BACK IN WYNWOOD
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Tout le monde connaît cette ville de Floride qu’est Miami. Ville qu’on nomme aussi Magic city, elle est également synonyme de plages, de sable doré, de luxe. Dans cette ville, mais surtout à Wynwood, quartier atypique de Miami, vous pouvez être qui vous souhaitez être. Vivez au gré de vos envies, de vos croyances, vos idéologies ou encore ce qui vous anime et surtout, apprenez à le faire en communauté. D’autres personnes, des alter ego ? Une chose en commun, peut-être deux, ou plus. Des communautés bien distinctes, qui peuvent amener des conflits, de la concurrence. Des communautés qui s’affrontent pour en arborer leurs couleurs. Le plus important ? Ne pas oublier ce qu’il y a à côté : les fêtes, l’amitié, l’amour… les secrets ? Surtout LES SECRETS. Tout le monde cache des secrets, nous le savons. Qui n’a jamais pêché au point d’en avoir honte ? Personne. Et vous, vous osez vivre votre vie pleinement avec ce petit secret bien gardé. Faites cependant bien attention, parce que dans les rues des différents quartiers de Miami se cachent des personnes mal attentionnées voulant à tout prix faire de votre vie un fléau. Vous faire revivre vos plus grandes craintes, peurs ou encore raviver vos souvenirs les plus douloureux, et tout ça à l’aide de simples lettres, de réseaux sociaux, de textos et bien d’autres supports encore. Alors, le jeu en vaut-il la chandelle ? Il paraît que la vie est un jeu, mais heureusement tout le monde triche un jour … Que le jeu commence !
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Back in Wynwood est un forum city/university, vous avez donc le choix de créer un étudiant ou un citoyen. Que ce soit l’un ou l’autre, vous avez également autant d’occasion de vous y intégrer, puisqu’un concept de club est présent pour les citoyens et étudiants, et un système de confrérie pour les étudiants. Chaque confrérie possède un chef, chaque club possède un président. Des activités sont prévues, des missions, et surtout des rebondissements qui mettront vos secrets en péril. Il va donc falloir jouer le jeu, mais surtout réfléchir à un secret bien difficile à trouver. Ce forum se veut sans prise de tête, agréable et relativement light au niveau des contraintes. Nous respectons tous ces débats sur les origines des différents fc, mais nous avons fait le choix de ne pas obliger nos membres à respecter de manière stricte les origines de leur avatar.

rpg city/university réel - 1 rp par mois au minimum - 250 mots demandés - les initiales dans les pseudos sont autorisées - 10 jours pour terminer sa fiche - système de points mis en place - système de confréries et de communautés pour les citoyens - Chasse aux secrets.
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 Ne laisse pas ton odeur imprégné mes draps

#Membre #Miami
Alastor Van Der Budenn
Alastor Van Der Budenn
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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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(#) Ne laisse pas ton odeur imprégné mes draps Empty18.04.24 22:13

TW: mention de drogue, langage grossier, évanouissement



Ne laisse pas ton odeur imprégné mes draps

[ s o u n d t r a c k ]


Y a tout qui tourne un moment, une voix dans son oreille, un souffle sur ses cheveux, l'sable qui semble bien trop hargneux contre sa voute plantaire, et d'puis quand il est pieds nus même? Tente d'respirer pour pas céder à la panique, connaît qu'trop bien les sensations mais l'alliée d'toujours qu'est perdue quelque part, sa moitié qu'lui manque plus que cruellement en cet instant alors que quelqu'un continu d'lui causer, sait plus qui c'est, sait plus s'il le connaît ou si c'est un inconnu. Une inconnue? R'connaît même pas les syllabes qui s'décrochent, l'coeur assourdissant contre ses tympans. Puis y a une caresse l'long d'sa colonne qui l'surprend, une douceur qui l'fait tourner l'visage, y a qu'des yeux gris qui s'enregistrent alors qu'la caresse s'en va bien trop rapidement, veut s'y appuyer, s'y ancrer, juste l'temps qu'ça passe. L'monde s'transforme en nuée d'coton alors qu'il avance difficilement, tangue un peu, s'reprend dans un sourire quand y a un "ça va?" qui lui parvient, sort un truc débile, probablement, parce qu'ça éclate de rire et il peut r'prendre sa route tranquillement. Persuadé qu'il suivait un truc, s'souvient plus, s'force à respirer sans r'connaître qu'il l'a déjà fais, connaît trop bien les sensations, encore, l'sable qu'est... i've thought about that already right? ... fuck, fuck Sait même plus où il va, l'sol qui se dérobe, s'rattrape contre un palmier sauveur, les yeux qu'répondent plus, suit un bout d'tissu avec sa main, cligne des yeux, retrouve la vue fuck, fuck, fuckity fuck. S'laisse choir dans c'qu'il devine pas être un hamac, tourne l'visage, deux lumières grises qui l'observent, r'ssemblent à des feu follets tiens, ricane doucement, ça d'vient flou à mesure qu'sa respiration d'vient plus lente mais les deux lumières elles semblent danser dans les nuages, ça touche quelques neurones mais ça peut plus rien faire, l'toucher qui répond plus, l'odorat qui s'fait la mal dans une dernière inspiration d'bonne weed qui l'détend, une voix qui casse la vase mais oublie immédiatement, répond par automatisme en fermant les yeux, tired..

-- J'vais juste reboot, un instant... pas longtemps.

La conscience qui s'fait la malle dans une cabriole artistique, laisse son corps s'affaisser dans l'unique pensée qu'la jumelle est pas là pour l'protéger, voudrait s'accrocher à c'souvenir, murmure peut-être un "Alondra" à voix haute qui s'perdra dans l'néant, ira danser avec les lumières grises tiens. Dans son temps distordu, fait rien d'plus qu'cligner des yeux, comprend quelque chose va pas parce qu'les derniers souvenirs sont vagues, pire qu'sous LSD après 5 heures d'trip, plisse l'nez, émet un son contrarié, s'attend à r'trouver sa jumelle près d'lui comme toujours, mais l'est pas là, capte pas d'suite où il s'trouve ni c'qu'il s'passe, fronce les sourcils décontenancé, apprécie jamais bien la situation l'animal, les membres qui s'réveillent doucement, avec plus d'mal que la conscience, capte enfin les sons quand ça pop dans ses tympans, puis l'odeur r'vient en troisième, douce odeur d'mère nature qui l'berce un instant, prendrait bien une taff mais sait d'jà pas bien où il s'trouve en plus d'ça à la gorge qui imite du papier d'verre, la langue trop sèche pour être agréable contre son palais. Gigote difficilement toujours sans pouvoir capter où son corps s'trouve, apprécie pas la sensation d'voler qui s'fait doucement connaître, crétin qu'fait pas le rapport avec l'hamac.

-- Boire.

Qu'il commande à son esprit, peu d'prestance dans les cordes vocales qui vibrent sans harmonie, rappel quand il a commencé à muer, l'grave et l'aigue qui s'mélangent dans une étreinte. forbidden lovers
KoalaVolant

@Percy Haynes-Grayson cm


#Membre #Miami
Percy Haynes-Grayson
Percy Haynes-Grayson
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ÂGE : 23 ans (23/11/2000)
OCCUPATION : cursus : financial markets & investments + commerce international (6th, dernière année master) + investisseur crypto (simflouz $$)
STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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ne laisse pas ton odeur
imprégné mes draps
( alastor & percy )
2


TW : usage de drogues / références religieuses, préceptes


T’avais envie d’être à la hauteur du pari. D’être présent pour un Asher qui comptait sur la seule chose pour laquelle tu es doué : transporter l’autre dans une sphère irréelle, bercé par les louanges de l’alcool. T’avais promis d’être un divertissement permanent lui permettant de s’accrocher à une bulle fictive. Mais cette promesse n’avait plus aucune valeur lorsque ton cœur manqua un battement. Des jours que tu ne savais plus ce qu’est un sommeil salvateur. Des jours que tu essayais de prier. Des jours où tu essayais de l’oublier. Vivre avec qu’on t’avait dit de faire. Ou un autre qui t’incitait à exploiter tes émotions. Un dernier qui te proposait de plonger dans les bras d’une parmi tant d’autres. Tu ne trouvas réconfort dans aucun de ces conseils. Tu t’acharnais à un songe. Mais en effet ton cœur manqua un battement. Incertain face à ce qui se multiplia. Plus d’émotions qu’en vingt-trois ans d’existence. La surprise de le revoir, si rapidement. La foudre de l’aimer, lui et son extravagance. L’inquiétude de sa réaction. La gêne de cette proximité amicale avec les autres. Puis la jalousie enfin, qui galvanisa cette ivresse sentimentale. Ta mâchoire qui parlait davantage que tu n’aurais souhaité. Témoin des paroles charmeuses d’un homme qui devenait plus qu’un inconnu. L’agacement de ne pas être le réceptacle de son attention. T’étais bien resté quelques instants, à attendre que la situation évolue. T’espérais un peu, un regard plus prononcé de sa part.

T’aurais pu en rester là. Mais après tout ? Souhaites-tu passer une nouvelle semaine à prier, courir sans force, draguer sans conviction ? En le sachant désormais tout près ? Comprendre que lorsqu’on te parle d’Al, c’est lui. Incapable de supporter cette distance. Sûrement qu’en cet instant, tu comprends davantage ce verset.
My God strengthens me and helps me (Isaiah 41:10)
Ta main, qui dans un geste timide se lève. Ton visage qui tourne en sa direction. T’essayes de capter son regard. Tes doigts viennent à son contact, d’abord légèrement. Un tapotement au rythme de la musique. Puis ta main qui se cale plus fermement au bas de son dos. Me reconnais-tu ? Que tes yeux implorent. Et c’est cet acte qui confirme tout. S’il ne répond pas, alors tu l’oublieras. Il ne sera qu’une expérience. Un fantasme insaisissable. Et s’il répond. Il sera une évidence. Une magie perceptible. Un sourire léger puis un coup de tête l’incitant à te suivre.

