le digital d'vant son faciès pour le déverrouiller grâce au face ID, thanks apple and sorry god i guess? s'rend dans les contacts pour récupérer les informations du partenaire qu'il note rapidement sur un bout d'papier. Puis verrouille le téléphone et le remet à sa place non sans y glisser avec son propre numéro sur un bout de papier avec son blaze, l'dessin d'un écureuil en fin d'vie et une fleur, pour pas mettre d'cœur parce que c'ridicule un peu. Si on lui demandait, nierait de A à Z l'échange de contact, dirait qu'c'est la fée destinée, qu'il était défoncé en s'réveillant, qu'Percy l'a trop bien niqué... Dans tous les sens du terme. Et dans le silence de ce début de matinée, bien trop tôt pour que le monde ne s'éveille, le belge se glisse à nouveau dans la chaleur d'un corps qu'il enlace, oublie rapidement qu'il se demande ce que ce serait de se réveiller à deux ainsi, pour le reste de leurs vieux jours.  

- april 13th, 10am -

L'vide qui l'étreint quand il s'réveille une deuxième fois lui file une telle nausée qu'il s'dit qu'il aurait préféré pas s'réveiller la première fois, pas avoir goûté à un moment chaleureux juste pour l'avoir retiré ensuite, it's cold again. Supporte pas l'silence qui force son âme à se tordre, boule d'néant qui r'vient compresser ses côtes, enfile un vieux peignoir troué sur l'short d'hier et traîne sa carcasse jusque sur l'pont pour respirer. R'trouve des parents qui l'observent comme un paresseux dans son milieu naturel d'paresseux. S'gratte l'bas du dos en baillant puis s'échoue sur un des petits canapé qui le réceptionne maladroitement.

-- Quelqu'un t'as acheté le petit déjeuner.

Arque un sourcil, zieute la table où du pain, d'la confiture à mamie, du beurre breton et du pain pita s'empile, rien sorti d'la boulangerie, lance un regard d'poulet indigné à son père qui glousse en reconnaissant les traits d'son époux. L'époux en question qui fait claquer sa langue sur son palais en jetant l'même regard à son mari, victime d'ces iris hargneuses, le néerlandais qui tapote les boucles de son fils en restant de marbre face au latino qui insulte bientôt le vent sur plusieurs génération dans sa langue natale avant de déposer deux thés et un sachet contenant des petits beignets avec le reste des ingrédients. Alors ça lui r'monte un peu le moral au Al qui s'redresse pour voler une sucrerie rapidement et la mâcher goulument. Ouvre l'récipient contenant l'thé pour en renifler le contenu, grimace, repose l'récipient en le poussant vers ses parents.

-- J'aime pas l'thé d'américain, vous l'savez.

S'reçoit une tape sur l'arrière du crâne par un papito qui lui somme d'pas causer comme ça. Marmonne des excuses l'garçon en soulignant qu'il a l'myocarde brisé alors il peut bien avoir un passe droit pour la journée. L'regard de l'espagnol qui s'détourne tandis que l'regard du père se fait plus doux, une certaine compréhension dans des actes que les deux hommes de sa vie semble pas bien connaître.

-- On a rien acheté. C'est ton don juan qui les a amené. Il les a déposé sur le banc avant de s'enfuir en nous voyant. Désolée pequeño, mais c'est peut-être mieux ainsi considérant que ton tendre et cher papito l'aurait certainement étranglé.
-- ¡Perdón!

Et ça s'insurge à nouveau rapidement, une conversation qui prend en vigueur quand aucun des deux ne veut lâcher l'morceau, un homme qui reconnait les actes maladroits d'une nouvelle rencontre, un autre homme qui n'excuse rien avant d'accepter ce qui est très certainement un idiot dans les rangs de sa petite famille, non sans avoir effectué un test complet de l'animal. Mais ça Al il y est insensible quand se dessine sur ses traits un fin sourire, rassuré quand y a l'inconscient qui gronde, juste heureux d'savoir qu'il a pas prit la fuite.

- april 21th, 2am -

En r'tard, toujours une habitude, sait pas s'rendre à un rendez-vous à l'heure même en partant des heures à l'avance, s'mangera toujours l'adversité en pleine gueule. Pas qu'il a traîné en plus, a enfilé des vêtements qu'sentaient pas la sueur, puaient un peu trop la fraise mais au moins ça sent l'sucre et pas l'salé d'ses d'ssous d'bras. A peut-être cherché deux boîtes un peu trop longtemps, c'qu'il les a pas retrouvé tout d'suite, deux cartons rectangulaires avec un couvercle, d'couleurs vertes et grises, ça l'fait d'ailleurs déconner bien trop longtemps, l'casque vissé sur ses oreilles qui joue un air qu'il reconnaît, arrive pas à poser un doigts d'ssus, reste à les observer avec la bouche ouverte d'surprise, s'reprends que quand l'téléphone vibre, sort l'engin pour y lire un "je suis là" qui l'remet en action, s'relève, s'pète la gueule en glissant sur une chaussette qui traîne, s'relève à nouveau, s'mange la porte en voulant l'ouvrir trop rapidement, jette un coup d'œil à Bianca pour s'assurer qu'il l'a pas réveillé, détale finalement du dortoir. 'you know it can get hard sometimes, it is the only thing makes us feel alive' the fuck? a pas l'temps de changer, faudrait qu'il sorte son téléphone en pleine course pour ça et ses parents l'tueraient d'le casser alors qu'ils viennent de l'acheter. S'retrouverait avec le vieux nokia pendant un trop long moment. Dès qu'il arrive au croisement du bâtiment désigné, ralentis l'pas, faudrait pas que l'autre croit qu'il est arrivé en courant... but you- shush. Vieux sac sur l'épaule qui contient les deux boîtes, s'approche lentement, les bras croisés, l'attitude crispé, trop d'émotions qu'hurlent dans ses poumons, lui bloque la respiration, ou alors serait-ce à cause d'la tempête dans les yeux du garçon?
Merci d’être venu…” r'nifle du nez amusé à l'entendre, comme si il était pas celui qu'avait donné le rendez-vous en premier lieu. Regard d'poulaille suspicieuse qu'revient au front. “Je n'aurai jamais dû te laisser douter de moi, de nous. J’aurai dû saluer tes pères, j’aurai dû dire merci à papa pour… J’aurais dû t’envoyer ce message.” regard qui chavire, perd d'son animosité, 'And if you hurt me, that's okay, baby, only words bleed' la voix d'ed sheeran qui s'mêle à celle du brun, l'force à plisser l'nez en retirant l'casque de ses oreilles, l'adversité qu'adverse un peu trop bien en faveur du partenaire qui s'rapproche. Trop. “Je sais qu’on ne reviendra pas là-dessus. J’avais besoin d’être sûr de moi avant de revenir vers toi. Je ne reviens pas pour te faire des faux semblants. Je suis là, et je resterai là tant que tu voudras de moi” Décroise les bras, posture un peu plus ouverte inconsciemment, l'observe maintenant sans savoir quoi faire, sait plus s'il doit toujours être en colère, l'observe pour trouver les réponses à ses questions, l'observe tandis que ses doigts se détendent pour lui permettre de les entrecroiser, pris sur le fait, une biche sous des phares trop lumineux. Et alors quand les yeux s'brouillent d'manière bien trop soudaine, quand son cœur bat beaucoup trop fort contre sa poitrine, si fort qu'il a l'impression un instant qu'il va s'échapper pour aller s'blottir dans l'creux des mains du garçons, quand ça d'vient un peu trop, il décroise leurs doigts avant d'frapper Percy sur l'biceps, puis une pichenette sur l'front aussi au passage parce que pourquoi pas. Et là, dans la nuit, s'égosille parce que c'la seule chose à laquelle il pense, parce qu'il est effrayé.

-- T'VEUX RESTER COMMENT S'TU CREVE EN MER EIKEL??

L'sac qui lui glisse des épaules dans ses grands gestes, pour évacuer tout ça, s'en sert afin d'refrapper l'pauvre garçon, les cordes vocales qui lâchent un peu, renifle bruyamment en ravalant les sanglots, refuse d'se rendre compte d'pourquoi ça l'touche autant. Parce qu'ça a pas d'sens, s'connaissent pas, viennent pas du même monde, l'red flag ambulant qui sait même pas c'que ça veut dire d'se lancer dans une relation comme celle-ci, trouvera certainement mieux ailleurs quand il aura prit confiance, le lâchera à la première difficulté parce qu'y a que Al qui reste, y a qu'elle qui vit la même chose.

-- ON PART PAS SANS EQUIPAGE POUR TRAVERSER UN OCEAN EN ENTIER AVEC UN BATEAU AUSSI GRAND CRETIN SABLEUX. FAUT MINIMUM 8 PERSONNES ET PUIS QUELQU'UN QUI S'Y CONNAIT EN ELECTRIQUE ET PUIS Y A PAS BESOIN D'UN CUISINIER ET PUIS VOUS SAVEZ QUE FAUDRA FAIRE DES ESCALES ET PUIS VOUS SAVEZ OU MEME ET PUIS... ET PUIS.... ET PUIS T'FAIS CHIER!

Lâche l'sac afin d'empoigner Percy pour l'plaquer contre l'mur derrière et l'envahir, presse sa nuque afin d'retrouver ses lèvres, tente d'parler avec sa langue sans qu'elle ne râpe sur des mots qu'ont jamais fait beaucoup d'sens, colle leurs corps pour tenter d'mélanger leurs âmes, lui forcer la sienne brisée, les séparent à bout d'souffle pour pas en dire trop, pour récupérer son p'tite organe malmenée qui bat difficilement, l'protéger dans sa poigne qui s'défait contre sa volonté. L'relâche pour s'retourner, récupérer son sac qu'est sur l'sol, s'éloigne trop rapidement pour laisser l'temps à Percy d'le saisir, essui ses yeux d'manière rageuse en ouvrant l'sac et en sort une boîte verte qu'il fourre dans les mains du brun à défaut d'le laisser l'étreindre à nouveau.

-- C'est une boîte à secret, t'mets tes doutes là-dedans, tes envies, c'que tu veux pas dire à haute voix, c'que tu veux pas voir être découvert, j'ferais la même dans la mienne et on se les échange à chaque fin de semaine.

Lui montre furtivement la sienne grise qu'est dans l'sac avant d'le refermer et le faire glisser à nouveau sur ses deux épaules cette fois afin de le sécuriser. Renifle encore, plisse l'nez en colère contre lui-même, s'en pince l'bout pour arrêter tout en zieutant l'brun.

-- Amène moi au port. On va monter sur lady bee et tu vas me montrer ta chambre.

S'dirige d'un pas décidé vers le parking où il est certain d'avoir laissé sa caisse d'puis qu'il l'a ramené d'la fourrière, sait plus exactement où mais la retrouvera bien, au pire des cas, l'reconditionné en a bien une qu'il se dit.

@Percy Haynes-Grayson :h1: :grr:


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8 jours.
Court : se remettre des émotions > souffler > fumer > en parler ; d’abord au prêtre “you’re still a child of God” ; à nouveau à Lucas “tu n'es pas un idiot” ; et enfin à Ash “c'est le principal non, d'être bien quand vous êtes les deux ?” > réfléchir > retrouver son numéro avec un dessin incongru > se prendre un rail ; trois boîtes de nuit en une soirée > appeler maman > stalker son instagram pour la 37ème fois > ressentir > comprendre > l’apprécier
Long : parce qu’il n’y a qu’à ses côtés que t’y vois plus clair. T’as jamais été bon pour comprendre tes émotions (encore moins celles des autres), besoin qu’une autre soit là pour t’indiquer le chemin. Que, plus les jours s’allongeaient, plus ton cœur brûlait d’une absence.
hiraeth
(n.) a homesickness for a home to which you cannot return, a home which maybe never was; the nostalgia, the yearning, the grief for the lost places of your past

Ses bras. Ses lèvres fruitées. Son regard de poulet mal famé. Sa voix aux jurons culturels. Ce canapé. Son corps sous toi. Sont les endroits d’un passé dont tu as l'impression ne pouvoir revenir à. La crainte de ne pas être assez, de ne pas savoir comment t’y prendre. Après tout, comment on aime ? Comment chérir un amour sentimental ? Comment on se laisse aller à l’autre, au point de sacrifier des parts de soi ? Un conservatisme, des idéaux, un père ? Puis les paroles d’Asher, rares, mais sages, et les émotions du belge qui s’emballent, ses propres sacrifices. Il en fallait si peu pour éclairer le sombre chemin. Les doutes qui n’en sont plus. Plonger avec lui. Pas besoin d’en savoir davantage sur lui pour comprendre qu’il est le seul. Que c’est lui.

0. Présent.
Ses yeux qui flanchent un peu, ses sens qui t’acceptent un peu plus en lâchant le casque des oreilles. Puis ces bras qui commencent à pendre le long de son corps te donnent la marge suffisante pour t’approcher davantage. Ton regard ne quitte pas le sien, remarque ses yeux briller. T’aurai envie de t’approcher davantage s’il n’avait pas décidé de frapper ton biceps. Ehhhhh que tu râles de manière grave avant de te faire attaquer d’une énième pichenette en deux semaines. Déjà un sentiment de routine. Affection aggressive. Alors tu ne ripostes pas de suite. “T'VEUX RESTER COMMENT S'TU CREVE EN MER EIKEL??” Tu te demandes dans un premier temps pourquoi il souhaite ta mort ? Tes sourcils qui se déforment, s’accompagnent d’une bouche entre-ouverte un peu ébahie qui suit pas la réflexion. Part pas dans un titanic le monsieur. Mais pas l’temps de réfléchir - un peu - que le sac atterri sur ton visage. Tu recules d’un pas en perdant l’équilibre, les mains qui se secouent dans les airs. Abasourdi, les traits du visage en compote. Tu tousses, la gorge prise par cette attaque. Comprend pas trop ses gestes, il évacue les huit jours de distance ? Quand tu relèves le visage, tu le vois dans une face tragique. T’aurai aimé ne pas le voir s’assombrir de chagrin, ressentir ses coups sans grande force qui ne font mal que par le geste. Sauf qu’il n’a rien d’un rejet, et bien au contraire, tu lis ses dilemmes dans un regard désespéré.
ON PART PAS SANS EQUIPAGE POUR TRAVERSER UN OCEAN EN ENTIER AVEC UN BATEAU AUSSI GRAND CRETIN SABLEUX. FAUT MINIMUM 8 PERSONNES ET PUIS QUELQU'UN QUI S'Y CONNAIT EN ELECTRIQUE ET PUIS Y A PAS BESOIN D'UN CUISINIER ET PUIS VOUS SAVEZ QUE FAUDRA FAIRE DES ESCALES ET PUIS VOUS SAVEZ OU MEME ET PUIS... ET PUIS.... ET PUIS T'FAIS CHIER!
Tu comprends un peu. Les messages. Ces discussions qu’ont déviées, vous ont permis de vous connaître un peu. Assez pour savoir qu’il a déjà été sur Lady Bee. Qu’il l’a même réparé. Que ses mains t’ont permis de revenir dessus, quelques fois. Jamais assez face à un père possessif qui s’est sûrement enfermé avec sa maîtresse plus d’une fois. Tu tentes de répondre, quoi que pas bien sûr qu’il attend une remarque de ta part. “Tu veux être un membre de l’équipage ?” Un rire taquin. T’es pas capable de rester bien sérieux. Quoi que si tu prends ses sentiments au pied de la lettre, te détestant pour ces émotions que tu provoques en lui, tu ne sais pas réagir avec la maturité nécessaire. 8 membres ? Et puis quoi encore, tu voulais être seul sur l’eau avec Asher, pas entouré d’une équipe de football. “C’est vrai qu’on n'a pas b’soin de cuisinier parce qu’on a prévu d’se nourrir de bruschetta et de spritz” un sourire fier, comme si ça allait jouer en ta faveur. Défense culinaire que t'apporte à ses arguments infaillibles. Et là, à ses derniers mots, tu réagis. Vraiment. “T’as peur pour ma vie Al?” Le temps qui s’arrête un moment. Suffisamment pour capter son regard qui ne se calme pas. Une rage qui monte en lui, alimentée par des pensées insaisissables. Ton cœur manque un battement, qui le veut, il te veut. Au moment même où t’allais te jeter à ses lèvres, tu le sens t’empoigner. Cette fois-ci avec une force qui vient vite chatouiller le bas de ton ventre. Tu te courbes sous cette main serrant ta nuque. Les tiennes qui vont chercher sa taille pour te coller à lui afin de presser davantage vos lèvres l’une contre l’autre. Puis, ta main qui flotte dans les airs, qui aurait aimé poursuivre ce moment. Tu ne peux t’empêcher de masquer un sourire satisfait, d’enfin, le sentir près de toi. Tes dents qui viennent jouer avec ta lèvre inférieure tandis que tu l’observes ouvrir son sac. “C'est une boîte à secret, t'mets tes doutes là-dedans, tes envies, c'que tu veux pas dire à haute voix, c'que tu veux pas voir être découvert, j'ferais la même dans la mienne et on se les échange à chaque fin de semaine.” Un rire cristallin qui s’échappe, attendri par ce geste. Depuis quand il y a réfléchi ? T’apprécies cette écoute, ce partage, cette réciprocité, cette balance. Semble être la meilleure solution face à vos incapacités à communiquer verbalement. Mais dans cette proposition tu en retiens une “On se donne rendez-vous toutes les semaines ça veut dire ?” ce date routinier qui vient réchauffer tes doutes. Tu poursuis en serrant contre ton torse cette boîte verte. T'as jamais posé à l'écrit tes pensées. “J'remercie ton cerveau pour l'idée” un clin d'oeil, et tu serres, sans t'en rendre bien compte, encore plus la boîte. Parce que si tu ne sais pas encore bien ce que tu serais capable de glisser à l'intérieur, tu veux du moins lui prouver que t'es capable de te liver à lui, entièrement.
Tu t’approches de lui, ta mâchoire qui se contracte en voyant ses yeux encore mouillés. Tes bras viennent l’entourer, sans pour autant le serrer, de façon à ce qu’il s’échappe de ton étreinte dès qu’il le souhaite. Tu l’embrasses d’abord sur ce bout de nez humide. Tu poursuis ces baisers légers sur son front, sur le coin de son œil droit. Manière de lui montrer d’abord ton soutien, de le protéger de ces émotions envahissantes, mais surtout de lui témoigner l’affection que tu lui portes. La tendresse qui vient à nouveau vous caresser, ta langue se mélangeant à la sienne. Puis tes mains entourent son visage et te permettent d’essuyer un peu plus l’humidité de ses joues. “Amène moi au port. On va monter sur lady bee et tu vas me montrer ta chambre.” Sourire enjôleur. Parce que ça te fait penser à ses bras, ses lèvres, son regard, sa voix, ce canapé, son corps sous toi. Et tous ces endroits où tu aimerais revenir. Un peu égoïstement, tu te sens si bien. Tu voudrais l’avoir à tes côtés une éternité. La sensation, enfin, d’être aligné. “Avec plaisir Alastor