Ton corps se fond dans un hamac au hasard. Les yeux clos un moment. Les minutes s’écoulent, affolant l’enfant en toi. Pour apaiser cette impatience, ton corps cherche frénétiquement un allié. Un sac que tu ouvres rapidement, grinder, feuilles, carton furtivement arraché. Tu émiettes. Tu roules. Tu lèches. Tu brûles. Et enfin. Le goût qui se propage. La sensation est toujours quasiment immédiate. Tes muscles te lâchent pour ne garder qu’une faible douleur en haut de ta colonne. Davantage dû à la position qu’à ce que tu fumes. Ton esprit qui se brouille un peu, acceptant les sensations. Lorsque tu lèves le visage, l’espoir ne faiblit pas, tu l’aperçois rapidement. Et t’as sous-estimé. Tu ne vois plus la même énergie, ces ondes illuminées que t’as connues quelques heures plus tôt. Ton corps se soulève rapidement, laissant tomber le joint sur le sol. Tu profites qu’il s’appuie à un palmier pour prendre sa main. Passant derrière lui, l’incitant à rejoindre le hamac que t’as accaparé. Son corps qui ne se fait pas prier. Un léger rire s’échappe de tes lèvres. L’homme si assuré qui t'impressionne tombe dans tes bras. Ce tourment qui a du mal à aligner deux pas. Loin de l’artiste au lever battu. Ses boucles tombent sur son front, fatiguées elles aussi. Et tu t’plais à constater cet homme si las. “J'vais juste reboot, un instant... pas longtemps.Tout le temps qu’il te faudra. Que t’aimerais lui dire. Et tu l’observes partir. T’espères dans les bras de Morphée. Ton cône que tu glisses à nouveau entre tes lèvres, pour toi aussi, davantage t’éloigner de cette assourdissante soirée. Ta main, à nouveau, qui ose s’approcher de lui. Si vos jambes allongées se touchent, il semblerait que ce contact ne soit pas suffisant. Tu profites, sûrement abusivement, de cette fragilité en face de toi, pour oser. Tes doigts qui caressent l’avant de son mollet. Tu dessines divers symboles en ne le lâchant pas des yeux. Tu aurais pu tout imaginer, sauf cette retrouvaille. Ton esprit qui ne s’affole même pas, même plus. Et alors que tu t'apprêtes à regarder ton portable pour vérifier qu’Asher ne t’ait envoyé aucun message, tu l’entends. ”Boire.” Le hamac se secoue, un peu trop subitement, parce que ton bras va chercher dans une urgence l’immense verre d’eau que t’avais commandé avant de partir. Mauvais joueur d’alcool, t’avais lâché ton partenaire de soirée pour continuer à un liquide plus pur. Tu tends le verre à celui dont aujourd’hui tu mets un nom, ou plutôt un surnom. Al. Tu souris à cette onomatopée. T’es persuadé avoir déjà entendu son nom complet, une fois. Mais alors que tu fais une liste, rien ne vient à ta mémoire. Alix, Alessandro. Tu secoues la tête. Alvin ? Alec ? Tu grimaces. Plus simple serait de lui demander. Mais lorsque tu croises son regard, tu ne tombes que sur des yeux tendres, un peu bercés. Ta main ne quitte pas sa cheville, dont le pouce est toujours en train de caresser le tissu. “Ça va mieux ?” C’est seulement quand tu commences à parler qu’une inquiétude monte à nouveau. En réalité, incapable d’ouvrir la bouche pour exprimer une idée censée. Pas très bon pour le small talk. Encore moins pour briser la glace. Toujours persuadé, qu’il a tout oublié de vous. “Tu veux que je te ramène chez toi ?” Sûrement pas l’plus clean. Jamais en réalité. Le sang bercé par diverses addictions. Mais c’est certainement la seule chose que t’es capable de lui proposer, qui conviendrait au mieux à son état présent. Et sans le rassurer, tu tires une nouvelle taffe à ce joint qui se termine bien doucement. Tu craches la fumée en tournant le visage. Par crainte qu’il ne supporte pas l’odeur, la sensation dans la gorge, dans les yeux. Puis quand tu redresses ton regard vers lui, tu ne te rends pas compte, mais tu souris. Oh, que tu souris bêtement.

@Alastor Van Der Budenn :mign: :mign:


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TW: usage de drogue, langage grossier



Ne laisse pas ton odeur imprégné mes draps

[ s o u n d t r a c k ]


Il retrouve l'touché bien rapidement et un peu trop violemment, y a l'tissu sur lequel il est posé qui s'affaisse d'un côté, l'fait glisser pour s'coller un peu plus contre un corps à l'odeur d'un parfum haut d'gamme qui lui agresse les naseaux un instant, bien vite pardonné lorsqu'un verre rempli du saint liquide lui est offert. Le récupère un peu mollement mais avec grande envie, se stoppe néanmoins avant qu'ses lèvres ne touchent le rebord du gobelet, s'force à jeter un r'gard sur l'inconnu qui révèle des iris reconnaissables, même si elles ne dansent plus comme des petites créatures mythiques, l'reconditionné en qui il peut avoir confiance sur son Ash l'apprécie. Rejette alors la tête en arrière pour vider l'contenu bienfaiteur dans son gosier qui reprend vie avec clarté, vide, il le laisse tomber quelque part dans le hamac, garde les yeux fermés et l'visage penché, laisse le sang remonter, les sensations r'venir, le monde lui ouvrir à nouveau ses bras aimants. Gamin atrophié qui sort un soupir d'aise en notant l'art abstrait qu'sont en train de dessiner des doigts tendres sur une cheville fragile, s'souvient vaguement d'avoir suivi même caresse pour trouver l'endroit sécurisant où s'étaler, fronce les sourcils un moment fugace, l'temps de rechercher la vérité maligne qui lui échappe avec un rire enfantin. “Ça va mieux ?” rouvre des yeux verts plus étincelants, moins hagards, s'posent avec attention sur l'voisin qu'il devrait éviter, shouldn't I? La brûlure d'ses mots qui continuent à malmener son subconscient, qui s'confronte à la brûlure de son baiser qu'a laissé ses papilles en émois, la hargne de s'être fait ainsi relâché en contradiction avec l'savoir du peu déjà addictif qu'il a savouré. L'observe sans rien dire, silencieux dans son jugement, impassible sur les traits fatigués qu'veulent plus être ici, qui s'sentent pas en sécurité au milieu d'cette fête qui devient trop bruyante, trop dramatique, les iris qui s'perdent dans une tempête au contrario. “Tu veux que je te ramène chez toi ?” tourne l'visage l'idiot en expiant une fumée qui lui ferait plus d'bien qu'se péter les narines et forcer son corps à t'nir encore dans c'milieu qu'sa psychée lui somme de fuir. Mais sourit bêtement en revenant, d'ces sourires qui plaisent, porteur d'un bonheur simple, d'ces sourires qui sauvent des vies, ça en force un sur les lèvres du belge qui s'laisse finalement aller contre... what was his name again? sounded greek... poséidon? ew no.. start with a P... like the hero... like the books

-- Percy! Ravi de mettre un blaze sur l'mec qui m'doit un orgasme.

Ricane tout seul, comme si c'tait le clash de l'univers, cherche pas vraiment à l'contrarier, devrait pourtant, mais l'est si bien contre c'corps chaud, qui sent trop l'parfum d'fortunés, avec les messages codés déposés sur sa peau. Lève une main faiblarde, tente d'cacher les tremblements par la rapidité du geste quand il claque d'l'index le front du brun afin d'lui voler son joint de l'autre sur lequel il tire doucement, s'brûle l'bout des ongles en approchant d'la fin, tousse légèrement avec la fumée qu'est d'venu trop âcre, proche d'la mort. Lui rend donc l'cadavre dans une grimace puis s'étire avec l'même panache qu'un gros matou, nouvelle grimace quand dans l'mouvement la caresse s'perd, s'remet donc en place rapidement et oblige la main à retrouver le même endroit pour continuer sa besogne.

-- Mieux oui. Même si je dois avouer n'avoir aucun souvenir de comment je me suis retrouvé ici.

Hausse les épaules avec flegme, s'dit qu'il est vraiment bien ici, en cet instant, mais l'bruit d'la fête l'dérange toujours, les basses qui deviennent agressives à ses oreilles, l'empêche de s'concentrer sur l'océan, la berceuse des vagues, comprend qu'finalement il veut être ici mais ailleurs, autre espace temps qu'semble bien loin surtout sans avoir d'caisse, dans son état et avec un chauffeur désigné perdu quelque part certainement en train d'subir une crise existentielle auprès d'une certaine brune. Fait finalement s'enregistrer la proposition d'son partenaire d'hamac, l'inconnu parce qu'il connaît son corps, l'a aperçu, manipulé même que brièvement mais comprend pas son esprit, maybe just.. ask? S'mord la langue en s'empêchant de s'étaler un peu plus sur son ancien inconnu, quitte l'contact visuel pour observer l'seul endroit qu'est pas glacé d'son corps, là où il s'épanche.

-- Je sais pas c'que tu veux... Enfin je sais pas... Je comprends pas?

Vulnérabilité soudaine dont il se défait rapidement, frivole, disparaît aussi vite qu'elle est apparue, préfère pas s'dévoiler, trop souvent malmenée. Relève donc l'regard qui redevient joueur, at least it should be fun. N'est-ce pas l'malheur qui fait rire? Comique macabre.

-- Vaudrait mieux, effectivement, que j'rentre l'reconditionné. T'sais pas où est Pio?
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ne laisse pas ton odeur
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TW : usage de drogues / homophobie intériorisée


L’homme qui prend davantage connaissance, son corps qui comprend, ses sens qui s’affutent. Verre vide tombé entre vous. Tu regrettes rapidement ce liquide dont t’aurais bien pris une goutte. Regard furtif en direction du bar qui semble bien trop loin. Préférence à ce moment à ses côtés, malgré une bouche qui commence à être pâteuse. “Percy! Ravi de mettre un blaze sur l'mec qui m'doit un orgasme.” Tu rigoles. Lui lançant une main avec une poigne qui se veut ferme, mais qui ne fait preuve que de mollesse. Corps trop éloignés pour se saluer en gentleman, alors se sont vos doigts qui s’accrochent faiblement. “Percy. Percy Haynes-Grayson.” Tu lèves un sourcil imitant un Daniel Craig que tu es loin d’être quoi que fier de ton nom. Tu poursuis, persuadé d’être dans un rôle qui ne convient qu’à ta propre perception. “Do you want it now ?” tes yeux se colorient d’un fond rouge. L’indica qui fait son effet. T’envoie en l’air un sourire simple. Facilité de la vie. Tu ne sais pas vraiment d’où vient cette soudaine habileté à lui répondre avec tant d’aisance. Parce qu’il est certain que tu ne seras pas capable d’aller plus loin sur ce hamac. Du moins on parle de la même certitude que celle de ton esprit qui t’a poussé à t’isoler, dans des toilettes crades, à ses côtés.

Pichenette qui ressurgit. Putain que t’aurait eu envie d’lui balancer. Mais ç’a un goût réconfortant. T’apprécies même ce furtif contact dont tu ressens encore les palpitations de son index contre le front. Tu l’observes prendre goût à ton rouleau d’printemps magique. Un sourire. T’sais pas pourquoi pourtant t’aimes ça, qu’il s’bouffe les poumons également. Faut dire, tu ne partages pas avec grand monde cette vil obsession pour la destruction sanitaire. Sourire satisfait qui ne se détache pas. “Mieux oui. Même si je dois avouer n'avoir aucun souvenir de comment je me suis retrouvé ici.” Ta main qui ne se détache pas de son corps. Elle se renferme même un moment autour de sa cheville, comme pour s’accrocher à elle lorsqu’il se soulève pour te rendre le joint. Tu le jettes dans un verre à la substance incongrue. Conscience écologique à ce stade proche du zéro mais t’es pas capable de fourrer ton mégot dans ton sac, l’oubliant pendant des jours. “On est partis en même temps d'cette folie.” Tu rejettes ton regard sur la piste encore bondée. T’aurais bien dit drama au vu des enchaînements de la soirée mais tu te prives de tout commentaire. T’as assez débriefé avec Lucas pour revenir sur ce qu’il a pu se passer plus tôt. “Il t’est rien arrivé. Je t’ai mis là.” Tu lui dis, sans vraiment savoir s’il cherchait à connaître la vérité. Omettant toi-même la bonne, qu'il s'est évanouit sans même que tu t'en aperçoives clairement. Mi-stoned mi dans ta bulle, à penser un endormissement incontrôlé. Inconscient, pas vraiment capable de t’occuper d’autrui. Quoi que que dans tous les cas, ça semble être un autre type de vérité qu’il souhaite entendre. “Je sais pas c'que tu veux... Enfin je sais pas... Je comprends pas?” Ses yeux qui ne font plus le lien. T’as l’impression d’être coupé de lui, alors tu compenses par tes doigts qui restent attachés. Ils se faufilent toujours sur ce tissu épais, dont les dessins sont de plus en plus abstraits et maladroits. “Je… J’ai jamais fait ça.” La gorge qui se serre. Pas l’moment de réfléchir aux flagellations paternelles. Ni aux tiennes. T’essayes bien de pas baisser les yeux, lui montrer que t’essayes. Que tu tentes de lui témoigner ce qu’il se passe dans ta tête, l’aider à te comprendre. “Mais tu me…plais, m’obsède, me libère.Je veux que tu rentres en sécurité.” Et finalement, plus facile de jouer les héros d’film. Personnage secondaire du bad boy au red flag, cependant, au pire, joue la carte de la protection. Parce que c’est pas si faux. Que t’aimes pas trop l’voir dans cet état second, dont ses tremblements sont bien perceptibles. Et puis pas que ; la fatigue qui l’empêche d’avancer correctement, les substances qui ne lui permettent sûrement pas de comprendre les personnes autour de lui. “Vaudrait mieux, effectivement, que j'rentre l'reconditionné. T'sais pas où est Pio?” Tu rigoles, sans t’en rendre compte dans un premier temps. Tes oreilles qu’ont du mal à assimiler qu’il le connaisse, peut-être mieux que toi-même. T’en sais tellement rien. Ton cerveau qui commence seulement à coller des pièces. T’as bien entendu un Al dans les soirées de Lucas. Un autre sur les lèvres d’Asher, mais tu n'arrives pas à te souvenir de la source. Alors, sans chercher à t’épancher, tu t’accroches à la volonté du garçon. Ton portable que tu saisis, appelant une première fois Pio sur whatsapp. Aucune réponse. T’attends quelques secondes durant lesquelles tu regardes la dernière fois qu’il s’est connecté. Bien trop longtemps, nouvelle moue négative. Tu rappelles quand même, dans un vain essai. Alors tu décides d’envoyer via sms une dernière bouteille. “Yo t’es encore à la soirée ?” Tu montres ton téléphone en basse luminosité à l’ami du monégasque. On peut y lire d’autres messages : statistiques sportives de l’équipe de volley, ambitions de course pour la prochaine sortie… bref rien d’intéressant pour un esprit curieux. “J’lui ai envoyé un sms. Tu veux qu’on y retourne ? Partir à sa recherche ?” Le menton qui se jette en direction de la foule encore bien emmêlée. Les joues de la masse empourprées, dans un état assuré de non-sobriété. Tu grinces des dents en imaginant devoir te fondre à nouveau dans ce bordel. Et puis tu l’regardes. Visiblement pas prêt à te laisser l’emmener, toi, mais assurément pas en état de rester plus longtemps dans ce milieu. Besoin de sérénité après une soirée qui s’est éternisée bien trop longtemps. Ta main qui aimerait soulever ses jambes pour les glisser sur tes cuisses, sentir un peu plus son contact. Incapacité à rester concentré bien longtemps. Coup d'œil au portable, aucune notification.

Même si je reste persuadé que l’plus rapide pour toi c’est qu’on roule dès maintenant.” Tu lèves le buste collé au hamac. Un nouveau mouvement de bascule, un peu plus léger cette fois-ci tout de même. En étant un peu plus à sa hauteur, cela te permet de glisser ta main davantage en direction de sa cuisse. Ton visage au-dessus du sien. Tes yeux s’abaissent à ses lèvres. Un sourire malicieux s'affiche, dégageant celui plus simplet. Du mal à nouveau à te concentrer. Ton esprit bien plus occupé à observer ce qu’il a sous lui. Des lèvres charnues d’un homme en réveil. Ta mâchoire qui se contracte pour ne pas céder. Ne pas lui voler un baiser. Ne pas briser cette distance qu’il établit entre vous. Bien loin de cette soirée sans inhibition, un peu plus vous-mêmes, quand bien même coule une indica dans tes veines. Alors, tu reviens un peu à la raison et en grimaçant tu lui proposes “Y’a des bus j’crois vu l’heure, si t’as peur que je te séquestre dans ma caisse” Aucune envie de te retrouver au milieu des âmes égarées. Entre un mélange de pisse et de vomi, histoire de rappeler une première rencontre sous les mêmes odeurs. Mais il semblerait que pour rassurer l’homme, tu n’ai pas davantage de cartes. Incapable de lui délivrer ce que tu as sur le coeur. S’il paraît être important aux yeux de tes amis, pour toi, encore, vous vous apprivoisez. Loin d’une proximité qui te permettrait de lui dire que tu n’es qu’un faible mâle incapable d’accepter sa propre identité. Tu t’caches derrière une barrière conservatrice, que tu cherches pas à briser ; quand bien même, elle t'éloigne à nouveau de celui qui t’intéresse. Concrètement, tu lui dirais quoi ? “Je me dégoûte à rêver de toi. Je n’arrive pas à écrire “lui” par sms alors que c’est à toi que je pense quand on me demande de parler de mes envies. J’ai l’impression que toute ma vie se bouscule pour une attirance. Que j’ai peur d’une teub. Et puis, que je crains tellement le rejet de ma mère que j’ose pas agir correctement avec toi ?” Non. Impossible. Ni le lieu. Ni le temps. Même si ; sûrement the right person. Donc, tu continues de l’observer, ces propositions en suspens, tes paupières plus vraiment ouvertes, alors qu’à nouveau, tu crois que ton champ est grand éveillé, pour n’accueillir dans ton regard que ses expressions.