T’as l’impression qu’il sait où aller. Enfin, jusqu’à ce que vous arriviez au parking et que ses paupières se plissent afin de distinguer une voiture. Qui lui appartient ? Tu sers les dents “Encore une fois j’pense qu’on irait plus vite si on y va avec ma voiture” Tu le suis un moment avant de rapidement perdre patience. Toujours pas certain qu’il ait réellement une voiture, en réalité. Encore moins certain de le voir conduire. L’impression d’avoir un Asher sous les yeux en matière de pilotage. Alors, d’un mouvement délicat tu lui prends la main et l’attire dans ta direction. Un baiser déposé dans ses boucles. “Par contre sache qu’on va rentrer par effraction sur Lady Bee” tu serres les dents, la bouche ouverte dans une expression désolée. “comme je t’ai dis mon père  n’est pas très chaud en ce moment pour qu’il y ait du monde dessus…” tu le ramènes à cette réalité qui ne t'arrange guère non plus. Parce que ça fait des semaines que t’aimerai y dormir, ou ne serait-ce qu'y passer une après-midi à regarder les vagues. Mais l’éventualité d’avoir Alastor sur ce lit aux draps froids d’absence t’enchante davantage. Vous arrivez rapidement à ta voiture garée quelques places de votre position. D’un coup de manette on la voit s’allumer, les clignotants indiquant son ouverture. “Enlève tes chaussures si tu veux monter dessus” que tu lui lances les sourcils accusateurs. Mais tu lui proposes quand même, ne serait-ce parce que tu veux voir un sourire s’afficher sur ses lèvres, que tu tentes de lui donner ce que tu peux avec ce que tu as. Et tu tends les mains, comme si t’allais réceptionner ses baskets. Ton corps qui se stoppe te permet de l’observer davantage. Ce pull qui met en valeur son cou. Cette fermeture qui laisse entrevoir un torse sculpté. Puis la coupe qui souligne ses courbes. Tu t’attardes suffisamment longtemps pour ne pas saisir de suite le reste des évènements.

@Alastor Van Der Budenn :eye: :siffle:





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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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C'est que ça bourdonne un peu dans ses oreilles d'trop plein d'émotions, alors il capte pas bien tout ce que l'autre baragouine, s'retient juste d'chialer amèrement. Secoue néanmoins la tête avec un fin rire quand il s'remet enfin à capter la réalité, une réponse qui lui fait hausser un sourcil malicieux. “On se donne rendez-vous toutes les semaines ça veut dire ?

-- Pourquoi? Ca te dérange?

J'remercie ton cerveau pour l'idée” répond au clin d'oeil par une nouvelle pichenette, plus douce, tremble un peu avec tout ça. Mais y a cette normalité qui se réinstalle avec naturel, s'refait une place sans qu'ils ne la forcent, ça lui permet d'respirer un peu.
Puis ses gestes lents qui s'approchent, un contact qu'est retrouvé, le serre dans ses bras mollement, l'fait sourire parce qu'il comprend qu'le garçon lui laisse une occasion d's'échapper, mais n'en a aucune envie, le serrerait bien à l'étouffer lui. Quand un baiser s'dépose sur l'bout d'son nez il renifle encore sous l'geste, sent ses yeux brûler, veut pas craquer, trouve ça stupide en premier lieu, n'a aucune raison de. Capte pas que quelques larmes scintillantes se sont déjà échappées, alors lui rend son baiser, lui rend son baiser avec autant d'ardeur qu'il retrouverait d'l'oxygène, renifle encore quand ils se séparent avant d'finalement sortir un paquet d'mouchoir d'l'avant d'son sac pour s'moucher bruyamment sans oublier de gratifier Percy d'ce fameux regard qui l'invite à s'moquer d'sa manière d'se moucher. Pompeux d'riche.

Rapidement le parking est retrouvé, moins rapidement il s'met à fouiller chaque coin pour trouver sa caisse, d'droite à gauche, danse sur l'bitume pour tenter d'apercevoir sa douce et tendre qui, malicieuse, continue d'se retirer à sa vue. “Encore une fois j’pense qu’on irait plus vite si on y va avec ma voiture” S'retourne vers l'incongru dans une pirouette, regard d'biais, l'assommerait bien mais s'fait happer par sa douceur quand l'brun prend les devant et lui offre une caresse dans ses bouclettes, un geste délicat qui l'force au silence, marmonnant simplement avant d'hausser les épaules, accepte la défaite. “Par contre sache qu’on va rentrer par effraction sur Lady Bee” pouffe d'rire en relevant les yeux pour rencontrer ceux désolés d'Percy, ricane à nouveau face à sa mine déconfite. “comme je t’ai dis mon père  n’est pas très chaud en ce moment pour qu’il y ait du monde dessus…” à son tour de déposer un baiser sur l'bout d'son nez tout en remontant une main pour caresser ses cheveux dans un pat pat régulier.

-- J'avais bien compris. Mais c'mignon qu'tu penses que c'est pas ce que j'voulais dire en premier lieu.

La belle voiture flamboyante est rapidement retrouvée, contrairement à la sienne, lui fait grincer des dents. “Enlève tes chaussures si tu veux monter dessus” s'retourne des étoiles pleins les mirettes, le zieute comme si il lui avait proposé d's'envoler pour acapulco sur le champ, n'en attend pas plus, n'capte même pas le regard appréciateur qui lui est lancé, s'débarrasse de ses baskets pour sauter sur l'capot, glousse en sentant les suspensions sous ses membres, silencieuses contrairement à sa pauvre titine qui grince à chaque mouvement fragile.

-- Super suspensions!! Elle doit tellement bien drifter.

S'laisse ensuite tomber en étoile d'mer sur l'capot, la tête qui penche d'l'autre côté sur la voiture garé à droite, fronce les sourcils, plisse l'nez, s'relève subitement, dégringole en glissant sur l'métal propre pour atterrir les fesses sur l'goudron, habitué, s'relève sans gêne pointant du doigt la twingo qu'a l'air bien minable à côté d'la fameuse diva.

-- AH BAH ELLE EST LA!!!

Sort les clés d'sa poche, une fraise qui tombe avec, s'écrase sur l'sol, l'observe une minute, fait un signe de croix avec une mine déconfite, enterrement rapide puis s'dirige en ligne droite sur sa voiture qu'il tente d'ouvrir une première fois, grogne parce que cette foutue serrure de porte fonctionne une fois sur deux, tente l'inclinaison à 56 degré sur la gauche, souffle un coup, donne un gros coup d'pied à côté d'la serrure sous la fenêtre et elle s'ouvre naturellement. Grand sourire quand il récupère à l'intérieur un briquet et des feuilles. R'ferme la portière qui refuse de claquer, la force plusieurs fois avant d'redonner un coup au même endroit, efficace. Puis retrotinne tranquillement jusqu'au brun qu'il attire à lui sans une seule explication, l'embrasse à nouveau bien trop passionnément pendant que sa main vient fouiller dans son sac, p'tite sacoche qui lui permet de récupérer rapidement le pochon qu'il sent. Le relâche alors avec un sourire coquin et une étincelle d'malice dans des yeux toujours humides mais qui semblent s'reprendre avec les émotions qui laissent place à la plénitude d'être avec lui. Cale le pochon entre ses dents puis s'accroupit face à lui, afin d'le forcer à retirer ses chaussures avec une petite tape sur le tibias quand il est trop impatient et Percy pas assez réactif. Lorsqu'elles sont retirées, s'relève avec un genou qui craque, récupère l'pochon entre ses doigts, l'embrasse, le tire par le col en reculant, l'embrasse à nouveau, monte sur l'capot, le tire un peu plus, l'embrasse encore en l'forçant à monter aussi mais c'est un animal qui s'montre résistant en r'fusant d'bouger plus, gronde contre ses lèvres, lui laisse pas l'temps d'ouvrir la bouche qu'il l'embrasse encore, griffe calmement sa nuque tandis que ses jambes se croisent autour de sa taille pour l'tirer un peu plus contre lui, resserrer sa prise. À bout d'souffle, frotte l'bout d'son nez contre celui du garçon en lui ondulant l'petit sachet d'weed subtilisé sous les yeux. Puis dans une stupeur certaine, capte enfin qu'le riche aime bien trop sa voiture pour avoir ces gestes, capte enfin qu'il le laisse faire juste par affection, perd un peu d'sa splendeur à la vérité, s'met à malaxer sa nuque plutôt.

-- Je te promets que ça n'fait rien. Tente, juste une fois et si tu n'aimes pas on descend immédiatement. J'ai.. J'veux respirer un peu avant qu'on s'enferme pour rouler.

Avoue à d'mi mots l'envie d'se reposer quelques instants, d'avoir toute son attention, son toucher avant de devoir se séparer pour atteindre une autre destination qu'il a fortement envie de découvrir certes mais pas dans l'immédiat. Malin, fait descendre sa main libre de la nuque au biceps puis s'pose sur l'abdomen, aventureuse frôle plus bas, prise maintenant sur le haut du jogging, y faufile un doigts afin d'recommencer à l'tirer pour monter.

-- S'il te plaît? D'ailleurs c'quoi une bruschetta?

@Percy Haynes-Grayson :love:


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ÂGE : 23 ans (23/11/2000)
OCCUPATION : cursus : financial markets & investments + commerce international (6th, dernière année master) + investisseur crypto (simflouz $$)
STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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TW : propos à caractère sexuel / usage récréatif de drogue (weed)

Pourquoi? Ça te dérange?” Ton visage qui se secoue de gauche à droite d’un rire ironique. Tu sors ton téléphone pour ouvrir l’application agenda, ton doigt qui fouille en regardant les différents entraînements, et là, en lui montrant ton planning tu lui demandes “Tous les dimanche ? 18h ? Comme ça on mange ensemble et on a l’temps de profiter de notre soirée ?” tu demandes, la tête qui se penche dans l’attente de sa réaction “enfin… de parler du coup” tu n’attends pas sa réponse que déjà tu tapes sur ton portable
6pm w/ Al<3 secret box’s night (évènement hebdomadaire à partir du 28/04)
Alors que vous vous dirigez en direction du parking, tu l'entends renifler lourdement, t’entends presque le détail de tout ce qui s’accumule dans le mouchoir. Tu ne peux t’empêcher de lui adresser une moue dévastée devant ce son. Mais ses yeux rouges et son regard navré viennent te prendre le cœur. Et alors ton dégoût se transforme en un rire moqueur. On reviendra sur l’élégance des émotions plus tard, parce que ce qui t’importe là maintenant, c’est cette libération de sentiments. Tu t’approches, ne serait-ce que pour caresser sa joue d’un pouce. “Je devrais culpabiliser d’être heureux que tu pleures ?” Tes sourcils abaissés, compatissant de ces émotions qui surgissent à présent. “On recrutera un équipage avec Asher” Tes lèvres se posent là où ton doigt s’éloigne, dans une affection partagée.

T'observe un moment le danseur faire une sorte de danse du paon comme s’il allait attirer plus rapidement sa voiture. Tu fronces les sourcils, tentant de comprendre ce charme décalé, comprenant que ça lui permet, parfois, de se doter d’angles de vue pertinents. Sauf que tu ne t’attends pas à ce rire. Presque une satisfaction à l’écoute du terme “effraction”. Son pat pat qui vient, comme toujours, rassurer les quelques inquiétudes en toi. “J'avais bien compris. Mais c'mignon qu'tu penses que c'est pas ce que j'voulais dire en premier lieu.” un baiser sur l’nez et tu comprends pas de suite. T’es obligé de te refaire plusieurs fois la phrase dans ta tête avant de reprendre, idiot “Attends ?? Tu savais qu’on allait devoir entrer sans l’aval de papa ??” Comme si ce n’était pas une question, une évidence qui n’apparaît à tes yeux comme une illégalité condamnable. Autre ressort relevant du crime : la passion d’Alastor pour monter des voitures. Tu t’attends pas à ce corps qui vient s’agiter sur le capot. Tes dents qui se serrent à nouveau, affichant une dentition prête à exploser sous une angoisse encore plus importante que la première. “Super suspensions!! Elle doit tellement bien drifter.” la gorge nouée qui ne te permet pas de répondre un oui oui… peu enjoué. Ton corps qui se tord pour regarder la diva subir les accoups de ton apollon. T’en oublie ce décolleté pour émettre un cri digne d’une marmotte en le voyant tomber subitement sur le capot. Le coup qui te fait grincer davantage. Scène d’horreur où tu es la victime passive. On te brutalise sans même que tu ne puisses trouver des armes pour te défendre. La victime qu'a même ouvert la porte à l’agresseur. L’idiot qui ne va même pas mourir à la fin du film, trop apeuré pour être une menace pour le vilain. La bouche qui s’ouvre quand tu sens son jean frotter contre la voiture, t’as pas mal pour ce derrière qui s’explose sur le sol mais pour les possibles traces sur la carrosserie. “AH BAH ELLE EST LA!!!Ma dignité ? Que tu t’demandes en regardant de gauche à droite jusqu’à suivre son regard sur une twingo délabrée, l’avant gauche qui peine à rester debout. Tu te demandes pourquoi la fourrière n’est pas encore passée par là tant le tacot semble pourrir sur place. Quoi que, la couverture violette si pimpante laisse croire à un état pas si déplorable, pas tant. Tu le vois prier un instant, et cette vision te décroche un sourire. Parce qu’il peut te comprendre que tu te dis. Et surtout qu’il doit comprendre l’état pitoyable de la caisse. A quoi bon prier si ce n’est pas pour l’âme d’une voiture qui semble survivre alors qu’elle devrait partir aux cieux ? Tu comprends encore moins pourquoi il essaye de rentrer à l’intérieur. Il essaye de montrer ses talents d’effraction ? Parce que ça te fait frissonner qu’il puisse faire la même chose à Lady Bee. T’as besoin de demander lorsqu’il arrive vers toi “... C’est ta voiture ?” tu restes un moment à observer ce qui semble être des cils. T’as l’impression de voir une monture réalisée pour une pièce de théâtre lycéenne tant elle semble irréaliste. Tes yeux se ferment rapidement, coupant contact avec l’horreur-comédie qui se déroule à l'instant, pour venir accueillir les lèvres du garçon. Tu ne t’inquiètes pas de cette malice perceptible, bien trop occupé à réfléchir à l’état de l’épave à vos côtés. Quand tu remarques ton pochon argenté entre ses dents tu ouvres la bouche dans un bruit sourd. Ta mâchoire qui se referme difficilement quand tu le vois s’accroupir. Ses doigts qui viennent, après un coup dans l’tibias, défaire tes lacets. Tu le sens glisser tes chaussures pour apparaître pieds nus face à lui. Si ton cerveau s’est arrêté depuis bien longtemps, ce sont tes esprits qui ont cessé de fonctionner désormais. Cette position. Tu penses déjà aux toilettes crades qui ont balayé un désir ardent. Ton bas ventre, à nouveau, qui vient s’affoler. S’il était resté plus longtemps, tu es persuadé que tu n'aurais pas fait longtemps face à cet homme dont tes yeux le dévorent du regard. Mais il vient chatouiller autrement cette tentation en toi. Ses lèvres qui viennent se glisser sur les tiennes, ses doigts attrapant ton col pour l’attirer à lui. Sans trop suivre les mouvements, tu le suis, jusqu’à ressentir le froid de l’avant de ta voiture sur tes genoux. L’excitation, que tu penses, qui s’intensifie chez le belge, venant griffer une nuque soumise à ses mouvements. Ses jambes viennent t’entourer, te rendre prisonnier pour t’inviter davantage à lui. Tes traits qu’affichent étonnement à réaliser qu’il a subtilisé ton herbe et ta fierté en te faisant approcher de si près de la corvette. “Je te promets que ça n'fait rien. Tente, juste une fois et si tu n'aimes pas on descend immédiatement. J'ai.. J'veux respirer un peu avant qu'on s'enferme pour rouler.” les doigts contre ta nuque ne viennent pas détendre des nœuds qui se créent à cette probabilité. Alors que tu tentes de trouver des arguments qui pourraient faire le poids face à un Alastor te priant de vous poser, tu ressens sa main qui vient parcourir ton corps. D’abord sur le bras, puis sur ton ventre avant qu’il ne vienne te tirer par le haut du pantalon. “S'il te plaît? D'ailleurs c'quoi une bruschetta?” Tes pupilles qui se secouent sous ce contact. Ta mâchoire se serre dans un réflexe défensif. “J’peux pas se serait…” tu n’arrives pas immédiatement à répondre, tes yeux qui s’ouvrent à nouveau pour s'attarder sur ce cou dégagé que tu croquerais avec allégresse. “Une bruschetta ? C’est… du pain grillé où tu ajoutes des tomates, du basilic, de la burrata…” ta gorge qui ne peut s’empêcher de glisser un râle grave lorsque ton corps se tend au contact d’Alastor. Ton bassin qui vient chercher davantage le sien et ton visage qui se perd dans ce cou que tu viens lécher du bout de la langue. “J’aime rajouter du miel et des pistaches… Mais tu aimerais la version avec des flocons de piments je pense…” tu n’arrives pas à terminer ta phrase tant tu es pris par le désir fougueux de le sentir à toi, encore. T’as beau reconnaître ce jeu, sa manipulation par les mots, la discussion, pour t’attirer dans ses fils ; tu te laisses prendre au jeu comme un facile pantin. Les ficelles qui se tendent à la moindre ardeur. Car c’est bien ce que tu ressens lorsque ton corps le pousse davantage sur le capot, te forçant à monter dessus à ton tour. Ta bouche qui se perd dans son cou, l’embrassant dans un collier rédempteur. Ta main se glisse déjà sous son pull pour venir caresser ce corps qui te manquait tant. Tu pinces, sans remarquer, sa peau en tentant de l’attirer encore à toi. “Je t’en ferais si tu veux” que tu finis par dire ensuite, le corps complètement sur lui alors que le dos du garçon est calé contre le pare-choc de la chevrolet. Tu ne remarques même pas que tes pieds sont dans le vide tant tu ramènes ses cuisses à toi, ne cessant que dans un ultime baiser plus agressif que tu ne le souhaiterais. Ta convoitise qui vient brûler avec tant de facilité. Lorsque vos langues se délient enfin, tu comprends l’espace-temps. Tu te laisses glisser sur le côté pour mettre fin à ce rapprochement charnel qui ne devrait pas avoir lieu selon ta fidélité à diva. Parce que t’as pas envie de tester les suspensions, pas en extérieur. Pourtant, tu restes là, ainsi allongé sur le capot le corps tendu à ce constat. T’essayes de te souvenir d’Alastor, de son envie de traîner d’abord. Puis surtout ton besoin de te coller à lui qui t’empêche de te retirer de ce lit sous forme de carrosserie. Pour renverser la tendance tu prends des mains ses feuilles ainsi que le tabac. “Vous me volez et me corrompez, mais quel homme êtes vous Monsieur Van Der Budenn De Los Santos ?” c’est-à-dire qu’à force de le stalker, non seulement sur instragram mais sur toute page internet te permettant de dégoter la moindre information sur lui, tu as enfin fini par apprendre son nom de famille complet, non sans un certain écorchement au premier nom de famille que tu prononces d’un accent américain. Tu saisis une feuille que tu glisses entre tes doigts, le remplissant d’un tabac qui n’est là que pour amoindrir la pureté du futur cône. D’une autre main, tu viens dérober un filtre et le briquet dans ton sac “Tu peux l'émietter ?” que tu demandes dans un travail collaboratif en faisant signe à ce que contient le pochon. Quand enfin ton tabac semble correctement aligné, tu tends ton labeur à ton partenaire pour qu’il vienne déposer les flocons d’herbe. Dans un mouvement reprenant la malice du belge, tu plantes tes yeux dans les siens alors que ta langue vient lécher le papier. D’un geste délicat tu viens mouiller la feuille que t’enroules ensuite. T’allumes rapidement le joint et la première taffe a le goût d’une délivrance. Directement tes sens qui s’apaisent, l’odeur qui vient effleurer tes narines. Les yeux qui se ferment quelques secondes pour profiter des sensations. La fumée s’en va dans les airs d’un mouvement en arrière. Et enfin, lorsque tu as suffisamment apprécié cette première, ton visage se tourne dans sa direction. Ta main libre vient se glisser à l’arrière de son cou pour l’attirer à toi. D’une attitude qu’il connaît déjà, tu préserves la fumée pour venir la susurrer entre ses lèvres. Cette soufflette qui vient toujours emballer une excitation palpable quand tu es à ses côtés. Tu lui transmets le pilon après avoir embrassé le dos de sa main. “Bon alors, tu me dis où tu partirais si tu prenais le large l’marin ?” Tu ne le lâches pas du regard, ta main venant se déposer sur sa cuisse que tu caresses avec affection.

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TW : propos à caractère sexuel / usage récréatif de drogue (weed)

Attends ?? Tu savais qu’on allait devoir entrer sans l’aval de papa ??” l'visage qui s'penche sur l'côté avec des yeux qui papillonnent, fausse attitude d'innocence quand l'sourire diabolique quitte pas ses traits, vient murmurer contre lui dans un instant fugace: "Considérant que je retiens ce que tu me dis Percy, oui."

... C’est ta voiture ?” Fier le gamin, bienheureux quand il hoche la tête rapidement. Un dernier regard lancé à sa bien aimée qui ne rutile pas autant que la nouvelle mais a tout son charme, un charme bien plus grand.

-- Elle est mignonne hein? J'trouve qu'elle me va bien, pas hyper efficace mais elle a du vécu et du charme!

Explication bien trop rapide, bien trop hâtive pour ne pas relaisser les émotions venir l'manger vivant. Retrouve un jeu qu'il connaît bien, une séduction qui fonctionne tant sur le garçon qu'elle lui permet d'se sentir bien, moins vide, presque entier. “J’peux pas se serait…” Les yeux verts qui recroisent les siens gris quand il les rouvre, lui offre un sourire qui s'veut rassurant en continuant de tirer sur ce jogging, le bout de l'ongle qu'en profite pour racler contre son bas ventre. “Une bruschetta ? C’est… du pain grillé où tu ajoutes des tomates, du basilic, de la burrata…” Salive un peu à la description, en mangerait bien une là, cette nuit, en sa compagnie, alors le note dans un coin d'sa tête pour quand ils auront commencé à décaler. Un râle qui rappel à l'ordre, un son qui berce ses fantasmes depuis qu'il l'a réentendu sur le bateau cette fameuse nuit. Le bassin du garçon qui s'affole en cherchant le sien, séparé par sa vil main qui tente toujours d'à moitié s'infiltrer sous le tissu et à moitié le tirer sur l'capot, tremble soudainement quand une langue taquine vient tracer des remous sur la peau sensible d'son cou, ferme les yeux sous l'attaque, s'laisse un peu aller dans l'ardeur du brun. “J’aime rajouter du miel et des pistaches… Mais tu aimerais la version avec des flocons de piments je pense…” Ardeur qu'implose un peu plus dans son propre bassin à la simple remarque, aussi frivole qu'elle puisse paraître, prouve qu'il écoute, qu'il retient et ça l'fait vriller un peu, parce qu'il sort beaucoup d'choses à la minute Al et on lui a déjà dit qu'c'était pas étonnant qu'plus personne l'écoute, lui ou sa jumelle, Percy qui prouve un contraire délicat alors quand l'garçon le pousse pour monter à son tour, il s'laisse faire le danseur, oubliant sa promesse, oublie qu'c'est lundi, se tord à chaque gâterie qui descendent sur ses clavicules dans un souffle chaud. "Aïe!" expression d'surprise plus qu'de douleur quand sa peau est pincée dans la passion dévorante d'un partenaire qui tente de le ramener toujours plus contre lui. “Je t’en ferais si tu veux” s'fiche complètement de la phrase dès l'instant où ses cuisses sont forcés à l'accueillir un peu plus, une position qui rappelle un souvenir aussi honteux qu'incroyable, un souvenir qui envoi une vrille de tentation enflammé ses reins, l'aide alors en remontant un peu en changeant sa prise sur son dos afin de ne plus avoir l'bras entre eux, agrippe son sweat pour se ramener contre lui. Survit qu'à moitié au baiser qui suit, peine à reprendre son souffle, un peu rouge sur l'bout du nez, décontenancé a besoin d'un p'tit temps pour s'reprendre quand il est délaissé. Comprend pas d'suite, l'zieute vaguement, plisse l'nez toujours rougissant, l'aurait bien forcé à r'venir mais comprend que c'est plutôt une bonne idée, s'souvient qu'demain il devra maltraiter son corps, qu's'il s'est imposé cette règle c'pas seulement pour faire jolie. Inspire un bon coup, s'étire mollement, tente d'penser à des trucs ragoûtants pour calmer un endroit sensible. if he doesn't try anything again we're good.

-- Faites donc attention, cuisinez moi une bruschetta avec du piment tendre prince et je pourrais tomber amoureux.

Vous me volez et me corrompez, mais quel homme êtes vous Monsieur Van Der Budenn De Los Santos ?” un rire simple qui l'secoue, rouvre les yeux pour lui offrir un regard bien plus affectueux qu'il n'le prévoit, un doigt qui vient le poke dans l'bide.

-- S'prononce Beudueun. Pas Boudyne. Mais j'apprécie l'effort, pas beaucoup l'font.

Comme brûlé par ses propres mots, toussote un peu, en se redressant un peu, fait attention d'pas faire des mouvements brusque pour pas voir l'compagnon détalé à pleine jambe sous l'nouvel affront.

-- Un homme qui vous demandera certainement d's'ébattre sur ce capot un jour.

Tu peux l'émietter ?” Leurs deux phrases qui se chevauchent, l'fait doucement rire, pas certain qu'le garçon l'ait comprit ou entendu du coup. S'contente donc d'ouvrir l'pochon afin d'récupérer une touffe d'pollen affin de l'émietter entre son pouce et son index, habitué à pas avoir d'grinder, cherche pas à savoir si Percy en a un, devenu maître en l'art d'bien éparpiller sans. Saupoudre la création qui lui est tendu avec, frottant un peu plus ses pulpes afin d'se débarrasser d'la moindre graines puis essui sa main sur son haut avec hargne pour bien être certain d'pas en garder d'trace sur les doigts. Et quand il r'lève les yeux vers le brun, sa bouche s'ouvre sous l'choc d'le voir salement lécher l'papier, r'pense à des trucs ragoûtants avec désespoir.

-- Han la saloooope.

Ricane à sa propre réaction mi hilare, mi désireux, s'relaisse glisser afin d'venir chercher la chaleur d'Percy quand il prend une première taffe, fourre l'nez dans son épaule, l'frotte doucement contre en visionnant la vieille capote usagé qu'ils avaient prit pour un ragondin mort avec sa sœur y a bien longtemps. Au moins ça a l'don d'faire un peu l'travail. Mais vision balayée quand une main tire ses boucles, force sa tête en arrière et ses lèvres qui réceptionnent une fumée sinueuse, lui pique la gorge, lui pique l'bassin, lui pique les cordes vocales quand elles s'activent dans un son qu'il tente d'cacher maladroitement par un hoquet. Un baiser sur sa main où l'joint est glissé, l'observe, s'met à l'regarder avec c'te même suspicion dont Percy est la victime numéro 1 d'puis quelques jours. ““Bon alors, tu me dis où tu partirais si tu prenais le large l’marin ?” L'refile finalement avec dédain au brun pour toute réponse, lui glissant entre les lèvres, "inspire" qu'il lui ordonne, chose faite, il se penche en retirant l'cône afin d'presser leurs lèvres et récupérer à nouveau l'air teinté qu'en r'ssort. S'repose en lui lançant un sourire heureux, profite d'sa caresse sur sa cuisse un instant en silence, surf sur la montée d'torpeur toujours très vive, qui r'part aussi vite qu'elle est v'nue, r'tourne son visage vers l'brun.

-- Certainement en Italie. J'ai appris qu'ça cherchait un équipage pour y aller bientôt. Et j'suis plutôt bon mécanicien et navigateur.

Pouffe à sa propre vanne, évite l'fait d'comprendre qu'il veut pas le laisser partir, s'occupe pas d'savoir c'que son inconscient essaye d'baragouiner entre deux prises d'une conscience médiocre. Puis finalement détourne l'regard parce qu'il supporte pas l'intensité des yeux gris, surtout en d'vant dire la vérité, est pas habitué à causer d'choses profondes, d'rêves qu'ils qualifient d'débiles, d'enfantins, inspire, ferme les yeux, expire, dessine des formes abstraites sur l'dos d'la main qui caresse sa cuisse, rêverait d'pouvoir brûler son pantalon pour l'sentir plus proche, un contact qui l'ancre.

-- J'irais vraiment en Italie. Pas n'importe quand. Pour l'carnaval de Venise. J'ai toujours voulu danser sur l'eau et Venise c'sur l'eau alors.. J'pense qu'ça compte. Al elle a dit qu'ça comptait. Elle a dit qu'ça ferait un beau spectacle avec les déguisements, j'ai compris qu'ça f'rait un bon anonymat, qu'personne m'reconnaitrait. Et ça m'tente ça. D'être l'danseur inconnu d'Venise.

Peut d'jà imaginer la scène avec clarté, a d'jà passé des heures à naviguer pinterest avec Al et Fab afin d'trouver l'meilleur moodboard, l'a montré à Lilly tout fier d'lui, a obtenu son approbation et il l'a sauvegardé à jamais, l'a caché dans l'tiroir d'ses rêves d'enfants, d'venu adulte a longuement r'gretter d'comprendre qu'ça devrait attendre, peut être indéfiniment. Et puis attendre indéfiniment ça lui fait penser à Percy, alors s'remet à causer.

-- T'as d'jà essayé d'dire à ton père qu'il te r'gardait pas et que... ça... Enfin t'sais que ça t'minait... Rapport au golf qu'tu t'oblige à apprécier pour obtenir un moment d'attention. J'l'ai dis à mon père un jour. Quand j'étais plus jeune qu'il m'voyait pas et ça va mieux d'puis. Il savait juste pas. J'crois qu'c'est à c'moment qu'j'ai compris qu'les adultes sont juste d'grands enfants qu'cachent leurs lacunes en s'embaumant d'parfum d'fausse maturité.

Plisse l'nez à cette pensée, s'remémore le parfum, c'lui agressif du garçon, tourne l'visage vers lui en s'rapprochant pour fourrer l'nez dans son cou cette fois, renifle doucement la peau, grimace sous l'odeur forte qu'agresse ses narines.

-- Un peu comme toi. L'est toujours fort ton parfum. Sent pas mauvais, comme... L'été en une odeur. Mais c'fort. les lèvres qui s'entrouvrent afin de goûter la peau, mine dégoûtée qui suit. Et c'pas bon du tout.

Crache un peu comme un chat en profitant pour tourner entièrement son corps vers l'garçon, change d'position en s'tournant sur le flanc, récupère la main qui vaquer sur sa cuisse pour la reposer sur sa hanche quand il jette sa jambe sur l'bassin du brun, s'serre contre lui tel un koala à sa branche, s'souvient y avoir déjà pensé, s'dit qu'il doit bien aimer cette posture, respire mieux contre lui, l'nez juste sous son oreille, l'dit parfum qui agresse tout en l'maintenant. weird. i like weird. Y a une main qu'refuse d'rester tranquille et s'faufile sous l'sweat, remonte, redescend immédiatement pour se faufiler aussi sous le t-shirt et r'monte enfin caresser l'abdomen. Trop en confiance peut-être, ses pensées qui s'éparpillent dans tous les sens, voudrait lui parler des heures durant, s'souvient des rendez-vous, l'dimanche qui convient pas du tout.

-- Pas l'dimanche. Pour les rendez-vous. J'ai danse le lundi. Donc j'fais rien d'pro actif le dimanche. Aka j'baise pas Percy avant qu'tu comprennes pas. Et si tu veux d'un nous, j'fais pas dans la polygamie donc tu d'vras t'occuper d'mes besoins tout seul comme un grand. Donc pas l'dimanche.

Sait pas trop pourquoi il lui sort ça comme ça, semble pas lui laisser d'autres alternatives alors qu'cette nuit, suffirait d'une caresse trop appuyée, un lyrisme trop poétique et il s'abandonnerait sans regret. Sait pas pourquoi il cherche à l'repousser au final. S'recule pour changer à nouveau d'position, creuse la distance dans son crâne, creuse la distance dans l'espace vainement. S'remet en position assise en rouvrant finalement les yeux, les iris qu'observent l'ciel peu étoilé, putain d'pollution lumineuse qu'elle cracherait Lily. S'remémore les constellations au milieu d'l'océan, lumineuse, colorées, s'demande si l'garçon les a d'jà vu. Mais en s'tournant vers lui, changent d'idée sans s'en rendre compte.

-- Pourquoi vous achetez d'belles choses pour jamais vous en servir pleinement. Trop peur d'les abîmer comme si c'tait de l'art et pas d'simples accessoires d'vie? Regarde, ta voiture va bien.