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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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TW: usage de drogue, langage grossier



Ne laisse pas ton odeur imprégné mes draps

[ s o u n d t r a c k ]


Leurs rires qui s'mélangent un instant ça l'surprend peut-être plus que ça ne le devrait, c'est que c'pas sa putain d'première fois à partager un gloussement, mais l'incapacité d'dire pourquoi là, maintenant, avec lui, ça lui donne des envies d'futur. Des doigts qui s'rencontrent sans grande conviction, fait continuer l'hilarité quand ils se serrent la main d'manière bien trop approximative. “Percy. Percy Haynes-Grayson.” r'connaît la pale imitation d'un james bond qu'a bercé son adolescence, part alors immédiatement dans un fou rire qu'il a du mal à contrôler, l'corps animé des pouffements et la main claquée sur la bouche pour pas hurler tellement l'a l'air ridicule le garçon. “Do you want it now ?i might just say yes renifle bruyamment en s'calmant, les yeux rouges du pur bonheur qui contrastent avec ceux d'un Craig de wish, les essui rapidement lorsqu'des perles salées ont rejoint la partie. Reprend ses esprits dans un souffle d'soulagement de plus s'étouffer à chaque gloussement, reprend d'le jauger, l'inconscient qui grogne toujours quelque part dans son esprit mais l'conscient qui commence à prendre le dessus, la curiosité maladive qui prend l'contrôle d'un corps qu'en a déjà fais les frais.

-- Al. Dit Alastor De Los Santos-Van Der Budenn mais pas certain qu'ça prenne pour une sexy bond girl. Quoique je ferais un superbe antagoniste! Dans un siège en cuir en caressant un chat. Blanc bien évidemment.

Sourire simplet qui vient chercher l'sien qu'il tente de cacher en détournant les yeux, he's an idiot. but so am I?

-- J'pourrais me laisser tenter.

Qu'il finit par s'décider, reprenant l'contact tandis que son pieds vient tapoter sa cuisse comme pour signer l'pacte d'une bataille qu'il a d'jà perdue. L'observe avec attention jeter l'mégot dans un verre délaissé par terre, s'dit qu'faudrait certainement trouver une poubelle mais n'en a ni la force ni l'courage, mère nature qui lui enverra la note d'frais, lui ou sa descendance qu'sa sœur elle gueulerait. “On est partis en même temps d'cette folie.” les yeux qui suivent l'mouvement, s'posent sur la masse de corps qui normalement l'appellerait comme une sirène, l'charmerait d'laisser aller son corps dans une tumulte du tempo, oublier qui il est en n'devenant plus qu'un avec les autres. Mais pas dans cet état, aurait certainement pas du v'nir en premier lieu, l'ont prévenu ses parents, qu'faut commencer à faire attention, qu'il bousille son corps à agir comme ça et qu'un jour il s'retrouvera sans. “Il t’est rien arrivé. Je t’ai mis là.” ça l'défait d'ses pensées malheureuses, force un sourcil à s'arquer suivi d'un d'mi sourire, intrigué, peut-être un peu excité.

-- Oh vraiment? Je vous ferais envoyer une demi douzaine de chèvre ô preux chevalier... Merci.

La fin qu'est adressé à d'mi mot, préfère pas en parler, élaborer, n'est qu'plus heureux quand le Percy pousse pas, idiotie ou compréhension dont il n'a cure, l'résultat étant qu'ils balayent ça sous l'tapis.  

Je… J’ai jamais fait ça.uh? fronce les sourcils en plissant l'nez, observe l'garçon qui semble perdre l'fil d'ses pensées, connaît ça Al, mais dit rien, le laisse galérer un peu, par sournoiserie certainement. “Mais tu me…uh?? curiosité qui gagne du terrain, s'relève quelque peu pour mieux l'observer, pendu à ses lèvres qu'articulent mal. “Je veux que tu rentres en sécurité.UH??! pense un instant qu'il a loupé un épisode, voir une saison, capte pas, aurait pas entendu la fin d'sa deuxième phrase? Et qu'est-ce qu'il a jamais fait? Causer avec un mec? C'quel genre de vie ç- S'fait interrompre rudement dans ses pensées par des bips lointain, observe l'incongru passer un coup de téléphone, capte pas qu'c'est pour répondre à sa demande, pas de suite, toujours bloqué sur des explications claquées au sol qui l'ont plus perdu qu'autre chose. 'Tu me..' ça tourne en boucle... qu'est-ce qu'il? C'pas Shakespeare qu'avait sorti un truc similaire dans une pièce? Téléphone fourré à sa vu, l'fait sursauter d'surprise, les yeux dans l'flou quelques secondes avant d'lire l'dernier message envoyé sans avoir l'temps d'voir à qui. Et pourquoi il lui montre ça même? Veut le lâcher à nouveau? i'm not following... anything!J’lui ai envoyé un sms. Tu veux qu’on y retourne ? Partir à sa recherche ?” Mais partir à la recherche d'qui?!  Et qu'est-ce qu'il lui fait?! you asked for Pio. oh... OH! A même pas b'soin de suivre le mouvement du menton, n'sait qu'trop bien ce qu'il y trouvera et s'sent déjà nauséeux à l'idée d'y aller, la grimace qui défait les traits, souffle mécontent qui sort d'son nez, devrait rappeler des souvenirs, s'relaisse tomber confortablement sur l'tissu, pense un instant qu'il d'vrait pioncer ici tiens, même s'il fait froid, même si y a trop d'bruits, même si y a trop d'tout et pas assez d'rien. “Même si je reste persuadé que l’plus rapide pour toi c’est qu’on roule dès maintenant.shush i'm thinking! qu'il pense en administrant pour simple réponse un mouvement d'main las au brun. Mais y a toujours cette question qui tourne en rond "je le quoi?!" essai d'faire le rapport avec un truc qu'il aurait jamais fait mais c'que le Al il est connu pour faire bien des choses qu'les autres font pas, c'pas un super indice ça. Une main pécheresse qui s'faufile vers sa cuisse l'fait écarter les yeux d'surprise quand ça force un foutu son d'plaisir à vibrer. S'attendant ni à l'un ni à l'autre. L'observe à nouveau tel un poulet suspicieux, moins prononcé peut-être, l'inconscient qui commence à trop battre en retraite, alors si en plus l'désir joint force avec sournoise curiosité, l'est fichu. Ses yeux gris qu'il voit tracer l'bas d'son visage, peut-être pas l'plus agile cérébralement parlant mais capte que y a pas grand chose à r'garder là, menton et lèvres, les siennes qui s'étirent dans un sourire aussi malicieux qu'celui qui lui fait face. Lève la main pour tracer une mâchoire qu'il voit s'contracter, caresse l'muscle dans la longueur jusqu'à ce qu'il s'apaise. Moment qu'vole en éclat dans la s'conde suivant. “Y’a des bus j’crois vu l’heure, si t’as peur que je te séquestre dans ma caisse

-- Mais tu l'fais exprès?!

Presque énervé d'se faire sucrer une deuxième fois, l'repousse immédiatement pour s'asseoir, tente d'sortir du hamac mais la gravité qu'fait équipe avec ses tremblements et l'laisse pas faire, retombe mollement dans le hamac sans même y avoir décollé deux fesses. Nouveau souffle mécontent en plissant l'nez, fronce les sourcils, regarde l'mec en biais, poulet indigné cette fois, certainement prêt à l'mordre en s'demandant à quoi il peut bien jouer. R'fuse de penser que c'est juste un pathétique p'tit puceau, en a pas l'allure, friqué qu'a l'habitude d'emballer chaque jolie nana du- “Je… J’ai jamais fait ça.oh.. oh?! OH! ça s'allume comme les guirlandes d'noël sur l'sapin, vivement et aveuglant la moitié d'la famille présente. Arrête donc d'gesticuler pour s'échapper immédiatement, l'observe juste un moment pendant qu'ses neurones cherchent un truc, n'importe quoi, la surprise s'affichant clairement sur chaque traits. Avec douceur s'rapproche, le force à s'allonger pour venir lui grimper dessus, sans force, contraste d'leurs première rencontre, lui laisse l'choix d'se défaire, d'hurler à l'aide ou quoique ce soit. Presse ses lèvres au même endroit où la poudre s'était égarée, n'en trouve pas, glisse sa langue contre la peau dont la moustache râpe ses papilles d'la même exquise manière, s'installe plus confortablement, les cuisses qu'enserrent son bassin, lui offre un sourire en relâchant sa peau puis... lui claque une pichenette sur la tempe en râlant.

-- Et t'aurais pas pu l'dire plus tôt qu'tu flippais?! Je peux être rassurant. Enfin... J'crois... On a tous eu les premières fois, c'rien.

Capte pas encore l'amplitude mais s'laisse à croire dans l'côté plus sain d'la chose. Dépose un baiser à l'endroit qu'il a malmené avec ses doigts dans un léger rire amusé. L'bout d'ses doigts, peut-être un peu trop froid, qui profite d'la chaleur des côtes qu'il découvre sous une chemise, les laisse vagabonder avec délice en descendant des baisers papillons sur sa mâchoire.

-- Par contre faut apprendre à finir ses phrases l'reconditionné. Je te quoi?

Dirige son envie sur les lèvres sèches du garçon qu'il veut humidifier dans sa grande bonté mais des cris d'joies l'font sursauter, supporte pas l'trop bruyant, trop à fleur de peau, marmonne des insultes dans une barbe inexistante, fraîchement rasée, insulterait bien la masse d'personnes qui n'font que s'amuser mais pète son fun à lui sur plusieurs générations mais s'ravise en continuant à grommeler tout en quittant le hamac, manquant d'se rêcher au passage parce que la gravité est une pute.

-- Debout Percy Haynes-Grayson! Vous me ramenez chez moi afin que JE vous séquestre.

Qu'il annonce tout fier en l'forçant à s'mettre sur ses pieds aussi, prend la direction d'la fête puis s'arrête, l'nez en l'air perd un peu d'sa splendeur quand il s'retourne vers le brun avec un air plus que peiné sur l'visage, à deux doigts d'juste s'poser sur l'sable, y creuser un trou et s'enterrer tout deux assez loin pour avoir la paix.

-- C'est où le parking?! J'sais plus où j'suis, je veux sortir de là!
KoalaVolant

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ne laisse pas ton odeur
imprégné mes draps
( alastor & percy )
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TW : référence religieuse / référence aux drogues


Irrésistible. C’est ce que tu te dis à ce moment-là. Ton cœur qui se réchauffe en pensant à ton dieu qui t’a mis sur le chemin de cet homme. I can be confident in God’s power. Que tu te dis. Parce que tu ne peux pas laisser passer cette personne. Tu veux continuer de voir ses yeux se tordre d’amusement. Sa main qui se colle à sa bouche pour étouffer un cri animé. Ton oreille qui tombe légèrement sur le côté, satisfaction certaine. D’yeux mis clos, tu réponds à son rire, sûrement moins franchement tout de même. “Al. Dit Alastor De Los Santos-Van Der Budenn mais pas certain qu'ça prenne pour une sexy bond girl. Quoique je ferais un superbe antagoniste! Dans un siège en cuir en caressant un chat. Blanc bien évidemment.” T’as eu besoin de plusieurs minutes pour arriver à une réaction correcte. La bouche semi-ouverte, les neurones qui tentent de se connecter. Alastor Deloss Budender? Tu plisses les yeux, faible grimace, honteux de devoir redemander son nom. Tu t’dis que t’iras faire tes recherches plus tard, par politesse. Parce que son, ses noms, résonnent comme une richesse culturelle dont t’as envie de te saisir. Après avoir laissé un silence s’écouler entre vous deux, ton esprit te rappelle sa dernière phrase. Nouvelle moue dégoûtée. “Un chat ? Tu m’étonnes que tu s’rais le vilain” Tes épaules qui se secouent à l’idée d’avoir un chat entre vous. Non que tu trouves ça moche, antipathique, mais tu comprends pas trop l’intérêt d’aimer un animal. Comment tu communiques avec une autre espèce déjà ? Tes pensées qui sont percutées par un contact visuel qui se perd. “J'pourrais me laisser tenter.” tu comprends pas tout de suite par quoi. Puis son pied qui rétablit la connexion. Nouveau rire. Et puis, fuck it. Tu te saisis de ses deux pieds pour les glisser sur toi, vos corps qui se rapprochent davantage. Tes doigts se dirigent directement vers un hématome à la couleur verdâtre. La faible luminosité qui adoucit cependant la couleur du bleu. Tu t’éloignes de la marque pour approcher ta main à l’intérieur de son mollet.
Oh vraiment? Je vous ferais envoyer une demi douzaine de chèvre ô preux chevalier... Merci.” la voix un peu intriguée, soupçonneuse tout du moins. Mais tu rentres dans son jeu, au moins pour éviter, comme par intuition, de polémiquer sur des confidences. “Je vous inviterai dépouiller vos chèvres. Vous méritez de connaître le goût de votre labeur” dans une autre dimension l’homme devient berger, et toi le prince déchu. Tu t’plais à charmer celui qui guide les chèvres. Qui te guide.

La suite s’enchaîne un peu rapidement. Entre deux mots peu assurés, témoignant ton attirance à son égard, puis une tentative de retrouver celui qui compte à ses yeux. L’impression d’parler dans le vide. Jusqu’à ce que ce soit ton corps qui se projette dans le néant. Sa main venant caresser ton os, un souffle plus lourd qui se dégage de tes narines. Quoi que pas le temps d’en profiter. “Mais tu l'fais exprès?!” t'ouvre grand la bouche par surprise. Comprenant pas où t’aurait pu foirer quoi que ce soit. T’essayes pas vraiment de réfléchir, tu te laisses aller dans ses mouvements. Parce que tu l’vois tenter de partir, te lancer ce regard indigné. Tu hausses les épaules soulignant ton incompréhension. T'aimerais dire quelque chose, le retenir. Ton pouls s’accélère.
Enfin, sa douceur t’électrocute. Son corps qui monte sur toi, tu l’lâches pas des yeux. T’essaye de lire son regard. Déjà que tu n’es pas capable de comprendre des mots, ce n’est pas des pupilles que tu traduis mieux. Par contre là t’arrive à traduire ce qui se passe dans ton corps. Ses lèvres venant se mélanger à ta moustache. Ta main qui serre l’arrière de sa cuisse. Ce plaisir espiègle qui t'excite déjà. Tu le sens t’entourer plus fermement. Tu pourrais te fondre en lui sous ses gestes. Sauf qu’il fallait à nouveau qu’il te claque la peau. Un cri. Eh. Tes sourcils froncent d’énervement. “Et t'aurais pas pu l'dire plus tôt qu'tu flippais?! Je peux être rassurant. Enfin... J'crois... On a tous eu les premières fois, c'rien.” C’est quoi se montrer rassurant pour lui ? Parce que c’est pas vraiment ce que t’as ressenti quand il t’a lâché à la commande d’un coca. “Rassurant ? En m’insultant dans une langue qu’j’connais pas ?” Un nouveau cri lorsque son contact froid se mélange à ta peau réchauffée par une fine chemise. Se sont ses lèvres qui te poussent à continuer, cependant. “C’est pas… pas qu’une première fois” des yeux perdus, qui cette fois-ci n’arrive à soutenir le regard. Tant mieux qu’il est occupé, qu’il ne voit pas que tu perds tes moyens. “J’me voyais pas” voilà qu’tu parles au passé, c’est déjà bien. “Aimer ça” pas certain qu’il en saisisse les sous-entendus. Mais tu t’gardes ces préjugés pour toi. Pas capable de supporter ses yeux assassins, prêts à fuir face au drapeau rouge. “Par contre faut apprendre à finir ses phrases l'reconditionné. Je te quoi?” Ta main qui lâche la prise. T’es sauvé par ses marmonnements. Tu rigoles, son souffle qui se promène encore sur tes lèvres. Dur à suivre. “Debout Percy Haynes-Grayson! Vous me ramenez chez moi afin que JE vous séquestre.” Ton rire qui ne s’arrête pas. Tu ressens bien que tu touches du doigt un confort absolu. Impressionnant comment les inhibitions n’ont pas toujours besoin d’être supprimées à coup d’a3. Plus impressionnant encore comment tu acceptes l’obsession, à vouloir que le fantasme honteux en devienne un rêve éveillé. “T’es en état de séquestrer quelqu’un toi?” tu réponds en l’observant s’éloigner. Tu mets un peu plus de temps pour sortir de ce confortable hamac.

C'est où le parking?! J'sais plus où j'suis, je veux sortir de là!” tu l’entends rouspéter du hamac. Alors lorsque t’arrive derrière lui, tes mains se calent sur sa taille pour le faire ralentir. D’un mouvement, tu tournes son corps à vingt degrés direction nord-ouest. Ta main qui lui indique le chemin à suivre. Elle se secoue vers un couloir invisible menant à votre destination. “Calmos la gueuse on y va” que tu prononces d’un mauvais accent. Et, au milieu d’une masse mal formée, tu penses. Vous pourriez vous laisser à nouveau là. Tu t’attends à ce qu’il parte, qu’il se réveille, comprenne, te lâche. Surtout quand tu prononces “J’dois retrouver quelqu’un aussi” Ton regard fouille les lieux. Aucune trace. Comment est-il possible de les avoir quitté du regard quelques minutes et déjà ne plus pouvoir les retrouver. T’en remarques bien certains, des visages connus avec qui vous aviez bu plus tôt. Mais aucune trace des farfadets du volley. Ni Asher ni Pio. T’appelle à nouveau, cette fois-ci ton frère. Pendant que tu tends le téléphone à ton oreille ton autre main s’accroche à Alastor. Tu captes bien qu’il est prêt à partir à toute vitesse, alors d’un geste un peu déplacé, t’enfonces un doigt entre son dos et son short, pour le maintenir et ne pas l’éloigner. Messagerie. Tu grinces les dents. “Tu l’vois Ash ?” que tu demandes, pas contre une deuxième paire d’yeux. Mais t’es pas en état de retrouver une aiguille dans une botte de foin, et un peu par lâcheté amicale t’envoie “Mec dis moi que t’as quelqu’un pour te ramener. Je dépose un de tes potes là” t’en dis pas plus que déjà ton doigt s’évapore de son short. Une main qui claque sa fesse pour l’inviter à continuer de marcher. Des lèvres qui s’humidifient directement en voyant ce cul rebondir. Tu te mords la lèvre, le regard chaud. Pas le moment de vriller. Alors, tu jettes tes mains derrière ton dos et t’avance derrière lui. Le ramenant à toi dès qu’il s’égare.