Fait peut-être pas beaucoup sens aux oreilles d'Percy, l'en fait pour lui, ça arrive souvent ça. Semble faire sens qu'pour les gens qu'ont prit l'abonnement comprendre les boudins. Alors pat pat le métal doucement, comme pour prouver son point, comme il s'pat patait avant en tentant d'se consoler lui-même, quand y avait personne pour l'faire, quand il était comme cette voiture qu'on sort qu'pour faire briller avant d'l'enfermer, lui interdire d'vivre parce qu'elle n'est qu'précieuse en parfait été, doit pas être salie. S'coue la tête pour pas s'laisser aller à c'train d'pensée, arque une jambe pour la faire glisser d'l'autre côté du partenaire et prendre place à califourchon sur son bassin, lui permet d'prendre un peu d'contrôle sur la situation, plus qu'en s'accrochant à lui comme un animal désespéré. Ses deux mains cette fois qui r'viennent caresser l'abdomen sous l'tissu tandis qu'il se penche lorsque l'garçon prend une taffe, lui vole la fumée en faisant glisser leurs lèvres, retrouvant sa langue au passage, profite du goût qui s'attarde sur ses papilles, s'éloigne dans un dernier baiser sur l'coin d'sa bouche afin d'remonter les satanés tissus, la pulpe sensibles d'ses doigts qu'sont chatouillées par l'happy trail du partenaire. Sourit un peu bêtement.

-- C'que ça j'aime bien ça. J'trouve ça sexy, comme une invitation plus bas, un sentier lubrique. J'ai toujours été dégoûté d'pas en avoir. R'garde.

Lâche une prise afin d'relever son haut dans l'idée d'encore prouver ses dires, oublie qu'le garçon l'a déjà vu, ou s'doute pas qu'il a bien fait attention, comprend pas pourquoi il est revenu s'il a bien fait attention. R'baisse le tissu, s'repenche pour lui voler la prochaine expiration d'fumée, en gardant une distance cette fois, malin s'enfuit avant qu'il ne vole un baiser afin d'glisser plus bas, quitte une nouvelle position afin qu'son visage arrive à hauteur d'un bas ventre qu'il embrasse, mordille un court instant avant d'relever les yeux, s'souvient d'pas l'brusquer, alors l'souffle contre sa peau, demande innocemment:

-- Je peux te marquer?

@Percy Haynes-Grayson :fes: :beu:


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TW : propos à caractère sexuel / usage récréatif de drogue (weed) / référence à une violence infantile (éducation autoritaire)

Son murmure qui se propage le long de tes oreilles, pour glisser sur une mâchoire qui se décontracte à l’écho. “Considérant que je retiens ce que tu me dis Percy, oui.” T’aimerais tenir cette douceur contre tes tympans encore longtemps, cette attention qui vient apaiser tout bourdonnement inquiet. Il t’écoute. Il se soucie. Il retient. Il se souvient. Tu t’demandes comment il se remémore vos premiers instants ; ce qui lui plaît le plus dans une apparence soignée. “Elle est mignonne hein? J'trouve qu'elle me va bien, pas hyper efficace mais elle a du vécu et du charme!” T’en comprends qu’il veut refléter une histoire, un charme authentique alors que la défaillance braille de tout casser. Du moins, c’est théorique, car dans la pratique, ton esprit ne saisit pas jusqu’où il veut en venir. Cute but dysfunctional ?

Un ongle vient te frôler le bas du ventre. T’appuies son bassin contre ce doigt comme pour venir chercher une griffure. Tu veux te laisser aller dans ses caresses. Ses mouvements qui sont toujours si aguerris, comme s’il savait déjà où te trouver alors que tu es toujours au stade d’apprentissage. T’admire cette faculté qui te désarme. Vos bassins qui se mêlent, ses pressions qui te font marquer un nouveau son grave que tu n’arrives à retenir. Ses mains viennent te chercher par le dos, t'accompagnent dans ces pas enflammés. Le sweat qui se fait tirer pour se frotter davantage au torse du belge. Tu pourrais davantage te laisser à lui si tu n’avais pas en mémoire son besoin de respirer. Et ce rythme cardiaque que tu sens pulser sous toi qui appuie cette réflexion. Parce que tu le vois, ainsi battre près de toi, sa respiration qu’a du mal à revenir. Cette observation vient gonfler davantage un bas ventre déjà bien excité, mais qui s’empêche de poursuivre, introduisant du calme dans une torpeur qui devenait incontrôlable.
Faites donc attention, cuisinez moi une bruschetta avec du piment tendre prince et je pourrais tomber amoureux.” Tes yeux qui s’ouvrent d’émerveillement. C’est sûrement là, toi, qui manque de souffle. Dans un élan qui active de nouveau cette irrépressible machine, tu viens te saisir de ses lèvres. Un mélange de fougue mais surtout d’engouement affectueux. Tes lèvres, encore proches des siennes, qui répond un “Tu m’aideras à choisir le piment… Je m’y connais pas vraiment” autre manière de dire, Accompagne-moi dans cette union, je ne sais comment aimer. Puis son doigt que tu sens te taper l’ventre. “S'prononce Beudueun. Pas Boudyne. Mais j'apprécie l'effort, pas beaucoup l'font.” et là, dans un marmonnement pas très perceptible tu prononces d’une bouche qui épelle chaque syllabe “beuuuuuden ; beuden ; bouden ; boudueeeeen” L’action un peu ridicule parce que t’sais pas si c’est ton cerveau qui t’lâche ou si t’es juste con à ne pas savoir prononcer un nom correctement. Pendant que tu tentes de prononcer des intonations néerlandaises, tu n'entends pas le début de sa phrase ; tu relèves seulement le visage d’un sourcil interrogateur “sur ce capot un jour.” Pas l’temps de te soucier davantage de ses propos, te répétera sûrement si c’est important. Parce que t’es pris dans un travail minutieux. Tu profites juste d’un acte sensuel pour venir lui rejeter le bâton de la tentation. “Han la saloooope.” Un baiser en l’air que tu lui lances, ravi de la réaction. Tes lèvres restent plantées vers le ciel et tu ne remarques pas de suite ce rapprochement. Son visage vient se frotter à ton épaule. Petit chat. Manquerait plus qu’il ronronne pour te faire trembler d’attendrissement. Or ce n’est pas ce que tu as en tête, le volcan loin d’être éteint. Tes doigts viennent s'agripper à sa chevelure pour déposer la fumée entre ses lèvres. Sa bouche ainsi tendue à toi qui exprime un hochet aguicheur. Son regard se transforme vite en poulet à la suite d’un baise-main appuyé. Son ordre qui vient agripper ta colonne dans un mouvement vif, ton corps aux aguets prêt à répondre à ses envies. Ta main qui vient chercher son cou lorsqu’il profite à nouveau de la fumée s’évaporant de toi, la lèvre encore pendue à son baiser lorsqu’il s’éloigne. “Certainement en Italie. J'ai appris qu'ça cherchait un équipage pour y aller bientôt. Et j'suis plutôt bon mécanicien et navigateur.” Ses traits qui te captent moins, se dérobent pour éviter une alliance visuelle. “Tu sais lire des cartes ??” que tu d’mandes impressioné. Les yeux qui se déforment à la surprise. “On va avoir besoin de tes précieux talents alors, ce serait dommage de te laisser filer” tu continues en déposant à la suite un baiser sur une épaule accessible. Parce que si c’est une manière de te demander de vous suivre, tu l’accueilles les bras ouverts sans même réfléchir. Tu rêves déjà de nuits étoilées à ses côtés, d’observer des baleines alors que tu es dans ses bras, d’apprendre de lui. “J'irais vraiment en Italie. Pas n'importe quand. Pour l'carnaval de Venise. J'ai toujours voulu danser sur l'eau et Venise c'sur l'eau alors.. J'pense qu'ça compte. Al elle a dit qu'ça comptait. Elle a dit qu'ça ferait un beau spectacle avec les déguisements, j'ai compris qu'ça f'rait un bon anonymat, qu'personne m'reconnaitrait. Et ça m'tente ça. D'être l'danseur inconnu d'Venise.” Tu te projettes dans ce rêve, parce que s’il serait l’inconnu de Venise tu pourrais reconnaître ses hanches entre mille. Sa manière de bouger son corps avec autant d’adresse, de spontanéité et de magie. Même sa danse du paon aurait pu te séduire. Alors tu continues de l’imaginer vêtu de multiples couleurs comme un arlequin sensible. “T'as d'jà essayé d'dire à ton père qu'il te r'gardait pas et que... ça... Enfin t'sais que ça t'minait... Rapport au golf qu'tu t'oblige à apprécier pour obtenir un moment d'attention. J'l'ai dis à mon père un jour. Quand j'étais plus jeune qu'il m'voyait pas et ça va mieux d'puis. Il savait juste pas. J'crois qu'c'est à c'moment qu'j'ai compris qu'les adultes sont juste d'grands enfants qu'cachent leurs lacunes en s'embaumant d'parfum d'fausse maturité.” T’as pas le temps de rebondir sur ses envies de Venise, quand bien même t’aimerais lui demander pourquoi sur l’eau, s’il n’a pas déjà imaginé danser sur une barque, faire de la natation synchronisée ou danser dans un jardin asiatique, les jambes tendues se déhanchant d’une pierre à l’autre. Tu discernes ses narines qui se secouent sous ton cou et t’sens soudain agressé dans ton intimité. “Un peu comme toi. L'est toujours fort ton parfum. Sent pas mauvais, comme... L'été en une odeur. Mais c'fort.” Tu sens une langue pas très gourmande venir tester ce parfum “Et c'pas bon du tout.” Si t’es pas capable de lui lancer ce regard, tu fronces suffisamment des sourcils pour souligner l’offense qu’il te fait. “Tu préfères que mon parfum devienne un gel douche à la fraise tagada ?” tu réponds peut-être un peu sèchement, parce que tu les adores tes parfums. T’as d’ailleurs toujours un flacon de quelques millilitres dans ton sac. Tu vois bien qu’il se tourne vers toi mais ton menton se tend dans une autre direction pour souligner un comportement boudeur. Tu sens ta main se faire agripper afin qu’elle se cale sur sa hanche, et puis, enfin, tu le sens t’entourer, tu penses à ces animaux collés à leur cailloux, à leur cabane. Et il revient fourrer son nez dans ton épaule, et t’apprécies, tu te détends, trop facilement. “Comment t’as su que ton père était prêt à t’écouter ? Toi vraiment ? Pas lui à s'écouter?” tu te demandes, réellement intrigué. Parce que vous avez jamais su avec Asher. Mavis qu’a préféré comme conversation partir de vos vies, oubliant autant son frère de sang que son frère de cœur. Et tu voudrais tout éviter pour qu’une rupture se déroule à nouveau. Ton cœur qui se serre à imaginer des Noël sans les Avery, à ne plus retrouver ta mère faisant une salade à Ash et toi. “Quand j’étais petit j’ai pleuré après un match. Parce que mon père n'était pas venu. C’était le troisième, je sais plus. Il m’a répondu que c’était une raison de plus pour que je ne fasse pas ce sport, que je n’étais qu’une mauviette qui ne pouvait vivre sans son papa” et ses remarques qui sont venues marquer un corps encore trop fragile aux yeux du paternel. Tu te souviendras toujours de cette intelligence. Utiliser des outils qui n’aborboreront jamais bien longtemps les flagellations, mais son regard déçu, méprisant, qui s’inscrutera en toi à jamais. Tu sais que tu t’en ai mieux sorti que ton frère aux boucles brunes, alors tu t’es toujours raccroché à cela. Au moins, il ne croit tellement pas en moi qu’il ne me bat pas assez fort pour que je souffre à vie d’une hanche disloquée. T’as la mâchoire qui se sert et t’arrives pas trop à ressentir sa main qui vient caresser ton abdomen. Alors que sa chaleur pourrait venir apaiser ces pensées qui vaguent à des océans trop sombres. “Pas l'dimanche. Pour les rendez-vous. J'ai danse le lundi. Donc j'fais rien d'pro actif le dimanche.” tes tympans qui entendent sa voix à nouveau et te ramènent à lui. Tu l’observes un peu ébahi, perdu face au flot d’informations. “Aka j'baise pas Percy avant qu'tu comprennes pas. Et si tu veux d'un nous, j'fais pas dans la polygamie donc tu d'vras t'occuper d'mes besoins tout seul comme un grand. Donc pas l'dimanche." Tu restes un moment là, comme ça à essayer de mettre les idées dans l’ordre. Tu lui lances un sourire gêné “J’ai foot le mardi et jeudi d’mon côté” tu crois qu’il t’a parlé de ses entraînements, mais t’es pas bien sûr d’avoir visé juste. Tu ne complètes pas par un le vendredi aussi, puis les matchs le samedi mais j’y vais une fois sur deux. Parce que t’es pas prêt à voir un regard déçu. Le sien. Qu’il te voit comme tu es : un homme paresseux qu’a pas réussi grand chose dans sa vie. T’arrives pas à lui proposer un autre jour parce que ton cerveau veut pas s’remettre à l’endroit, t’es incapable d’avoir ton planning en tête. Tu penses bien au samedi soir, mais se s’rait mettre à l’eau toutes les soirées avec les pi sigma. Alors tu réserves tes craintes pour lui apporter la seule chose que t’es certain à l’instant “Je veux être à toi, et que tu sois à moi Alastor” ta main se referme sur sa hanche pour le tirer davantage vers toi. Tes yeux encore voilés de souvenirs, qu’arrivent plus trop à te projeter dans un avenir éblouissant. Pourtant, ta voix se brise dans cette honnêteté. Parce que t’es un enfant capricieux et possessif, qui ne veut connaître que ses lèvres, qui veut mélanger tes papillons qu’aux siens, et qui veut, surtout, savoir prononcer correctement son nom, pour un jour, peut-être, le porter.
Mais il s’éloigne à nouveau, et ton cœur manque un battement. Parce qu’Alastor tire à l’élastique avec l’organe ; ce dernier qui pulse trop vite puis plus suffisamment ; manque de plus en plus à se faire éjecter de ton cœur dans un reflux d’acide. S’assoit plus loin et tu cherches pas à le retenir. Ta main qui reste allongée sur une carrosserie froide qu’il a quitté en changeant de position. “Pourquoi vous achetez d'belles choses pour jamais vous en servir pleinement. Trop peur d'les abîmer comme si c'tait de l'art et pas d'simples accessoires d'vie? Regarde, ta voiture va bien.” T'amène le joint à tes lèvres, pas trop capable de répondre totalement à sa remarque. Tu sens une réflexion dans sa voix que t’es pas prêt de réceptionner. “Et si tu voyais cela autrement ? La peur de ne pas savoir réellement s’en servir donc vouloir les affectionner au possible ? Lui éviter tout accroc que tu ne saurais pas réparer…?” Tu réponds sans te rendre compte de ta propre réflexion, de la manière dont toi aussi tu lui témoignes énormément par cette métaphore. Une autre inspiration, brûlant une partie du joint. Parce que c’est ce que tu sais faire de mieux, fumer pour oublier ces pensées qui se secouent un peu partout en toi. Parce que t’sais pas faire tout seul. Tu te laisses surprendre par son corps venant sur le tien. Tu lui lances un regard interrogateur, ne sachant pas trop pourquoi il vient soudainement se joindre à toi. Et lorsque pour la troisième fois en moins d’une minute tu viens tirer à nouveau sur ce morceau bien achevé, le danseur plonge vers toi. Ses lèvres qui viennent te chercher, un baiser auquel tu ne réponds pas immédiatement. Mais quand il se retire, l’absence vient te frapper. Tu vas l’chercher, ta main entourant son oreille pour qu’il partage sa langue une dernière fois. Tu fermes les yeux pour savourer ce rapprochement. T’sens ton coeur battre à nouveau et t’aimerais le coller à toi à jamais. “C'que ça j'aime bien ça. J'trouve ça sexy, comme une invitation plus bas, un sentier lubrique. J'ai toujours été dégoûté d'pas en avoir. R'garde.” Un sourire amusé que tu lui lances, ton pouce qui vient tracer une ligne invisible avant d’ouvrir la paume de ta main sur son ventre. “J’aime tellement…” t’abaisses tes yeux face à ce corps imberbe, t’aurai bien fait glisser tes doigts s’il n’avait pas rabaissé le tissu. Quand il tente de s’accaparer une nouvelle fumée tu sens une distance qui te fait plisser des yeux, craignant un nouvel éloignement. Mais les événements prennent une autre tournure que ton cauchemar. Ses lèvres qui se parsèment le long de ton ventre avant de titiller une peau entre les dents. Puis sa voix, si douce, appuyée par des iris angéliques “Je peux te marquer?” Tes yeux se ferment un instant pour profiter de cette phrase qui résonne en toi. Dans ses caresses, t’oublie ton nom. Toutes tes inquiétudes, qui se tendent au moindre mot de travers, se dissipent à la moindre demande inoffensive. T'as jamais apprécié que ton corps soit marqué, parce que t'as jamais vraiment laissé quiconque rentrer dans ta vie. T'avais pas envie de laisser sur ton corps une trace que t'es pas capable de supporter. Celles (in)volontaires du père. Celle volontaire d'un homme, que tu veux. Désormais. Tu veux faire de ton corps son art. Lorsque tes paupières s’ouvrent, ton regard plonge en lui dans une vénération. D’un mouvement lent tu viens caresser son cou de ton bassin. Cette bosse, qui revient si rapidement, frôle sa gorge. Tu perds prise. “Toute ma vie” les yeux à demi-clos, incapables de s’ouvrir davantage par une décontraction que tu ne maîtrises plus, force de taffes. Tes mouvements cessent pour donner le relais à une main qui vient caresser son visage. Ton annuaire vient dessiner des pommettes, tracer l’arc du sourcil droit avant de descendre à ses lèvres. Tendre destination. Jusqu’à ce que ta main empoigne peut-être trop fermement ses boucles, tirant sur ses cheveux épais pour soulever son visage. Ses yeux qui atterrissent au niveau des tiens. “Marque moi Alastor” et tu le supplies, ton corps prêt à exploser. D’un désir qui n’arrive à se taire et d’un cœur qui veut l’aimer.