Quand vous arrivez enfin au parking, tu la vois directement. Elle brille sous la lune et tu t’émerveilles à chaque fois que tu l'aperçois. Cette fois-ci, tu passes devant le danseur, impatient de toucher du doigt l’aile de ta voiture. D’un regard vif, tu observes son état. Habitude de vérifier le moindre changement avant de prendre la route. Inquiétude que la moindre cicatrice puisse se créer sur cette robe mécanique. Mais t’inspire. Toujours aussi belle. Rouge grenade qui te fait perdre la tête. Puis tes pensées qui te ramènent au présent. Alors, tu fais secouer tes clés en sa direction dans un tintement aigu. Tu le pointes d'un doigt accusateur. Parce que tu le remarques déjà, ce sourire malicieux. “Pas d’connerie avec ma diva ok ? Sinon j’te pose sur la route” Tu la caresses à nouveau cette caisse dont t’en es un peu trop fier. Caresse qui souligne au garçon à quel point elle compte pour toi. Lorsque tu ouvres la portière, tu profites d’un sweat égaré sur le siège passager pour t’en saisir et le porter directement. Puis, tu jettes ton sac dans l’habitacle. Encore dehors, t'attends qu’il s’installe sagement, ton regard méfiant analysant le moindre de ses gestes.

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TW: propos à caractère sexuel, langage grossier



Ne laisse pas ton odeur imprégné mes draps

[ s o u n d t r a c k ]


Rassurant ? En m’insultant dans une langue qu’j’connais pas ?” plisse encore l'nez, réfléchis intensément whut? l'confondrais pas avec quelqu'un d'autre l'reconditionné par hasard?

-- J't'ai jamais insul- ... WANDOUGHT?! ... C'est d'l'anglais abruti d'américain.

Qu'il s'marre, s'moque sans réfléchir, sans réel jugement, quoique peut-être un chouïa, “C’est pas… pas qu’une première fois” c'est qu'ils sont pas connu pour être les plus lumineux les amerloches, “J’me voyais pas” sont pas méchants, loin d'là, quoique y ait des cons partout, mais être gentil comme dirait sa mère c'pas un métier non plus “Aimer ça” mais après sa mère et sa bourgeoisie parfaite à deux francs six sous c'pas le meilleur exemple du monde qu'il pourrait trou- whut? Hausse un sourcil en l'reluquant de haut en bas, toujours assis sur l'hamac.

-- Le ça il a un prénom. Et ils disent que l'romantisme est mort hein...

Perd bien vite son faux air offusqué d'donzelle pour ricaner tout seul, capte pas de suite la nuance qu'ces mots ont cherché à évoquer, parce que là debout, ça tangue un peu, l'est toujours frigorifié, entends d'plus en plus la musique qui cogne son crâne en péril, connaîtrait mieux l'type qu'il s'rait monter sur son dos, l'aurait grimpé comme un koala s'accroche à son arbre, mais peut pas, a promit d'pas l'brusquer, le fera déjà certainement sans faire gaffé. “T’es en état de séquestrer quelqu’un toi?” Ferme les yeux un instant en s'laissant aller contre l'garçon lorsqu'il pose ses mains sur sa taille, le stabilise sans même le savoir, prend une grande inspiration, retrouve un peu d'son monde dans l'urgence de décamper d'ici avant d'se replanter sur l'sol cette fois.

-- Moi? Jamais. Mais j'commence à me douter que ça le pourrait.

Lui force la main sur l'bas d'son dos avec un sourire d'véritable petit diable, sait pas réellement si c'est bien le cas mais s'souvient d'une certaine gourmandise dans les chiottes crasseuses- haut l'cœur qui efface bien vite le souvenir. Préfère pas partir là-d'ssus avant d'être loin d'ce putain d'fête. S'laisse donc porter par la conduite d'son inconnu plus si inconnu qu'ça, dans l'espoir qu'il le soit encore moins dans quelques minutes. “Calmos la gueuse on y va” A une remarque sur l'bout d'la langue, une qu'il pense drôle, comme toujours, mais arrive pas à la sortir lorsqu'ils doivent traverser cette masse, les sens qui l'agressent bien trop hâtivement, supporte plus rien avec l'cerveau perturbé comme ça, ça r'tourne trop vite, fait s'emmêler sa respiration, fait déconner ses neurones, arrive plus à calmer les tremblements, l'oxygène qui s'fait rare, veut hurler mais s'retiens pour pas déranger, c'même sentiment d'môme qui le paralyse. “J’dois retrouver quelqu’un aussi” ça s'enregistre pas, y a trop d'bruits qu'il veut pas entendre, ferme les yeux, trop fort, jusqu'à c'que ses paupières brûlent, comprend pas pourquoi ils sont à l'arrêt, cherche à s'esquiver, s'enfuir, l'retrouvera certainement. Et à travers c'brouhaha infernal, l'enfer des ténèbres y a un toucher brutal qui l'ramène à lui, force un son plaintif d'ses lèvres quand il suit l'emprise et s'colle à un Percy absorbé par sa tâche du moment, enfouit son visage dans son épaule pour inhaler l'parfum qui lui brûle à nouveau les naseaux, l'ancre assez pour pas s'relâcher, s'accroche désespérément à ce petit bout d'raison. “Tu l’vois Ash ?” se secoue pour relever la tête, s'parer d'son plus beau jeu d'idiot quand il renifle sa panique en l'masquant par un sourire, comme amusé, dévie l'sujet avec un excellent revers d'raquette.

-- J'suis pas très threesome mais à la limite si c'est c'que tu veux vraiment... Par contre pas chaud l'bebou, c'est comme un frère ce serait peut-être un poil trop bizarre...

Heureusement, semble bien vite abandonner sa fouille ashéologique, malheureusement relâche sa prise qui l'maintenait péniblement. Veut pas lui quémander d'recommencer, rigole sans joie à la tape qui l'remet en mouvement, une idée en tête, sortir d'ce cauchemar l'plus rapidement possible. Mais bien évidemment l'cerveau qui r'connaît aucune trajectoire, vire soudainement à gauche sans l'vouloir, s'fait rattraper par une main salvatrice, refuse d'jeter un coup d'œil en arrière pour l'remercier, d'peur qu'l'autre voit dans son regard qu'ça va pas, l'est connu pour aller bien Al, c'est l'seul putain d'truc qu'il a encore. Chaque pression sur l'bas d'son dos qui l'aide à mettre un pas d'vant l'autre, émergent finalement glorieux d'la fête, met un petit temps à l'capter, chancelant, force sa respiration à rester calme, Percy qui s'approche d'une caisse rutilante, breath l'observe avec intérêt, l'aurait pu l'faire rire avec sa dégaine d'riche qui pourrait faire un arrêt d'voir une fêlure breath s'demande vaguement si ce même riche va pas être dégoûté d'ses fissures à lui WHY WOULD YOU? JUST BREATH L'brun qui s'retourne vers lui, l'force à claquer un sourire sur ses lèvres, sourire qui doit paraître suspicieux quand ça force son partenaire à lui lancer l'même regard de poulet suspicieux, pas aussi bien qu'Al mais... Avec un peu d'entraînement. “Pas d’connerie avec ma diva ok ? Sinon j’te pose sur la route” comprend pas tout de suite, plisse l'nez comme d'habitude, penche la tête sur l'côté, innocent avec ses bouclettes qui lui tombent sur l'front. Mais a pas l'temps de lui demander d'répéter qu'il se penche à l'intérieur de la caisse pour récupérer un sweat qu'l'idiot pense être pour lui, cacher ses tremblements, mais non, l'autre idiot l'passe au dessus de sa tête, forçant une grimace sur les traits d'un Al qui lui lance à nouveau c'regard désabusé.

-- Encore une fois... Et on dit qu'le romantisme est mort!

Heureusement pour lui c'est à c'moment qu'elle s'enregistre sur ses mirettes l'incroyable voiture, avec les neurones qui r'démarrent finalement loin de la fête outrageuse à son subconscient. Ouvre la bouche d'surprise, poisson hors d'l'eau qui s'jette dans le bocal paradisiaque, aka grimpe sur l'capot avec prestige, s'rappelle qu'il a bel et bien perdu ses espadrilles dans la fête et y retournera certainement pas, ses petons qui glissent sur l'métal froid du capot et lui force un bruit d'gamin réjouit.

-- Elle est incroyable! Tu peux prendre une photo?? Il faut absolument que j'la montre au jaune mais j'ai pas de... 'fin.

Sort d'sa poche un vieux nokia 3310 qu'il secoue devant les yeux gris qu'il ne croise pas encore, pourrait peut-être s'apercevoir de l'hérésie qu'il est en train d'commettre autrement.

-- J'ai flingué mon téléphone y a pas longtemps et... C'solide ça mais ça prend pas d'photos... S'il te plaît, j'te donnerais un truc en échange ce que tu veux!

Qu'il déclame rapidement avec l'euphorie d'un môme shooté au sucre, impatient d'pouvoir montrer sa trouvaille à ses potes, devra leurs rappeler d'pas la voler peut-être mais ça c'est au futur Al d's'en soucier. Tape sa meilleure pose lorsqu'il voit l'téléphone du Grayson flashé, puis descend avec grâce rapidement afin de claquer un baiser sur l'bout du nez d'son prince -presque- charmant, a pas oublié l'coup du sweat. Et en s'remémorant du sweat, fait l'tour d'la voiture rapidement pour s'jeter dedans avec lourdeur, gigote sur l'siège en cuir comme un animal qui s'prépare à y faire son nid. Soupir d'contentement qui sort d'ses lèvres quand enfin il s'laisse fondre dedans et que l'chauffage se met en marche à peine le moteur allumé. technology! it's crazy. A pas le temps de demander quoique ce soit son chauffeur qu'Al s'met à triturer l'écran afin d'rentrer l'adresse d'la jetée où l'bateau est amarré avec aise, s'retourne vers l'brun tout sourire, presque fier.

-- Un ami a mit le même modèle de GPS! J'ai retenu.