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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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TW : propos à caractère sexuel / usage récréatif de drogue (weed) / référence à une violence infantile (éducation autoritaire)


Sait pas trop bien c'qu'il a pu baragouiner pour qu'le garçon vienne l'embrasser comme ça mais n'en est pas moins fière, tout sourire qu'il est quand leurs souffles s'mélangent. “Tu m’aideras à choisir le piment… Je m’y connais pas vraiment” Une caresse qui survole sa joue dans un rire attendrissant, capte pas bien l'envergure d'la demande mais r'nifle quand-même un peu du nez en ayant retenu ses propres mots.

-- Vous n'avez donc peur de rien intrépide chevalier. Si c'est le cas je crains de n'avoir d'autres choix que vous accompagnez dans cette quête.

Signe l'crédit pour la peine inconscient d'ses dires, ou certainement un peu quand dans son bide ça s'affole comme si il y avait une plus grande raison encore qu'sa déraison. whut? makes sense to me.beuuuuuden ; beuden ; bouden ; boudueeeeen” Glousse comme un enfant aux tentatives du brun, un peu moqueur, pat pat ses cheveux dans un mécanisme d'jà bien huilé, ses doigts qui s'perdent dans les mèches un court instant. L'effort qu'lui r'tourne un peu l'cerveau, trop heureux d'être... vu? it's a weird feeling. Les sourcils qui s'arquent parce que comme prévu l'a pas entendu sa vanne et s'sent pas d'humeur à la réitérer d'suite, terrain glissant quand il est d'jà en train de danser sur la fine ligne du "do what u want with my body" comme le chanterait lady gaga.
Répond au baiser en l'air par un clin d'œil bien trop appuyé avec une moue d'gros beauf de bar, s'soumet à ce petit jeu parce que ça lui montre une facette qu'il avait qu'aperçu encore, voit finalement l'Percy de 23 piges qu'est pas tendu par les appréhensions. Ou l'désir mais ça c'pas ce qui dérange l'plus.
Tu sais lire des cartes ??” Hochement de tête fier pour toute réponse, s'tortille un peu parce que ça l'ferait presque vibrer d'le voir si admiratif d'ce qu'il sait faire. L'adore quand on l'adore au final l'grand môme, toujours l'envie d'impressionner parce que c'bien mieux que de désimpressionner. whut? again makes sense to me.On va avoir besoin de tes précieux talents alors, ce serait dommage de te laisser filer” la caresse buccale sur l'épaule qui l'fait frissonner, sert sa main en échange, dessin qu'deviennent plus appuyés un instant. L'savoir qu'il veut pas le laisser filer, surtout après leurs échanges, après sa demande, fait d'plus en plus chaud en cette nuit qu'il s'dit, s'éventant un peu.

-- Faudra me payer cher.

Tente d'dévier l'trop plein d'émotions comme toujours, l'humour naze qui s'envole parce qu'il sait pas bien causer, a d'jà bien trop dévoilé par texte, voudrait pas s'ramasser l'crâne parce que tout ça va l'faire finir par s'évanouir, comme la dernière fois sur l'bateau, seulement sauvé par un acte quelque peu sauvage.
La discussion qui s'enchaîne parce que s'il a peu d'attention à fournir, l'brun il semble en avoir assez pour deux, suit chaque revirement avec assiduité, pourrait presque l'charmer en quelques mots. Presque. Bien évidemment... “Tu préfères que mon parfum devienne un gel douche à la fraise tagada ?” La réponse sèche qui l'empêche de répondre un puissant "HAN J'ADORERAIS", la désagréable impression d'avoir touché une corde sensible. La fuit qu'est prise juste après lui prouvant qu'c'est bien l'cas, grimace un peu, voulait pas l'embêter, réfléchissait juste, s'souvient qu'ses pères ils lui ont dit milles fois d'pas réfléchir à haute voix et il les écoute, c'juste que parfois ça se registre pas sur l'moment, quand y a trop d'informations qui s'bousculent dans sa caboche. Alors il s'penche un peu, l'surmonte légèrement afin d'chercher ses yeux qui s'défilent, dépose un baiser d'excuse sur sa joue.

-- J'ai pas dis qu'ça sentait pas bon l'été... C'ma saison préféré. J'dis juste qu'ça sent fort... J'aime bien ton odeur sans. Mais c'est apaisant, même si ça tabasse... T'sais comme quand tu tires sur un joint trop chargé, ça tabasse violent mais la sensation elle est extra!

Comment t’as su que ton père était prêt à t’écouter ? Toi vraiment ? Pas lui à s'écouter?” L'désarçonne un peu cette question, parce qu'en faite il a pas choisit l'moment, c'le moment qu'a choisit son moment pour l'faire craquer, l'forcer à hurler un chagrin qu'était d'venu trop grand pour être contenu dans son p'tit corps d'enfant. Les yeux dans l'vague, sent qu'ça lui plaît pas à sa caboche d'se remémorer ça, s'sent pas d'divulguer l'pourquoi du comment, avale d'travers sa salive et s'gratte le bras comme il le faisait avant, un peu trop fortement. “Quand j’étais petit j’ai pleuré après un match. Parce que mon père n'était pas venu. C’était le troisième, je sais plus. Il m’a répondu que c’était une raison de plus pour que je ne fasse pas ce sport, que je n’étais qu’une mauviette qui ne pouvait vivre sans son papa” L'souffle coupé. Cherchent les yeux gris pour n'y trouver qu'un barrage qu'retient trop d'trucs en vracs, pendant un instant c'mêmes iris ternes qu'le Asher. Donc ça sort un peu tout seul, comme un hoquet pas contenu, qu'écho dans la salle de classe en plein contrôle, fait rougir les oreilles avec l'envie d'se terrer sous la pile d'sac.

-- Il était pas prêt. Enfin j'pense pas parce que moi non plus j'l'étais pas. Mais... J'voulais pas y retourner, j'voulais pas qu'il continu à pas voir j'pense? J'sais pas tellement. J'me souviens pas parce que y avait beaucoup d'émotions et t'sais moi et les émotions... J'sais juste que j'ai hurlé, beaucoup, jusqu'à plus respirer. Alors j'crois que là il a vu, l'était un peu obligé aussi. M'enfin moi j'viendrais à tes matchs! Tous! C'quand?? Et puis c'surcôté d'pas être une mauviette. Parce qu'les mauviettes c'est ceux qu'ressentent et si tu r'ssens pas alors comment t'sais qu't'es vivant hein?

Lui fourre son téléphone sous l'nez afin qu'il note dans ses notes quand sont les matchs. Quand Percy l'récupère, en profite pour embrasser ses doigts, puis son poignet pendant qu'il pianote sur les touches, puis son biceps qu'il mord avant d'récupérer le mobile où il n'y a qu'un jour d'indiqué, samedi.
J’ai foot le mardi et jeudi d’mon côté” Ainsi l'jour de match qu'semble parfait, loin d'se douter d'pourquoi l'autre l'a pas proposé en premier lieu, “Je veux être à toi, et que tu sois à moi Alastor” s'laisse attirer comme un doudou, s'dit qu'ça doit être un peu l'cas actuellement, parce que y a une âme brisée qu'il découvre qui bat au même rythme qu'la sienne. La gorge sèche resserre sa prise afin d'lui témoigner qu'il est là, l'ancré simplement, comme son parfum agressif l'fait.

-- Alors l'samedi soir c'est acté. J'viendrais voir tes matchs et on mangera des corndog bien gras et des fraises avant d's'échanger les boîtes. Et nos salives. Et plus.

Glousse encore à l'idée, une caresse frivole sur sa mâchoire, un pat pat sur l'front et l'voilà déjà reparti. Véritable farfadet qu'apparaît que quand il l'veut bien.
Et si tu voyais cela autrement ? La peur de ne pas savoir réellement s’en servir donc vouloir les affectionner au possible ? Lui éviter tout accroc que tu ne saurais pas réparer…?” R'trouvent encore une fois son regard, s'y accroche, cligne lentement des yeux, les rouages d'son esprit qui tournent rapidement, capte qu'trop bien soudainement l'allusion. Et c'que y a pas forcément besoin d'en dire plus, un simple sourire compréhensif qu'est lancé avant d'se lancer dans une nouvelle aventure.
Un foutu gémissement qu'sort d'ses lèvres, s'échoue contre celle d'Percy quand il l'oblige à r'venir, lui vole un énième baiser, aucunement différent d'ceux qu'ils se sont échangés ces dernières minutes mais c'lui d'trop quand y a beaucoup d'choses qu'il commence à apprécier chez l'autre, un partenaire qui montre une passion qui l'réjouit, un esprit qu'prend l'eau, une verve affectueuse, un tout enjôleur. “J’aime tellement…” la pression sur son ventre qui l'fait souffler un peu trop fortement, s'dandine encore comme pour évacuer la pression qui monte.
Certainement cette montée soudainement qui l'force à vouloir apposer sa marque, comprendra peut-être pas pourquoi l'reconditionné, comprend pas lui-même en quoi ça l'détendrait d'le savoir tatoué d'ses lèvres. L'observe à nouveau avec attention, enregistre chacune d'ses réactions, même les plus infimes, les yeux qui se rouvrent, l'accueille avec un sourire insolemment innocent.

@Percy Haynes-Grayson lov lov

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OCCUPATION : cursus : financial markets & investments + commerce international (6th, dernière année master) + investisseur crypto (simflouz $$)
STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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T’exploses d’un rire effréné quand tu vois sa moue de pilier d’bar un peu trop lourdaud. La main sur le ventre, tu tousses n’arrivant à avaler la fumée correctement. Mais dès que ta gorge semble s’éclaircir à nouveau ton rire continue. Tu réponds à sa poigne par une main un peu trop légère, encore épris d’une expression ravie. Les yeux mouillés tu le fixes dans les yeux, on serre pas une promesse en contournant le regard, right? “Faudra me payer cher.” Tu lèves un sourcil, la réponse qui vient rapidement. “En nature ça t’va?” T’serais prêt à lui donner ton corps sans rien en retour en réalité, mais t’vois pas trop lui proposer un fric qui ne t’appartient pas. De la crypto? Tu sous-estimes pas ses connaissances mais comme le flair qu'il s’en foutrait de ces monnaies virtuelles insaisissables, qu’ont du sens que dans un capitalisme financier qui semble pas trop coller à la peau du belge.
Ses lèvres qui se frottent à ta joue, et tu sens la tentative, un peu rassurante, pas aussi convaincante qu’un pat pat, mais ça marche un peu. Parce que ses paroles suivent, et que tu veux rien perdre de lui. “J'ai pas dis qu'ça sentait pas bon l'été... C'ma saison préféré. J'dis juste qu'ça sent fort... J'aime bien ton odeur sans. Mais c'est apaisant, même si ça tabasse... T'sais comme quand tu tires sur un joint trop chargé, ça tabasse violent mais la sensation elle est extra!” Ses paroles qui mêlent compliment et confidences, t’sais pas lire entre les lignes mais tu comprends quand on te parle d’herbe alors t’enchaînes “Oui mais trop c’est pas bon… faut que je laisse tes sens se reposer un peu” te disant que t’irais bien acheter un gel douche qui lui convient. Lui ferait même tester les odeurs une fois en magasin, juste pour être sûr que ça lui plaise. Parce que tu dis pas non à sa langue sur ta peau, sans expression dégoûtée cette fois-ci. Et ton esprit qu’a envie de savoir, parce que ça n’a jamais été trop la tienne de saison préférée. “Et pourquoi la saison d’été est ta préférée ?” Tu préfères te retrouver sous la neige, ne serait-ce que pour faire du snow et pour célébrer Noël en famille.

Il était pas prêt. Enfin j'pense pas parce que moi non plus j'l'étais pas. Mais... J'voulais pas y retourner, j'voulais pas qu'il continu à pas voir j'pense? J'sais pas tellement. J'me souviens pas parce que y avait beaucoup d'émotions et t'sais moi et les émotions... J'sais juste que j'ai hurlé, beaucoup, jusqu'à plus respirer. Alors j'crois que là il a vu, l'était un peu obligé aussi. M'enfin moi j'viendrais à tes matchs! Tous! C'quand?? Et puis c'surcôté d'pas être une mauviette. Parce qu'les mauviettes c'est ceux qu'ressentent et si tu r'ssens pas alors comment t'sais qu't'es vivant hein?” Te rassure de le savoir pas prêt, parce que t’comprend pas vraiment à quel moment tu pourrais l’être. Tu ne sais même pas si t’as envie de l’être un jour en réalité. Parce que tu ne saurais pas trop quoi lui dire, ni si tu as réellement envie d’avoir son attention. Un amour paternel sur lequel t’as vite arrêté de compter, réduisant ces interactions familiales par des politesses parfois attendrissantes. Suffisantes. Parce qu’elle est là. Elle. Maman. Son sang qui te permet de respirer chaque jour. Ses paroles toujours délicates, son humour décalé, son ambition, sa splendeur. Tu l’aimes, tu l’admires, tu la vénère. Et tant qu’elle t’aime. Tu peux te passer d’un père défaillant, du moins en partie. “Et vous avez réussi à vous souder, à nouveau? ” Ton esprit qui mélange ses propos, qui pensent à plusieurs sentiments à la fois. D’abord la vie. Être vivant, oh il y a d’autres manières de se savoir vivant, sûrement malheureusement. Maudire sa capacité à survivre parfois. Et puis, des moments plus tard, remercier la vie. Asher. D’être là. Et tes idées ensuite qui réfléchissent à ses premières paroles, à son propre mal être. T’avais bien dit qu’il n’aime pas son côté britannique. Ça fait un peu sens dans ta tête, sans pour autant comprendre totalement. Tu t’dis qu’il en parlera un jour, mais t’sens pas d’évoquer ce point commun. Pas bien sûr qu’il en éprouve l’besoin non plus, parce qu’il t’a dit avoir une capacité émotionnelle limitée. Et t’aimerais pas qu’il explose là, parce qu’il y a déjà tant dans son esprit. T’veux pas remuer des souvenirs qui ne t’appartiennent pas. Alors tu poursuis sur le reste de ses propos. “C’est le samedi, mais t’auras certainement autre chose à faire… T’sais ça peut être super long un match de foot…” mais tu ne le laisses pas le temps de saisir cette perche d'hésitation parce que tu brûles d'envie de le voir là, pour toi, pour te soutenir. “T’sais ce qui est sous-côté ? Mon kiff pour toi” première disquette que tu glisses avec un clin d’oeil dragueur. T’as jamais été le meilleur à ce jeu-là, ne serait-ce pas parce que tu ne séduit que par des phrases lourdes. T’avais jamais suffisamment écouté la personne que tu souhaites dans ton lit pour pouvoir la séduire au travers de ses paroles. Là, si t’es plus à l’écoute de l’homme, ne serait-ce parce qu’il attire une curiosité inattendue de ta part, t’en restes pas moins un dragueur-farceur. Lorsqu’il te tend le téléphone, tu comprends pas de suite ce que tu dois noter, avant que ça turbine un peu.
Entraînement Percy (smiley ballon, smiley coeur bleu)
Tandis que tu sens ses lèvres témoigner une affection qui te fait sourire. Le regard tendre qui se glisse sur son visage avant qu’il ne vienne mordre un biceps. Aucune douleur grâce à un sweat trop épais pour ressentir ses dents mais des sourcils qui se rapprochent, se demandant quelle mouche le pique. “Alors l'samedi soir c'est acté. J'viendrais voir tes matchs et on mangera des corndog bien gras et des fraises avant d's'échanger les boîtes. Et nos salives. Et plus.” T’oublies un moment les soirées avec la confrérie. Et puis t’dis que si tu ne feras plus la troisième mi-temps avec eux, vous pourrez toujours les rejoindre plus tard dans la soirée. Parce que semblerait que l’gars en face de toi soit pas l’plus sage non plus. “J’veux une sauce mayonnaise miel et moutarde par contre sur le corn” ta voix un peu enfantine qui vient quémander un détail culinaire qui ferait toute la différence sur une chapelure croquante et grasse. “ET en plus de ta salive j’veux que tu m'échange un poumon que j’puisse mieux respirer parce que je perds mon souffle à tes côtés” deuxième disquette, bien plus lourde. Si ta gorge évoque un rire satisfait du phrasé, tes yeux ne viennent pas dire l’inverse de ce que tu penses : tout s’affole près de lui. Ça t’surprend de tomber si facilement pour quelqu’un. Tu comprends pas comment ça arrive, mais ce n’est pas ce qui t’inquiète.


Pas trop froid ? Je mets le chauffage ?” Tu actionnes malgré tout une légère chaleur, ne serait-ce que pour installer une ambiance décontractée à l’intérieur de diva. Tu n’arrives à maintenir la distance bien longtemps dès que tu es à ses côtés, un baiser que tu lui voles furtivement avant de commencer à rouler. Pas besoin de gps tant tu connais la route par cœur, l’esprit qui s’apaise à l’idée de monter sur Lady Bee. Des semaines que tu rêves de te retrouver en elle ; Alastor à tes côtés pour venir s'engouffrer dans ce lieu qui te manque tant. Au moment où vous sortez du parking, la musique qui s'enclenche pour laisser place aux paroles d’un Kid Cudi. “It's the day I've been waitin' for
And I'm settin' the scene”

Ta main qui s’éloigne du levier de vitesse pour se poser sur la cuisse gauche de ton partenaire. Ton pouce se glisse à l'intérieur, ne le lâchant pas. Tu tournes à gauche au lieu de continuer en ligne droite pour te garer au premier supermarché de nuit ouvert. Pas le temps de parler davantage que vous êtes déjà arrivés devant une vitrine aux néons agressifs. Ta paume qui s’appuie sur sa cuisse, le conviant à rester assis. Tu attrapes ton sac d’une main avant de faire le tour de la voiture pour, à nouveau, lui ouvrir la porte. Ta main libre qui vient l’accueillir, en attendant pouvoir nouer tes doigts dans les siens. “Go s’prendre une buretta et du pument?” Un rire moqueur que tu n’arrives à stopper. Bien trop facile la vanne mais tu t’plais face aux blagues évidentes. Le plus simple le mieux, toujours comme tout. Cette simplicité naturelle qui représente la soirée que vous passez, en réalité. Et les paroles qui résonnent encore dans ton esprit “Is this really lovе, what it's becomin'?
Funny how we turned into somеthin' ”



willing to trust / kid cudi

@Alastor Van Der Budenn :siffle: :hihi:



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En nature ça t’va?” L'sourire coquin, arque un sourcil parfait comme réponse positive, scelle leurs lèvres dans un pacte passé, secret sur la bouche qu'est c'baiser, lui jettera à la figure avec véhémence si l'idiot pense partir sans lui.

Oui mais trop c’est pas bon… faut que je laisse tes sens se reposer un peu” Tente de s'faire le plus rassurant possible pourtant, même s'il dirait pas non contre l'repos d'ses nasaux, a d'jà pas tout qui fonctionne correctement alors faudrait pas qu'en plus ce sens s'fasse la malle parce qu'il l'a trop r'niflé. “Et pourquoi la saison d’été est ta préférée ?” Plisse encore l'nez en relevant un coin d'la bouche dans une moue qu'a pas l'air d'capter la question. La trouve complètement conne pour être honnête et ça s'lit peut-être un peu dans ses yeux quand il le jauge d'haut en bas.

-- Bah pourquoi t'aimes ton parfum? T'l'aimes c'tout. On pose pas d'questions sur l'amour parce qu'ça a pas d'raison propre.

Des paroles en l'air qu'il capte toujours pas, capte pas souvent bien les trucs faut dire, surtout quand il est connement heureux d'trop d'émotions comme ça, et un peu fatigué, mais pas trop parce qu'dormir c'pour les faibles.

Et vous avez réussi à vous souder, à nouveau? ” Hoche la tête vigoureusement, veut pas plus s'étaler, aime pas l'sujet et en a sorti bien assez sans réellement l'vouloir, juste pour être certaine qu'le garçon s'sente pas seul dans sa galère. Alors s'contente d'suivre l'flot d'la conversation en clôturant c'chapitre d'son silence.

C’est le samedi, mais t’auras certainement autre chose à faire… T’sais ça peut être super long un match de foot…” l'a beau s'couper lui-même en plein milieu d'son élan de "nia nia t'as pas à faire ça", ça l'empêche pas le Al d'lui administrer une pichenette sur l'nez avec l'regard, qui sait qu'à force d'recevoir la punition commencer à réfléchir un instant. “T’sais ce qui est sous-côté ? Mon kiff pour toi” feint une immense surprise en posant une main sur son coeur, inspire d'manière bien dramatique avant d'lui envoyer l'même baiser en l'air qu'il a reçu plus tôt.
J’veux une sauce mayonnaise miel et moutarde par contre sur le corn

-- Tout ce que vous voudrez mon beau footballeur.

ET en plus de ta salive j’veux que tu m'échange un poumon que j’puisse mieux respirer parce que je perds mon souffle à tes côtés” Les disquettes qui s'enchaînent et l'malmène un peu, parce que sous l'hilarité, sous l'appréciation d'ce moment plein d'charme, y a son myocarde biscornu qui tremble sous l'attention.




Pas trop froid ? Je mets le chauffage ?

-- Ok..

La vérité, a même pas entendu les questions, s'demande pourquoi exactement ils sont en train d'rouler et pas d's'ébattre, a un peu perdu la notion du temps d'l'espace. Une main qui s'pose sur sa cuisse, plisse l'nez en fronçant les sourcils, regarde ce membre avec suspicion, sur le qui vive, prêt à l'rembarrer au moindre mouvement parce que son inconscient r'commence à gueuler dans son crâne, lui somme d'se calmer. Rejette tout sur la faute d'dame surprise, s'y attendait juste pas, r'devient en colère parce que 8 jours et qu'c'est d'sa faute, ça permet un peu d'pas tout arrêter et l'sucer au milieu d'la chaussée.
Une lumière vive qui l'force à cligner des yeux, s'est même pas rendu compte qu'ils ont assez roulé pour trouver un magasin, plisse les yeux sous les clignotements. Supporte pas ça, sauf en boîte, mais là sont pas en boîte et certainement pas sous prod. Cherche donc à fuir rapidement mais une main traitre qui l'force à rester l'cul vissé sur l'siège afin que monsieur puisse sortir en premier et lui ouvrir la portière comme un vrai gentleman. Un sourire qu's'affiche enfin, déformant l'visage neutre qu'avait prit place durant l'trajet, des doigts qu'il laisse se nouer, n'y voit finalement pas d'inconvénient quand il arrive enfin à respirer à nouveau. “Go s’prendre une buretta et du pument?” Et alors peut-être qu'au final il a pas super bien reprit sa respiration, parce qu'la blague lui passe complètement au d'ssus, sourit toujours comme un con en hochant la tête et puis avance jusqu'à l'entrée d'la superette, tirant l'garçon derrière. Et parce qu'y a marqué un gros PULL sur la porte, Al il pousse, s'mange la vitre dans un bruit sourd, recule un peu, la cheville qui s'tord dans un faux mouvement et manque d'se récher méchamment si ce n'est une survie offerte par l'brun qui r'ssert de poteau quand l'belge prend appui sur son épaule afin d'se stabiliser lui tombant à moitié d'ssus mais pas sur l'sol. what just...

-- NON MAIS CA VA PAS D'FAIRE DES CHOSES COMME CA?? D'DIRE DES CHOSES COMME CA?! ET D'PRENDRE LES GENS COMME CA??? SANS PREVENIR?? Z'AVEZ PAS HONTE SALIGAUD??? J'AI DANSE D'MAIN J'AI DIS PAS D'EBATTE-D'EBAT-D'EBATTEMENT? T'FAIS CHIER!

S'époumone à défaut d'arriver à s'convaincre lui-même, s'dit pouvoir foutre la frousse au reconditionné pour qu'il le lâche. Tire alors sur la porte avec hargne, fait sursauter l'caissier qui semblait pioncer derrière son comptoir quand il entre en fanfare l'bouclé, tourne dans un premier rayon, disparaît au niveau des céréales, fuit l'chasseur comme la peste, puis réapparaît au rayon alcool en un temps record sans trop savoir comme il est arrivé là, jette un r'gard courroucé à Percy.

-- FAUT QUOI POUR TES BRUTAS?

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TW : propos à caractère sexuel
(rp sous hide)

Tu sens le jugement un peu trop fort. Tu t’demandes ce qui n’irait pas dans la question. “Bah pourquoi t'aimes ton parfum? T'l'aimes c'tout. On pose pas d'questions sur l'amour parce qu'ça a pas d'raison propre.” Pourquoi pas ? T’es bien capable de dire ce que tu n’aimes pas ne serait-ce parce que tu ressens ce qui te dégoûte, ce qui vient hérisser les poils. Pourquoi tu l’ferais pas avec l’amour ? Moins philosophique que l’garçon tu réponds comme une évidence "J’sais pas moi j’aime l’hiver parce que y’a Noël, j’aime Asher parce que c’est toute ma vie, que j’adore les chiffres parce que j’ai l’impression de jouer à chaque fois, que j’aime être avec toi parce que j’me sens bien" la fin de la phrase qui ne relève pas de la séduction mais une affirmation irréfutable. Il est vrai que tu ne saurai justifié cette sensation d’bien-être, mais tu mets des mots dessus et c’est d’jà bien.

Un rendez-vous. Samedi. Tu penses à la soirée avec les Collins, tu t’dis qu’au pire, Al viendra avec toi, et tu penses à toutes les autres fois aussi. L’idée de l’avoir à tes côtés, aux matchs, aux soirées, dans ta chambre, ça vient te faire rougir les joues. S’il n'est pas un trophée que tu veux afficher fièrement, il est plutôt un compagnon que tu veux chérir. T’souhaites qu’il connaisse ton monde, tu veux découvrir le sien. Ca semble si facile à réaliser quand il est là, sur ton capot, les yeux tendres. Comme si les problématiques familiales n’avaient pas lieu, comme si vous n’aviez pas mis huit jours à trouver l’foutu moment pour vous parler.



@Alastor Van Der Budenn :bang:





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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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TW : propos à caractère sexuel

Tu sens le panier s’alourdir subitement. Surprise. Tes yeux qui tombent sur quatre foutus paquets de fraises. T’commences seulement à comprendre l’obsession d’Alastor pour ce fruit, cette odeur qui le suit partout mais dont t'avais jusque là pas trouvé la source. Un rire léger qui sort de ta gorge face à ce constat “Ca va t’fais des provisions l’hamster?” Tu t’approches de lui, fourrant un doigt sans consentement à l’intérieur de sa bouche, tirant sur sa joue “Attends j’vérifie t’en as pas caché déjà 50” Tu forces le trait en plongeant ton visage à l’intérieur de la bouche “Fais aaaaaah” que tu lui incombes de faire, juste histoire d’y voir plus clair. T’trouves simplement des dents blanches que tu raclerais bien de ta langue mais tu t’en empêches, ne serait-ce parce qu’il ne faudrait pas agiter le monstre hormone dans ce lieu public.
T’remarques pas qu’il se mange tous les coins de rayons, on pourrait l’excuser par l’étroitesse du lieu n’empêche qu’une pensée vient titiller ton esprit : est-ce qu’il serait, un peu, dérouté ? Plus capable d’avancer avec les idées claires ? Quand tu t’approches enfin de lui, tu le vois renifler les piments. Ca t’fait penser à maman quand elle va au marché, qu’elle teste la forme des melons, des avocats, puis qu’elle sent les cerises. Pensée charmante avant de recevoir en pleine gueule “Pique pas l'nez mais ça ira. Vous avez jamais d'bons piments d'toute manière.” tu ripostes rapidement, prenant l'offensive américaine comme personnelle “Hey j’suis pas maraîcher c’pas moi qui exporte les piments. T’as qu’à en faire pousser” tu lances la proposition, mais tu t’trouves un brin intelligent. Après tout, on est mieux servi que par soi-même non ?
Le panier pas si aléatoire que ça, qui ne se complète pas par un petit dej. Le danseur qui préfère une balade matinale pour trouver de quoi se mettre sous la dent. T’aurais préféré un réveil en douceur à ses côtés puis tu penses que dans quelques heures c’est lundi, qu’il va falloir bosser sur un dossier d'entreprise partenaire, et faire des simulations de rendements d’actifs pour le vendredi. Parce que visiblement le dossier le plus intéressant sera sélectionné, dans l’espoir de décrocher le stage de fin d’diplôme. Tu souffles à l’idée, au réveil, à la vie active. T’souffle à la dureté d’la vie. Parce que vivre d’amour et d’eau fraîche c’est ton seul projet d’carrière.

T’es projeté par un non un peu trop catégorique. Bon. Tant pis. Tu t’dis que t’auras essayé. Tu te résignes vite dans la vie en fait, t’vas jamais bien trop loin quand t’entends que la personne ne consent pas. T’oublies vite tous les signaux d’désir de ton partenaire, pour ne penser qu’à cette réponse. Sauf que tu sens ton corps se faire écraser contre un congélateur. Sa main qui vient t'agripper le menton comme un enfant que l’on gronde. Tu t’doutes pas de ce qui va suivre. Ton visage qui tombe directement en sentant sa cuisse contre toi. Tu t’forces à te maintenir au congelo en laissant échapper un râle. Son contact qui t'oblige à relever la tête pour sentir ses lèvres tentatrices près de toi. La langue qu’est déjà prête à s’emparer de la sienne, qui reste frustrée presque en l’air. “T'joue à un jeu dangereux l'reconditionné.” incapable de répondre quand son pouce se faufile un passage sur ce bas visage. Ce doigt qui tombe dans ta bouche. D’yeux mi-clos tu viens chercher davantage ce doigt avec ta langue qui l’entoure. T’obéis à ses paroles, parce que si tu la joues assuré, t’aimes encore plus exécuter ses désirs. Ta mâchoire qui s’ouvre un peu trop grandement quand tu l’vois s’mettre à genoux. Tu t’apprêtais à dire quelque chose quand tu te ravises, parce que tu penses à son envie que tu t’taises, donc tu restes là, toujours aussi ébahi à voir son visage si près de ton bassin, ses iris qui te transportent ailleurs. Sa morsure qui vient te faire lâcher un souffle lourd, une gorge qui se tord. “Et j'ai pas encore décidé si tu vaux l'coup que je m'y prête.” Tu voudrais lui demander ce qui le ferait changer d’avis, tu voudrais te toucher, là, immédiatement devant son regard malicieux. Mais il s’enfuit, ne laissant à ta vue que des fesses enveloppées dans un jean. Ton regard qui s’arrête dessus un instant et ta main qui vient remettre en place un paquet qui d’vient trop gonflé. T’pourrais t’vider rien qu’à sa langue contre ta joue à force.
Tu ris à la requête d’Alastor, dont l’caissier comprend pas trop si c’est une blague, si l’un de vous nécessite une telle protection. “C'lui qui paye” pas besoin qu’il te le dise deux fois que tu l’aurais fait de toute évidence. Faut bien les utiliser ces billets verts des Haynes, qu’on sait pas trop comment ils ont réussi à accumuler autant de frics en si peu d’temps. Tu réfléchis pas trop à leurs magouilles de cols blancs et t’contentes de pouvoir jouer tel un Sims dans la vie.

Quand tu sors du magasin pour l’rejoindre tu tombes directement sur Alastor, les lèvres retroussées sur une fraise juteuse. Joueur. T’apprécies. Tu lâches un rire mi-frustré mi-ravi et à sa proposition “T'en veux?” tu viens attraper le reste de la fraise du bout de ses doigts. Ta langue qui vient traîner quelques secondes sur ses doigts désormais vides de fraise, puis t’ouvres sa portière. Et rapidement vous reprenez la route, l’album Birds in the Trap Sing McKnight qui tourne dans la voiture. Tu lui dis “c’est mon artiste pref” entre deux couplets où t’augmentes le volume avant de crier plus que chanter et aux prochaines paroles que tu cries, ton doigt vient se planter sous le menton du garçon, tu l’regardes dans les yeux, comme si tu penses toi-même ressentir la musique à son égard  “YOU EASE MY MIND, YOU MAKE EVERYTHING FEEL FINE” tu le regardes avec une joie infantile, te replongeant dans les souvenirs des concerts où t’as emmené un soir de force un Asher absolument pas sensible à ce genre de musique. Puis, au deuxième refrain tu chantes encore plus fort, ouvrant ta fenêtre pour y jeter le bras dans un élan de liberté “I’M WAY TOO NUMB YEEEEEAHHH” tu tousses, la gorge un peu plus rêche par le joint fumé plus tôt. “I GET THOSE GOOSEBUMPS EVERYYYY TIIIIIME” et là, lâchant le volant en ligne droite tu bouges les bras comme si tu es Travis Scott dans son clip “I NEEED THE HEIMLICH” les épaules qui continuent de se secouer à mesure que la musique continue. Heureux débile dans c’moment d’félicité. Parce que t’as ton prince passenger, qu’t’es avec lui, qu’il t’a dit te vouloir. Rien qui pourrait tâcher ces moments à ses côtés qu’semblent appartenir à une idylle. Am I already in Heaven Father?

Vous arrivez au port où tu gares ta voiture non loin, place attitrée où l’on peut voir un écriteau doré indiqué “n°789, percy haynes-grayson”. La voiture qu’arrête de ronfler, et si le son de diva te manque déjà, tes yeux s’illuminent à être si proche de Lady Bee. Tu sautes sur place, d’un pas à l’autre, impatient. Tu précipites même la sortie d’Al de son siège lorsque t'ouvre sa portière. Tes bras qu’oublient pas de porter les sacs, lui laissant bien l’une des barquettes dans ses mains cependant. Occupé à manger, t’soucies par de lui prendre la main ou l’embêter dans sa dégustation. Les sacs en plastique qu’manquent de se casser à cause de tes mouvements rapides, empressés. “On est arrivéééés !” Un regard paisible sur ton visage qu’tu lui lances, et vous arrivez en effet rapidement à l’entrée. Tes clés qui viennent ouvrir la première barrière. Tu t’sens plus léger à constater qu’il n’y a réellement personne. Aucun paternel à l’horizon. Et t’sais qu’il viendra pas un lundi matin, champ libre pour cette lune d’affection. Vous marchez sur un petit pont avant de tomber directement sur une entrée bien trop luxuriante. Le parquet au bois clair qui vous accueille, un tapis d’extérieur en poils de vache comme paillasson. “La cuisine donne sur la terrasse côté océan si tu veux te caler” tu lui indiques alors que t’es en train de taper les codes de sécurité. Le cœur qui palpite face à ce qui te semble relever de l’illégalité. Et lorsque les couleurs affichent un vert flashy et que les portes s’ouvrent automatiquement, comme pour vous accueillir un cri de victoire sursaute de ton corps. Tu lui prends cette fois-ci la main, parce que quand bien même il connaît déjà le yacht, t’apprécies le redécouvrir à ses côtés. Les lumières qui s’illuminent automatiquement à votre passage. Tu jettes un coup d’oeil à cet endroit que tu n’avais pas vu depuis des semaines et tu t’ravies de retrouver le blanc éclantant, les quelques photos qu’évoquent des souvenirs superficiels. Hormis peut-être une image, d’Asher, Mavis et toi avec des bouées pastels. T’as presque oublié une deuxième, sur un coin de la table de la cuisine, dans un cadre argenté. Ta mère et toi sur un transat, datant des vacances dernières, tes lèvres sur sa joue gauche alors qu’elle a sa main dans la tienne. “Prêt à manger les meilleures bruschetta de ta vie ?” que tu lances à Alastor. Tu lui montres la terrasse qui permet d’admirer sans aucun vis-à-vis un océan nocturne. Les quelques lumières extérieures qui permettent de distinguer malgré tout un paysage aquatique. “Evidemment, tu fais comme chez toi” que tu indiques malgré tout, pensant aux bières dans l’sac, à ses chaussures qu’il voudra ptêtre laissé dans un coin de la cuisine, ou même à de la musique qu’il voudrait mettre.