Puis il étire ses bras et ses jambes, fait craquer ses articulations, s'sent bien content là, s'sent enfin en sécurité, jette un œil à Percy qu'il dévisage sans gêne alors qu'il s'concentre sur la route, chose qui lui plaît qu'à moitié. S'penche alors vers lui avec une étincelle dans l'regard qui veut rien dire d'bon pour la pauvre victime.

KoalaVolant

@Percy Haynes-Grayson :sex: :sex:


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Percy Haynes-Grayson
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ÂGE : 23 ans (23/11/2000)
OCCUPATION : cursus : financial markets & investments + commerce international (6th, dernière année master) + investisseur crypto (simflouz $$)
STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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ne laisse pas ton odeur
imprégné mes draps
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TW : propos à caractère sexuel


Tu te laisses porter par le son de sa voix, ses expressions qui t’étonnent, te font sourire. T’essayes à chaque fois d’ouvrir les paupières un peu plus largement pour davantage le regarder. Voir ses tics. Sa manière d’hausser un sourcil au moment d’analyser, de plisser le nez quand ça a du mal à comprendre, puis de rire franchement. Et ce rire. Qu’est-ce qu’il te réchauffe. Toute une semaine que tu penses à ses fesses, à sa langue adroite, à son souffle quand il s’entête. Tu te demandes comment t’as pu passer à côté de ces détails. “Are you still saying LMAO? No? Neither am I. Alors ce terme-là, encore moins” tu lui réponds sans l’ombre d’une susceptibilité. T’as jamais été bon à l’école, indiscipliné face à n’importe quelle matière, professeur. T’as pas d’histoire empathique à raconter, pas de traumatisme. Non t’as juste toujours détesté le scolaire, la discipline studieuse. Encore plus les langues dont tu n’en comprends jamais les subtilités.

Et sur la piste, tu remarques seulement son agacement. Tu ne captes pas l’état dans lequel il sombre. En fait, t’as tout sous-estimé. Tu fais passer un évanouissement pour une fatigue. Une angoisse pour une impatience. Malgré tout, tu tentes de le retenir à toi. “Moi? Jamais. Mais j'commence à me douter que ça le pourrait.” Aucun tact, mauvais pour les sous-entendus. On t’a toujours dit de t’exprimer franchement. Que votre parole soit impeccable que les accords de la mère disent. Tu devrais peut-être commencer à les mettre en application. Et dans un rire étouffé tu réponds “Eh eh Alastor Deloss-” tu t’arrêtes, te rendant compte que t’es pas capable d’aller plus loin. Tu te mords même la joue pour t’empêcher la gaffe “quand j’dis ça, c’est pas toi. C’est ton tout” d’une main, tu désignes son corps. Pas capable d’être plus précis à l’instant t. Pas certain non plus que le garçon puisse réceptionner la moindre déclaration. Son corps qui se rapproche du tien. Un visage se calant sur ton épaule. Alors que tu tentes de joindre Asher, ta main disponible vient l’entourer. Tu sens un peu ses tremblements, sa peau froide qui ne se réchauffe plus. T’essayes de le maintenir contre toi, mais faut avancer. Sortir de ce lieu qui n’est plus source de bonheur. “Par contre pas chaud l'bebou, c'est comme un frère ce serait peut-être un poil trop bizarre…” Tu fronces les sourcils. Asher Avery ? Né à Miami ? Partenaire de ride à Aspen ? Moitié qui te permet de résister dans ce monde ? Moitié qui est en train de flancher. Vos corps sont déjà en mouvement. Plus vraiment le lieu pour en parler. T’essayes quand même de rassembler des pièces que t’aurais pu manquer. Asher qui s’éloigne, pas réellement de son ressort. Pris en étau entre une sœur absente, une mère indifférente et un père menaçant ; sans compter des études qui le ménagent. Sa situation, qui, elle aussi tu sous-estimes, vient te claquer subitement au visage. “Je t’aime” que t’envoie d’un geste rapide à Ash. Et en pensant à un autre t’es encore plus incapable de te soucier de celui que t’as dans les mains.

Encore une fois... Et on dit qu'le romantisme est mort!” Tu lèves les bras de non-coupable. Un cri aigü que t’exprimes en guise d’innocence. Ces bras passifs qui te permettent pas tout de suite de comprendre la scène. Saute avec une agilité déconcertante sur ta caisse. Ton visage qui se décompose dans des expressions multiples : incompréhension > étonnement > énervement > dégoût > encore un étonnement. T’écoutes plus trop ce qu’il raconte, troublé par la vision de son corps sur diva, encore plus déconcerté par les chaussures en moins. T’entends photo et tu sors par automatisme ton portable aux trois appareils. C’est à travers l’écran que tu le remarques davantage. Son sourire d’enfant face au sapin de Noël. T’as encore le portable dans les mains quand il arrive à ta hauteur t’embrasser l’nez. Le flash qui s’active à nouveau, prenant certainement une photo d’un t-shirt noir. Et lorsqu’enfin tu renfermes le portable dans ta main, le belge est déjà dans la voiture. Tu l’vois faire sa place. Un confort qui commence à se lire sur ses traits. Tes épaules s’affaissent légèrement comme par mimétisme. Soulagement qui se propage dans ton corps. D’une main, tu balayes son passage sur le capot, basculant ta tête de gauche à droite. Pas vraiment capable de t’énerver. T’as toujours la sensibilité de l’indica dans la tête. Elle qui t’invite à lâcher prise.
T'active rapidement le moteur, comprenant bien l’objectif premier du garçon : avoir chaud. Une fois les portes closes, ton bras l’entoure, pas tant dans un premier temps pour retrouver son contact mais plutôt pour activer un bouton sous son siège. “C’est du cuir chauffant, d’ici quelques kilomètres tu devrais ressentir les effets” tu lui murmures, la voix qui contraste au brouhaha de la soirée dont vous êtes enfin sortis. Puis, avant qu’il ne puisse davantage s'agiter, tu retires ton sweat que tu enroules autour de ses pieds. Comme si tu le bordais, tu vérifies que les souliers en coton ne se séparent pas au moindre mouvement du beau. Tu ne fais pas plus de commentaires sur ces baskets envolées. Si t’as pas la vision claire, tu comprends vite aux tapotements de ses doigts contre le gps qu’il cherche à quitter les lieux au plus vite. En l’observant taper avec une vivacité déconcertante son adresse tu réponds à son sourire. Fierté partagée. Tes yeux qui se plissent. Un port. Plusieurs jours que tu n’es pas allé sur le yacht familial et ça t’adoucit presque de te dire que tu vas apercevoir des vagues quelque temps, avant de rentrer au dortoir dans une chambre bien exigüe.

Tu baisses le son de ta playlist. Bruit de fond pour combler un bref silence, quoi qu’apaisant. On peut percevoir la dernière musique de SZA. Et les paroles douces de la chanteuse viennent bercer un peu plus l’instant. "Sick of this head of mine / Intrusive thoughts, they paralyze" T’apprécies sentir sa main sur ta peau nue. Tu viens directement l’entrelacer. Ton pouce qui se mélange au sien. “On devrait se poser des questions nan? Histoire d'faire connaissance tout ça... T'sais ce jeu où chacun son tour demande un truc, l'honnêteté est de prime indubitablement!” Ton visage se tourne furtivement en sa direction. Un visage marqué d'un soupçon d’inquiétude. Tu sais pas trop à quelle sauce tu vas te faire manger mais t'acquiesces un hm. Puis tu sens sa main bouger, alors tu lâches prise, naïvement.

Avoue que tu m’as oublié” que tu chuchotes, le ton un peu amer. Si t’es prêt à concéder ton attirance, le versant de la pièce s’accompagne de cette peur tamponnée de jalousie. Son regard qui était plus intrigué par l’amie de Pio que sur toi. T’as pas reconnu directement en plus. Tes mains qui se renferment autour du volant. Un peu la crainte d’avoir pu jeter un froid entre vous deux. Tu cherches à te concentrer sur la playlist qui passe à la voix de Khalid. "I got so high the other night, I swear to God I felt my feet lift the ground / Nothing feels better than this" La route qui file plus vite que prévu. T’hésites entre ralentir le rythme pour le garder auprès de toi plus longtemps ou appuyer sur l’accélérateur afin de tenter d’oublier, au plus vite. T’arrives pas à te raccrocher à ce qu’il a pu te dire plus tôt. “Vous me ramenez chez moi afin que JE vous séquestre.” Ton corps, finalement, qui fait chauffer le moteur. Bruit puissant de la voiture qui se chauffe à l’ordre d’augmenter la vitesse. Un virage que tu prends un peu trop furtivement, faisant grincer des pneus à la gomme quasi-neuve. Mais tu préfères ces bruits d’la diva rassurante, aimante, que la probable honnêteté du passager.

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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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Un bras qui l'entoure, repose sa tête contre un instant mais bien vite enlevé, l'aurait pu l'faire renifler piteusement si l'garçon à qui appartient le bras furtif ne s'attelait pas à recouvrir ses pieds nus du dit sweat d'égoïste, ravalant d'la plus splendide des manières cette pensée. Surpris, perd ses mots pour une fois, chose étonnante en connaissant l'animal mais sait pas trop quoi dire sous l'geste, remue ses doigts d'pieds tout cassés d'la danse,  un sourire sincère qu'étire ses traits quand ils touchent l'tissu doux qui les réchauffe petit à petit. Cela de pair avec le cuir qui fait s'infiltrer dans ses os fatigués une chaleur réconfortante, s'enfonce un peu plus dans l'siège, bienheureux, plus qu'en sécurité, grâce à... lui. Lui lance un regard furtif, panique un peu avec les émotions qu'lui prennent la gorge.