@Alastor Van Der Budenn  :nana:

ps : j'avais gywenth paltrow comme style de fc pour la maman d'percy pour capter la vibe


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TW : propos à caractère sexuel


L'garçon qui s'fait pas prier et vient récupérer l'fruit d'manière bien salace, expression faussement surprise, feint d'être horrifié face à un tel comportement, l'aurait bien retraîté de fille facile mais déjà le voilà reparti dans la voiture. Force un sourire sur l'visage du Belge qui remarque un enfant impatient d'retrouver sa maison. La musique qui tourne, le vent qui s'engouffre grâce à sa fenêtre ouverte, ferme un peu les yeux dans cette accalmie bienfaitrice, heureux d'vivre ce moment, l'trouve beau en tout point. Même l'garçon qui s'égosille bientôt brise pas sa paix, rouvre simplement les yeux pour l'observer hurler des paroles d'une chanson qu'il connaît pas, dont il est pas certain d'apprécier la rythmique mais Percy la rend entraînante et en cet instant, il pourrait danser sur n'importe lequel de ses choix si ça l'rend aussi extasique. Ses iris qu'plongent dans les siennes en l'forçant à s'manger les paroles qu'ont un sens bien plus lourd qu'juste des mots en l'air, lui offre un fin sourire pour toute réponse. Et puis il ouvre la fenêtre d'son propre côté l'chauffeur avant d'gueuler dans la nuit, réveillant certainement tout l'quartier qu'ils passent alors enfin à cette cacophonie s'joint l'rire du bouclé qu'peut plus s'retenir d'le voir se tordre dans tous les sens dans des mouvements qu'ont aucun sens si c'n'est relâcher la pression d'son corps dans un son favoris. Alors sa main elle se faufile sur la cuisse qui tressaute du brun et elle y reste, bien posée ici, à caresser la peau d'manière distraite pour le reste du trajet.

“n°789, percy haynes-grayson” c'est la pancarte qui les accueille et il éclate à nouveau d'rire. Quand ils sortent de l'habitacle, s'pose même à côté et prend un selfie avec, toujours hilare.

-- Alors celle-ci ils vont jamais m'croire les autres!

Cherche à envoyer la photo dans l'chat avec ses amis mais l'portable qui s'éteint soudainement, s'souvient qu'il oublie toujours d'le recharger. well.. later. D'mande même pas au partenaire s'il a un chargeur parce qu'en vu d'la marque d'son appareil, ils auront clairement pas l'même embout. Alors pour oublier c'qu'il voulait faire d'base, il grignote les fraises qui lui ont été offerte en zieutant les alentours, bien silencieux quand sa langue est occupée à déguster c'met fin. C'qu'il se souvient plus s'il a mangé c'soir donc ça occupe la place dans son estomac. “On est arrivéééés !” Lance une oeillade à l'entrée qu'il connaît déjà, y est même v'nu d'nuit donc r'connaît les lumières pimpantes. Alors continu d'le suivre, souriant néanmoins d'le voir aussi excité, pensait pas qu'ça lui ferait autant d'chose d'remonter sur l'bateau. S'demande soudainement pourquoi il s'en est autant empêché s'il l'aime tant. Pourquoi surtout l'paternel le lui a retiré l'accès s'il sait à quel point c'est important. “La cuisine donne sur la terrasse côté océan si tu veux te caler” un hochement d'tête à nouveau pour toute réponse. Sait pas trop pourquoi il s'sent pas d'humeur à parler soudainement mais y a les fraises qu'explose gustativement, l'odeur sucrée et salée mélangé avec l'océan, les babillages chantant du brun avec l'hymne des vagues, et puis la vision qu'est charmé par l'ciel nocturne, les lumières qui s'reflètent sur l'eau pour en faire une mer étoilée, l'sourire d'Percy qu'écarte les nuages... S'sent pas d'causer parce que y en a pas b'soin, qu'le son d'sa voix briserait c'mirage. Même si y a un truc qui manque, incapable d'poser le doigt d'ssus, se laisse simplement entraîner dans cette valse d'visite, l'attention qu'reste sur l'étendu d'eau et l'garçon, s'fiche bien d'l'endroit, voudrait pas vexer l'brun mais aime pas l'autant rutilant, reluisant, lui fait penser à l'hosto où tout est niquel, tout est clean, tout est sans âme parce que c'généralement là où on perd la sienne. Mais en arrivant dans la cuisine y a un éclat argenté qui l'attire, ça brille dans l'coin d'sa vision et il s'approche alors, pose enfin ses précieuses fraises sur l'comptoir, barquette déjà 2/3 vidé, les doigts qui se saisissent maintenant d'une photo, le fils à sa maman et la dites maman, éclatante de beauté, cette beauté qu'sa propre mère possède, celle des mères d'famille riche, qu'rien semblerait pouvoir atteindre. Et ils ont l'air heureux tous les deux, si c'n'est pour c'regard bleu qu'a l'air teinté d'morne, vivant d'être avec son fils, une expression qu'il a jamais vu sur les traits d'son propre parent féminin mais qui là semble redonner d'la vie à la femme qui l'observe à travers l'papier plastifié. “Prêt à manger les meilleures bruschetta de ta vie ?” s'tourne enfin vers l'garçon en lui montrant l'cadre, ignorant totalement sa question.

-- Elle est magnifique ta maman. Elle a le même regard qu'Asher.

En dit pas plus, s'contente de reposer l'cadre, pas du tout là où il était de base afin d'récupérer sa barquette finir tranquille son casse dalle nocturne en marchant tranquillement, faisant l'tour d'la pièce. Pirouette sur lui-même afin d'se rendre ensuite sur la terrasse. “Evidemment, tu fais comme chez toi” aussitôt dit, aussitôt les chaussures qu'sont laissées derrière lui, suivent les chaussettes qu'il dégage à l'aide d'ses orteils dans une danse d'la flemme aigue en maltraitant un peu plus des orteils tout pétés. S'est toujours senti mieux les petons à l'air, peut-être parce qu'ses pieds ont b'soin d'respirer, d'refroidir quand ses blessures chauffent à longueur d'temps. La barquette qui s'finit enfin au milieu d'la terrasse, relève l'nez pour observer un ciel qu'a récupéré un peu d'étoiles mais pas autant qu'il l'aimerait. Et là, sous cette voûte sombre, au milieu d'ces vagues, s'rend enfin compte de c'qui manque. Nouvelle pirouette, revient rapidement en clopinant jusqu'au brun. La barquette qu'est délaissée à côté du sac contenant les provisions, se glisse derrière lui en nouant ses mains sur son torse et s'colle à sa personne, son menton qui s'pose sur son épaule pour observer c'qu'il fait.

-- Parfait.

Murmure qu'fait pas tellement sens quand on s'balade pas dans les méandres d'son esprit tortueux mais lui manquait l'toucher aux sens tous comblés, maintenant qu'c'est réglé, dénoue ses doigts pour les passer sous le sweat et le tshirt afin d'les renouer à même sa peau. Et sans réfléchir, là, glué à l'autre, s'met à fredonner un air, l'même qu'il écoute en boucle ces derniers jours pour la routine qu'il est obligé d'mettre en place pour un spectacle de bienfaisance ou un truc similaire, a pas tout compris quand la prof l'a agrippé par l'oreille pour l'obliger à créer un truc. Pendant qu'sa gorge vibre en suivant les différentes notes, ses lèvres s'déposent dans l'cou qu'il explore sans se demander s'il le gêne ou pas.

@Percy Haynes-Grayson :coeur: :coeur:

ps : la chanson qu'est fredonnée ici


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T’es déjà en train de sortir les essentiels du sac. Un tiroir vertical que tu tires pour attraper une huile d’olive que tu déposes ensuite dans une poêle. T’fais griller les pains ainsi. Puis tu t’retournes sur l'plan de travail. Une planche, un couteau, plusieurs bols pour y insérer les aliments. T’commences par l’ail qu’tu haches le plus finement possible. D’un coup d’doigt l’ail haché qui file dans un premier bol. “Elle est magnifique ta maman. Elle a le même regard qu'Asher.” Un sourire élargi qui tire tes lèvres. Evidemment qu’elle est sublime. La plus belle femme que Dieu a crée. Et puis la ressemblance avec Asher. Ca t’réchauffe qu’il remarque ça, parce que t’as l’impression d’être fou quand tu dis qu’ta famille c’est maman et Ash. Parce que beaucoup comprennent pas qu’on puisse dire famille sans ajouter “de coeur”. Asher qu’est ton jumeau, la moitié de ton cœur, cette lune qui t’permet de te repérer à la moindre nuitée. “Oui. Ces personnes-là sont des Anges” pas comme angéliques dans l’sens de douceur, de gentillesse, non littéralement des Anges tombés du ciel. Ces forces protectrices qui t’permettent de vivre un peu plus simplement. Quoi qu’le brun prend des noirceurs qui lui brûlent les ailes. C’est pas un seau d’eau qu’lui faudrait pour éteindre ce feu qui consume ses crises, c’est davantage, et t’sais pas bien ce qui faudrait comme davantage. Alors t’en dis pas plus, parce que ça t’fait peur ce jumeau qui part, qui sombre. Tu t’retournes pour changer le côté des pains qu’sont en train de chauffer, t’attend qu’elles soient imbibées d’huile avant d’augmenter la cuisson et les rendre croustillantes.

Tes yeux qui glissent sur l’corps qui se déhanche, ses hanches qui roulent comme une danse. Automatisme qu’il doit même plus r’marquer le danseur, parce que toi ça t’saute toujours aux yeux, cette habilité à se mouvoir avec tant d’aisance. Si t’as jamais été bien sensible à l’art, tu découvres une appréciation particulière en le voyant effectuer de telles pirouettes.
Pendant que tu reprends une découpe en cubes fins des tomates, tu sens sa chaleur t’attraper. Tes épaules qui s’affaissent directement, gagnent en légèreté. Sa taille qui lui permet de poser son menton sur ton épaule, et son parfait qui glisse à tes oreilles. “T’as encore faim ?” que tu demandes dans un rire léger, faisant le constat d'une barquette de 250 grammes d'fraises ingurgitées dans l'bide du garçon. Puis tes doigts fins qui reprennent le travail. Les tomates qui viennent compléter le bol. Et ses doigts qu’viennent compléter ton bien-être. Tu l’sens là, sur tes abdos, et tu cales alors un peu ton crâne sur l’sien, t’prend appui pour le ressentir davantage. Ces lèvres qui viennent s’ajouter à ce toucher agréable. Tu décales ta tête à droite pour lui laisser davantage de place. Tu t’empêches quelques secondes à ne pas te baisser pour profiter de ces baisers papillons. Puis t’vas enfin chercher un pot de concassage pour t’occuper des pistaches qu’tu laisses détruites à l’intérieur. D’une main tu maintiens Alastor près de toi, le forçant à te suivre quand tu dois te déplacer de la cuisine pour déposer tes pains grillés sur une planche. T’profites pour prendre du sel et de l’origan, espérant qu’il n’en soit pas allergique. Enfin tu déposes le mélange tomates, ail et herbes sur tes tranches avant d’y ajouter une moitié de burrata sur chaque. Du doigt tu viens récupérer le coulant du fromage pour le faire lécher à ton partenaire. “T’as vu comme c’est fondant ?” Tu t’souviens des salades de pêches burrata que tu te faisais à longueur de journée l’été dernier, et t’dis qu’il faudrait que tu recommences. Sur deux tartines tu viens déposer un filet d’miel et des pistaches. Les deux autres sont encore vides de l’aliment du mexicain. T’prends les piments verts et tu demandes “J’les coupe comment ?” En suivant ses indications tu prends soin des piments qu’ressemblent plus à des poivrons pour l’instant. Te font pas vraiment peur tant qu’ils sont éloignés d’toi. Lorsque les bruschettas sont finalisées tu tends un sourire fier à ton invité. “Tadaaaaa ! Maintenant à table” Un baiser qu’tu déposes sur son front “va falloir que tu portes les bouteilles Al” pour l’inciter à te décrocher un peu, ne serait-ce au moins d’un bras. “Après si jamais y’a de l’eau, j’ai vu y’avait aussi du thé, si tu veux pas qu’on goûte tes bières à la tête de cochon” parce que les heures sont comptées avant le départ pour l’université d’main, et tu voudrais pas l’inciter à boire si son souhait c’est un sommeil profond.

Vous vous déplacez jusqu’à l’extérieur. Ton corps qui s’pose lourdement sur l’canapé près d’une des tables. Les rallonges peuvent les réunir permettant de rassembler plusieurs personnes autour d’une même table mais là, vous profitez juste d’une des parties, les corps tournés vers les vagues. Les verres qu’sont remplis de liquide, les assiettes garnies, lui. Tout est là. Alors tu fais trinquer ton verre au sien dans une voix douce “A ces retrouvailles” t’insistes pas trop sur le “après 8 jours” parce que tu voudrais pas venir à nouveau affoler le belge de ton absence. Les bruschetta qu’viennent se faire dévorer et te lâchant des gémissements d’plaisir culinaire. Pas peu fier de ta cuisine. Des doigts qui viennent se plier dans un signe italien à la Pio. Ton geste qui souligne l'plaisir que tu prends à manger. Impatient d’lui demander son avis, la bouche pleine que tu te dépêches de vider. “Bon, comment tu trouves ?” T’oses pas encore dévorer la deuxième, craignant une explosion d’saveurs auquel ton palet n’a jamais été prêt. Les yeux qui s’rivent sur celles dotée des piments. “J’devrais aller chercher du lait ?” qu’tu te demandes, l'regard inquiet. Ou du miel, ou du pain ? Bref d’tout aliment qui pourrait t’aider à faire face à ce qui attend ta bouche. Et avant qu’elle soit attaquée par les épices, t’vas en chercher une autre, l’seul piment que t’apprécies jusqu’à là : Alastor. Ta langue au goût de burratta et d'miel qu’va chercher la sienne. Ta main qui n’peut s’empêcher de glisser sur sa nuque pour le rapprocher davantage. Tu t’noies tellement entres ses lèvres que t’as du mal à r'prendre ton souffle quand tu t’éloignes. Mais t’avais c’besoin, d’le retrouver, à nouveau si près, et d’lui témoigner ton bonheur d’être ici à ses côtés.

@Alastor Van Der Budenn :eye:

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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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T’as encore faim ?” mord doucement la peau qu'lui est tendu à ces mots avec un rire qu'brise un peu l'rythme d'sa chansonnette. Prend même pas l'temps d'répondre plus qu'ce mouvement parce que l'brun il continu à cuisiner et ça sent bon, pas assez épicé mais les tomates qu'lui lancent des œillades dans leurs rougeurs parfaites. Nouveau rire enfantin quand l'partenaire l'emmène avec lui dans une valse incorrecte afin d'rester attaché en continuant à cuisiner. S'demande même pas s'il le gêne parce que y en a pas b'soin, les corps qu'parlent pour eux, sa prise sur la sienne qui s'mélangent et ne les laisse pas partir. Un test qui lui est bientôt présenté et qu'il renifle d'abord doucement, toujours dans sa sale habitude avant d'le récupérer du bout des lèvres, parce que l'odeur avait pas l'air concluante mais finalement ça coule bien sur ses papilles, a pas trop d'goût alors ça l'dégoûte pas. “T’as vu comme c’est fondant ?

-- J'aime bien la texture!

En aurait bien voler un autre morceau mais elles sont bien trop rapidement recouvertes de deux autres ingrédients qui lui font plisser l'nez, pas certain du mélange. Chiant l'énergumène quand faut tester d'nouvelles choses avec trop d'produits d'ssus.

J’les coupe comment ?” Etire finalement ses bras en relâchant un peu sa prise afin d'les poser sur ceux d'Percy et l'amener à couper correctement l'ingrédient dont il n'a pas l'habitude, faisant d'très fines lamelles avant d'venir les saupoudrer sur celles qu'attendent encore leurs décorations, en mettant plus sur celle d'droite qu'de gauche histoire d'pas tuer l'brun. Pas de suite. L'aime bien pour l'moment. Surtout s'il le nourrit comme ça. Sourire échangé quand le tout est terminé. “Tadaaaaa ! Maintenant à table” Manque d'lui mettre un coup d'tête en s'décalant quand il lui dépose un baiser sur l'front. “va falloir que tu portes les bouteilles Al” grommelle d'devoir faire quelque chose mais finit par s'détacher entièrement afin d'le laisser porter correctement les assiettes tout en se dirigeant vers les sacs qu'contiennent plus grand chose maintenant. “Après si jamais y’a de l’eau, j’ai vu y’avait aussi du thé, si tu veux pas qu’on goûte tes bières à la tête de cochon” tire une grimace à l'entente d'son thé, secoue vivement la tête en récupérant les deux bières qu'il vient poser sur la table extérieur où Percy a déjà prit place.

S'rappelle d'être galant en voyant les verres qu'sont sortis et les remplis, n'est que trop content d'lui quand ça pousse l'partenaire à trinquer à eux “A ces retrouvailles
-- Après 8 longs jours!

Inconscient du dilemme qu'a secoué l'brun au même moment, s'marre en prenant une gorgée d'sa bière bas d'gamme.
L'garçon qui s'met à dévorer l'repas mais l'belge qu'mets un peu plus de temps, observe la première avec la garniture de l'autre, s'approche, renifle du bout du nez, plisse les yeux, attrape enfin ce qui est finalement une tartine fancy et croque dedans parce que vu l'bruit qu'émet l'Percy ça doit vraiment pas être mauvais.
Bon, comment tu trouves ?
Tourne un visage un peu grimaçant vers le chef, tente un sourire crispé en avalant difficilement la bouchée. Zieute les yeux gris puis la tartine, puis les yeux gris puis tire un peu la langue.

-- J'aime pas l'croquant.

Saurait pas trop plus décrire qu'ça, alors s'met en quête d'retirer chaque morceaux d'pistache concassé, galère un peu parce que y en a qu'sont petits mais s'applique à la tâche parce qu'on lui a cuisiné un joli plat et il voudrait pas être désobligeant et qu'en sommes c'pas mauvais mais l'croquant qu'passe vraiment pas et donne un arrière goût qui lui rappe la langue.

J’devrais aller chercher du lait ?
Interrompu dans son bannissement d'pistache, s'tourne dans un regard interrogateur. D'quoi il cause lui? Mais a pas vraiment l'temps d'demander quoique ce soit qu'un baiser s'dépose sur ses lèvres, lui vole ses mots dans une tornade d'miel, d'Percy et d'fromage coulant, l'force à se rapprocher d'une pression sur la nuque qu'fait apparaître sur sa peau des frissons qu'ont pas oublié l'malmenage d'puis ce début d'nuit, d'matinée? A les joues roses et l'regard un peu dans l'vide quand ils se séparent, a vraiment pas tout suivi aux évènements mais l'est heureux alors ose rien dire d'peur de briser l'moment, s'remet à trier sa nourriture jusqu'à ce qu'enfin il n'y ait plus AUCUN morceaux, et quasi plus de miel au passage. Récupère à nouveau la tartine et mord dedans, mâche, avale, hausse les épaules.

-- C'pas très goûtu?

Comme un con qui vient d'enlever l'agrémentation du plat. Repose à nouveau la tartine en poussant l'assiette pour récupérer celle avec les piments, l'observe, renifle à nouveau, mord dedans et... Gémissement d'plaisir qui s'échappe enfin, hoche vigoureusement la tête avec les yeux pétillants d'intérêt.

-- C'super bon!!

Puis dans un éclair d'génie, s'lève afin d'aller chercher une nouvelle barquette de fraise et du miel, verse le miel avec le piment et prend une nouvelle bouchée, s'émerveille du sucrée qui brise le piquant et dansent ensemble un foxtrot sur sa langue. Gigote d'bonheur comme un gamin en lui tendant l'miel.

-- C'est super avec du miel! Tu d'vrais ATTEND!

S'interromps lui-même dans son cheminement pour voler l'assiette du brun et s'met maintenant à trier sa nourriture, retire quelques morceaux d'piment jusqu'à ce qu'il n'y en est plus que la moitié, lui rend après son travail fastidieux avec la bouteille de miel.

-- L'est pas si léger qu'ça donc vaut mieux qu'tu rajoute si jamais c'pas assez.. Plutôt qu'tu crève parce que y en a trop!

Et tout fier d'lui, dépose un baiser heureux sur les lèvres du partenaire. Reprend une gorgée d'bière et finit sa bruschetta au piment et au miel rapidement après ça. Finit même par tenter d'faire le même signe que l'autre en rapprochant ses doigts et les secouant maladroitement dans l'air. A d'jà été en italie mais s'souvient pas d'ce mouvement, en r'connaît même pas l'origine à vrai dire.

-- Bien. C'est décidé, j'vous épouse! Maintenant la fade...

Plusieurs pensées en même temps qui s'enchaînent, se penche sur la première assiette qu'il a délaissée et pioche deux fraises pour les écraser sur le fromage, revole le miel afin d'en rajouter et reprend sa dégustation. Les yeux qui s'écarquillent, a trouvé l'amour de sa vie, véritable coup d'foudre, observe la tartine remaniée avec toute la passion qu'il porte en lui.

-- J'retire ce que j'ai dis... J'l'épouse elle...

@Percy Haynes-Grayson :love: :love:


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La texture, oui c’bien tout l’intérêt de la burrata. Elle vient apporter une sensation d’fraîcheur et de fondant en bouche. On l’a choisi rarement pour sa plus-value sensorielle. Quant aux piments, t’vois pas bien encore l’intérêt. T’laisses faire à ses gestes qui t’indiquent une coupe fine, l’odeur qui commence à glisser sous ton nez qui se tord. T’pas certain de vouloir bien dans ton estomac, mais l’coeur qui veut découvrir les plaisirs culinaires du garçon. Premier pas en sa direction, d’t’ouvrir à son monde.
La grimace aux lèvres à l’écouter trinquer, t’doutais des mots qu’allaient suivre, mais la grimace s’accentue au goût d’la boisson. Les bulles qui frétillent mal sous la langue, tu lâches un étouffement. L’cochon tu vas lui laisser à l’avenir. En fait, t’sais même pas pourquoi tu l’as laissé en boire deux car tu n’aimes pas spécialement les bières. T’peux te prendre parfois des IPA, mais tu préféreras toujours l’option cocktail ou vin. Tu lui lances malgré tout un sourire mi-désolé de déprécier l’goût, et mi-hilare d’te forcer à continuer d’boire. Et l’rire qui se poursuit en le regardant apprivoiser la nourriture qui l’a sous les yeux. Animal sauvage qu’semble pas avoir confiance dans ce qu’on lui a mit dans l’plat. Tu fronces gentillement des sourcils, intrigué d’ses réactions. Tu t’offusques allègrement à son attitude. D’jà parce que “T’aimes jamais les pistaches?” et qu’tu peux pas accepter qu’il ne puisse aimer cet ajout qui fait toute la différence, mais surtout parce que ça t’fait marrer qu’il se mette à retirer chaque grin vert d’la tartine. T’apprécies l’gâchis d’éviter, récupérant d’une main gourmande les pistaches concassées que t’avales. T’mets à émettre des cris de désespoir quand il te dit que c'pas très goûtu, tu te retiens de dire qu’le but c’était pas de se faire un repas vu l’heure, et qu’il n’allait pas se rincer la panse en enlevant la moitié des ingrédients. Le visage qui se secoue de gauche à droite pour refuser l’évidence d’un Al pas très réceptif à ta tartine préférée, t’émets des sons de claquement d’langue contre les dents pour augmenter l’émotion dramatique. Jusqu’à ce qu’enfin, t’l’entendes émettre un son un peu plus joyeux. T’lèves un sourcil circonspect, parce que t’es pas bien sûr qu’il dise vrai. Surtout quand tu l’vois débarquer avec d’autres aliments. L’rajout du miel qui semblerait créer une explosion d’saveurs chez le belge. Ses doigts viennent à nouveau triturer l’poux de l’assiette, ne laissant qu’une moité d’piments. Tu te sens un peu rassuré dans l’action, parce qu’il se met à ta place, le white american qu’a jamais développé autre chose comme épice que le pepper. “L'est pas si léger qu'ça donc vaut mieux qu'tu rajoute si jamais c'pas assez.. Plutôt qu'tu crève parce que y en a trop!” léger rire, tu réceptionnes la fameuse assiette allégée. “... Merci ?” s’rait mieux de pas mourir, ici sur le yacht du père en pleine effraction, mourrait une deuxième fois s’il te surprenait ici, comprenant directement la raison d’la présence du garçon. Tes pensées s’épiloguent pas longtemps sur l’idée d’un père qui n’a d’intérêt pour toi qu’la lignée biologique à compléter. L’baiser qui conclut l’appréciation du garçon à sa propre création “Bien. C'est décidé, j'vous épouse! Maintenant la fade…” t’as pas l’temps de t’exprimer que tu le vois mélanger des aliments incongrus sur la fameuse tartine. Des fraises ? Encore ? Tu lui lances un regard désespéré en t’demandant où est-ce qu’il ne met pas d’fraises dans sa vie. “J'retire ce que j'ai dis... J'l'épouse elle…” Tu lui donnes un coup d’pied taquin à sa cuisse, en profitant pour t’éloigner d’lui. Faussement boudeur tu réponds un “J’te ferai plus jamais à manger. A part l’pain… t’aimes … pas ?” parce que finalement, c’bien le piment et les fraises qu’font le bonheur du garçon, c’est-à-dire ses aliments d’base. Quoi qu’il y a bien le miel et l’fromage, mais tu n’retiens que ce qui te plaît pour afficher ta frustration. Tu profites qu’il ait fini d’jouer avec la nourriture pour se satisfaire afin de goûter la deuxième et dernière tartine. Première bouchée qui semble bien s’passer. T’rends compte que tu n’as pas mangé un seul piment. La deuxième qui en comporte trois. Les yeux qui s’prennent directement, t’marmonnes des mots incompréhensibles, vidant la moitié d’la bière alors que t’as encore le morceau dans la bouche. T’arrives même pas à afficher un sourire rassurant parce que tu considères la tartine uniquement comme ton ennemi. Dans une folie tu t’mets à la manger avec rapidité, d’dire que le plus vite ingurgité, le mieux tu t’en sortiras. Mais ça provoque juste des hauts l’cœur. Les jambes qui déguerpissent de la banquette pour aller contre la rambarde. Tu tousses la bouche ouverte face à l’océan comme si t’allais sortir tous tes tripes. Rien n’sort parce que n’empêche ça reste bien accroché, les piments qui continuent d’se faire une place dans l’organisme. T’oses pas trop regarder immédiatement Al. C’est seulement lorsqu’enfin la scène se termine que tu croises son regard en venant vider cette fois-ci l’verre de bière. Soif développée par ces corps étrangers. “T’m’as dis c’est les plus doux ?” tu demandes, comme pour afficher encore plus ta défaite face à ce qui semble être des chips pour le palet d’Alastor. “J’crois va falloir que tu reviennes souvent, j’vais pas m’y habituer tout seul” proposition qui flotte en l’air. L’incertitude face à ce qu’il va advenir de vous, quand bien même les retrouvailles semblent acter un désir ardent d’ne faire qu’un.



@Alastor Van Der Budenn :shh:





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T’aimes jamais les pistaches?” S'tourne vers le brun un court instant, s'interrompant dans son travail fastidieux pour réfléchir, loucherait presque quand ça crame un p'tit peu là-haut pour finalement hausser les épaules.

-- J'en ai d'jà mangé et... c'tait sympa? Mais là avec la texture... Et l'arrière goût avec l'miel.. J'sais pas... J'aime pas?

Et r'prends sa chausse aux pistaches. N'décale sa main qu'pour laisser Percy récupérer les p'tits morceaux afin d'les avaler, s'sent bien d'savoir qu'le garçon fait pas dans l'gâchis, joue pas au faussement dégoûté d'devoir piocher dans un plat qu'est pas l'sien. C'tout con mais il l'note parce que son papito s'ra content d'cette information très certainement.

L'coup dans la cuisse qui l'fait glousser, lui envoi un clin d'oeil en continuant à s'régaler d'sa propre création finalement. Mais les prochaines paroles qui l'blessent un peu, parce qu'c'est quelque chose qu'lui colle au train et qu'il aime pas forcément partager. S'racle la gorge, pose l'petit bout d'tartine qui reste pour se tordre un peu les doigts avant d'le reprendre et l'avaler tout rond, s'serait décidé à pas répondre à la question mais y a un truc qui l'brûle à cette idée. D'pas faire confiance au brun ça r'vient à n'avoir aucune raison d'être assit ici avec lui.

-- J'ai pas dis qu'j'aimais pas... Mais.. J'comprends.

S'ravise en plein milieu d'une tentative d'explication, murmure ses mots parce qu'au final il veut pas les exposer, s'contente d'finir son verre d'bière pour se reverser un nouveau en finissant la canette d'cette manière.
Perdu dans l'liquide mousseux, s'rend pas compte qu'à côté, s'est mit à bouffer l'piment, qu'il s'étouffe presque d'la deuxième bouchée, quand enfin la toux s'inscrit à son oreille, s'tourne vers l'partenaire allègrement en train d'engloutir la chose, les yeux écarquillés, s'met à genoux sur la banquette pour le stopper mais l'mal est déjà fait.

-- Pourquoi t'as englouti ça comme ça?!

Inquiet s'colle à son dos quand l'garçon se tourne pour mourir face à l'océan, lui caresse les cheveux incapable d'savoir s'il va vomir ses trippes bientôt ou s'il va réussir à digérer la nourriture. Puis ça semble finalement s'calmer, des yeux rouges qui s'tournent dans les verts et la panique qui d'vient hilarité. “T’m’as dis c’est les plus doux ?” S'met à rire un peu fort en oubliant sa propre honte, un talent qu'semble posséder l'Percy, le relâche finalement pour se plier un peu face au fou rire qui l'secoue, incapable d'répondre que oui effectivement, considérerait même pas ça comme du piment. “J’crois va falloir que tu reviennes souvent, j’vais pas m’y habituer tout seul” tente d'se calmer un peu, r'lève la tête, les yeux tout aussi rouge pour différente raison, r'nifle à deux doigts d'chialer d'rire et hoche la tête en l'vant la main pour pat pat la tête d'l'américain.

-- Y a d'autres moyens d'me faire rev'nir tu sais?

Mais il arrive pas à s'arrêter d'se marrer, r'pense au visage crispé qu'a avalé la tartine comme un homme condamné à mort, repart dans une crise même quand un r'gard chaud s'pose sur lui, arrive pas à capter l'changement d'ambiance que tente d'instaurer l'autre.
Maintenant que t’as été nourri

-- Hein?

S'tourne vers lui, les yeux pleins d'larmes, l'visage rouge et les épaules qu'rencontrent sa mâchoire dans des hoquets hilares. “Tu te souviens de ce que je t’ai dis ?

-- Hein??


@Percy Haynes-Grayson :flic: :flic:


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TW : propos à caractère sexuel (again sorry)

Tu reçois la critique culinaire par un hochement de tête approbateur, tu peux concevoir que le mélange pistache miel ne se marie pas pour certains. T’as l’impression, toi, au contraire qu’les deux sont la recette magique de la friandise la plus succulente. T'es déjà content qu’il ait tenté de manger la tartine complète, malgré les ajouts et retraits, rendant la tête d’la tartine toute autre. T’enchaînes rapidement à la suite de paroles inachevées du garçon “Mais ?” attendant la fin de la phrase, du genre celle qu’il finit toujours, le rôle qui te revient davantage de n'pas aller au bout d’tes idées. L’garçon en face qu’a plus tendance à se résoudre de parler plutôt que l'ouvrir et laisser le partenaire en suspens.
Les réactions qui ne sont pas assez rapides, la gorge qu’a déjà ingurgité tout ce qu’elle pouvait prendre. Tu pensais que la burrata aiderait à masquer le goût des piments ; que sentir sa texture le long de ta trachée pourrait alléger la sensation du piquant. Légèreté que tu retrouves nul part parce que t’es juste là contre la rambarde à essayer d’cracher tout ton corps. Le ventre qu’est déjà là à vouloir récupérer la nourriture plutôt qu’à la faire ressortir. Tu n'sens pas trop la main qui vient caresser les cheveux, trop concentré sur les sensations désagréables des organes qu’viennent te pincer de toutes parts. La cervelle qui chauffe bien trop fort et t’empêche d’penser à une image plus agréable. Quand t’arrives enfin à te retourner, de longues minutes plus tard, les yeux rouges et humides, tu remarques un Alastor hilare. Tu captes pas trop, les paupières que t’essayes d’ouvrir un peu plus fortement pour l’écouter. Mais y’a que son rire qui sort de sa bouche, qui semble augmenter à mesure que la tienne parle. T’aimerai bien rire toi aussi, mais t’as la moue juste désavouée. La mine déçue de ne pas avoir pu avaler convenablement le premier test. Tu te sens un peu minable, là, incapable de montrer que t’en as sous le gosier. Ses paroles qui auraient pu te rassurer si elles ne résonnaient pas à nouveau dans ce fou rire incontrôlé qui te laisse toujours de marbre. L’gamin qu’a l’impression qu’on s’moque, et qu’peut même pas rire d’lui même parce qu’il comprend pas l’absurdité de la situation.



@Alastor Van Der Budenn :mous:





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* I Wanna Be Yours, Arctic Monkeys





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Alastor Van Der Budenn
Alastor Van Der Budenn
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FACECLAIM : Lando Norris
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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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(#) satellite (al & percy) EmptyHier à 21:31


Don't you know that I am right here?
Spinnin' out, waitin' for ya to pull me in
( alastor & percy )
3

TW : propos à caractère sexuel



@Percy Haynes-Grayson  :wou: :wou:


You get angry at all of my honesty, you know I try, but I don't do too well with apologies.



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