-- T'es plein de surprise... Merci Percy.

S'force à pas l'appeler par c'surnom qui commence à plus trop avoir d'sens face à des actions bien trop douces, bien trop enduites d'charme.
Encore une fois quand il entrelace leurs doigts, est pas habitué, un corps qu'est trop souvent malmené, r'garde l'action bizarrement, un truc bizarre dans l'bide qui s'mélange pourtant si bien au désir. 'Find something worth saving / It's all for the taking / I always say' la voix féminine qui aimerait forcer ses membres à reprendre une routine passionnante, une routine qui l'a pourtant éreinté, assez pour l'obliger à quitter une soirée qu'il attendait d'puis des jours bien trop tôt, avec un inconnu bien trop enivrant.



C’est pas… pas qu’une première fois” ça implose enfin dans sa boîte crânienne “J’me voyais pas” les souvenirs d'son visage paniqué qui dévisage la foule c'soir là avec un simple touché.. “Aimer çafuck.

-- Je suis ta première... Enfin ton premier...

"J'suis le ça" qu'il ose pas dire à voix haute parce qu'ça rendrait l'truc trop réel. Evite les yeux du brun qui d'toute manière conduit, un peu plus brusquement, capte une angoisse derrière ces coups d'volants prompts, se r'connaît dans cette conduite gauche. D'son autre main libre, vient récupérer un d'ses poignets, tendrement pour pas l'surprendre, c'est qu'Al dans une voiture, ça peut vite tourner à la catastrophe avec un coup d'tête de l'adversité. La dépose délicatement sur sa propre cuisse pour entrelacer à nouveau leurs doigts, inspire pour trouver un peu d'courage, s'dit qu'au pire ils étaient deux idiots. Une nouvelle voix masculine qui empreint ses mots d'la même souplesse qu'ses pas quand il s'y donne entièrement. "Take it back, bring it side to side"

-- Je suis désolé. Je pensais que t'étais d'ces types qui aiment à jouer les... Mecs, les vrais, ces riches qu'ont une vision totalement archaïque que c'que c'est d'être un homme, comprendrait même pas si on leurs épingler sur l'visage la véritable recette. Et puis quand t'es parti j'ai cru que t'sais, t'avais eu ton lot et puis basta. C'est que j'ai pas paniqué personnellement, la première fois qu'j'ai compris, c'est arrivé naturellement, et puis... Disons simplement que j'ai rien à prouver à personne. Mais, j'sais que mon père a un peu paniqué, par un peu j'veux dire qu'il a fait une énorme crise de panique après avoir embrassé mon papito. L'histoire est hilarante faudrait qu'ils te la racontent! Enfin bref c'pas la question.

S'retourne à nouveau vers lui dans une expiration, observe un profil qu'a reprit d'la tension, l'aime pas c'profil, préfère l'autre, c'lui qu'il a admiré en s'réveillant d'son purgatoire. S'contorsionne alors sur l'siège en relâchant toutes les prises qu'il a sur l'garçon pour appuyer ses deux mains sur sa cuisse droite et l'forcer à piler la voiture, bien trop dangereusement pour bien des gens, capte même pas la folie dans son idée du moment et les idées d'génies faut jamais les laisser partir. Agrippe son visage et l'embrasse, s'cogne un peu la tête contre l'toit dans son empressement mais s'en carre lorsque sur ses papilles réexplosent une saveur inédite, lui rappel à quel point il avait eu envie d'retrouver ses lèvres pour capter de quel substance ça v'nait, et là, tordu dans la voiture, sa langue qui se déplie contre celle du garçon ça s'inscrit au fer blanc, c'goût c'est c'lui d'Percy. Romps l'échange subitement à la compréhension, l'rouge saupoudrant les joues et les yeux écarquillés, s'souvient pas avoir embrassé quiqu'ce soit avec un putain d'goût, devient certainement fou, pas d'autres explications. Dépose un baiser furtif sur sa joue pour tenter d'masquer son étonnement et s'rassoit convenablement. La même voix masculine qui r'prend un différent rythme qui s'calque sur celui débordant d'un truc qui s'explique pas. "Yeah, I'd rather be a lover than a fighter / 'Cause all my life, I've been fighting / Never felt a feeling of comfort"

-- Reprend la route ou je te jure que j'vais bien la salir ta diva!

Claque dans l'air, pauvre menace qui l'fait lui-même rire, c'est qu'sa propre connerie le fatigue parfois, quand ça monte au cerveau, préfère pas la reconnaître la plupart du temps pour s'éviter des migraines. you're so stupid... but so is he... Contrepied d'ce qu'il pensait plus tôt, les yeux qui tombent à nouveau sur l'pull qui protège ses pieds, sourire bête d'affection, s'dit que peut-être cette nuit pourrait s'laisser aller à la douceur. "And all this time, I've been hiding / And I never had someone to call my own"

-- Je me souviendrais d'toi Percy Haynes-Grayson. Avec plaisir.

Murmure vaincu quand enfin la caisse s'embarque sur une route qu'il reconnaît pour l'avoir souvent prise, chaque 6 dernières années quand sa maison revenait lui faire un coucou, vibre presque dans son siège d'montrer son p'tit monde au brun, labyrinthe flottant dont il est fier, aussi fier qu'l'autre l'est d'son auto.

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TW : propos à caractère sexuel / propos religieux


T'es plein de surprise... Merci Percy.” Sourire satisfait. Ton nom qui rend si bien entre ses lèvres. T’aimerai l’entendre dire à nouveau, dans des murmures qui sonneraient comme des caresses à l’oreille. Et c’est à travers ce chant que la route défile. Un trafic quasi inexistant renforçant cette bulle temporelle entre vous deux. Les lumières tamisées qui tapent sur le goudron et qui ne laisse l’ombre que de la voiture, de vous. “Vraiment..?” Rire qui n’arrive à s’arrêter. Du moins l’temps que les émotions reviennent. S’il savait seulement tout ce que t’as dû faire pour te débarrasser de ces sentiments. Plus d’romantisme en effet. Obsession qu'a commencé par une insulte puis une pipe dans des toilettes de boîte de nuit. Qui penserait qu’un tel contact ferait germer autant d’espoirs. Le désir de le revoir mêlé d’une envie de t’échapper. Parce que ces émotions te prennent en pleine face et que tu ne sais pas réellement comment agir.

Tu sens sa main libre se glisser sur ton poignet. Ta joue que tu mords toujours, qui va finir en sang à force de se retenir de vivre. Lorsque ses doigts viennent se mélanger aux tiens, t’accentues le contact. Tu brises peut-être un peu les doigts fins du garçon mais tu n’arrives à calmer ces pulsions. Ton esprit qui tente de se rattacher au présent pour ne pas partir, ailleurs. “Je suis désolé. Je pensais que t'étais d'ces types qui aiment à jouer les... Mecs, les vrais, ces riches qu'ont une vision totalement archaïque que c'que c'est d'être un homme, comprendrait même pas si on leurs épingler sur l'visage la véritable recette.” Et tu te dis qu’il n’a pas tort. Tu fronces les sourcils à l’idée de savoir, qu’en fait si t’es un des leurs. Que tu ne le montres pas, plus, que t’essayes du moins. Tes idées socio-politiques encore menées par un courant conservateur qui te pousse à entretenir une vision stéréotypée de la réalité. Perpétuer des préjugés qui ne te permettent même pas toi, d’exister. Image calquée d’un père lui-même reproduit par un géniteur qui s’est plié à l’ascendant. “Et puis quand t'es parti j'ai cru que t'sais, t'avais eu ton lot et puis basta.J’aimerai je n’aurai assez de toi. Ton regard qui cherche rapidement le sien, lui faire comprendre qu’il a été insuffisant, non par ennui, mais par la torture d’un corps qui en voulait encore plus. “C'est que j'ai pas paniqué personnellement, la première fois qu'j'ai compris, c'est arrivé naturellement, et puis... Disons simplement que j'ai rien à prouver à personne.” Ces derniers mots résonnent en toi. Tu comprends pas trop comment il n’aurait rien à prouver, toujours eu l’impression que la vie est une représentation où chacun performe un rôle. “Mais, j'sais que mon père a un peu paniqué, par un peu j'veux dire qu'il a fait une énorme crise de panique après avoir embrassé mon papito. L'histoire est hilarante faudrait qu'ils te la racontent! Enfin bref c'pas la question.” Ton cerveau capte pas bien qu’il parle de ses paternels. Père, papito. Mais ton esprit s'arrête sur ce “énorme crise de panique après avoir embrassé mon papito” et ça fait écho. Tes yeux qu’ont du mal à suivre la route, qu’arrivent plus trop à y voir clair. Ta lèvre inférieure qui commence à trembler. Ton âme que tu crois encore déchue, quand bien même tu t’attaches à quelques versets rédempteurs. T’arriveras jamais à cesser ces palpitations indigestes tant qu’elle ne saura pas, qu’elle n’acceptera pas. Tes idées troublées par la vision de ta mère, effrayé du regard qu’elle pourrait porter sur toi. Elles viennent cependant se réveiller par le contact du partenaire. Ses deux mains qui s'appuient brusquement contre ta cuisse t’obligeant à freiner. Tu comprends pas de suite. Il veut partir ? Comme ça en plein milieu d’une trois voies ? T’ose pas croiser ses yeux, comprendre qu’il en a sa claque. Alors quand tu sens ses lèvres se poser sur les tiennes, semblerait que tu reprennes vie. Tes pensées inadéquates qui cessent un peu, qui se laissent aller à ce baiser. Et lorsque tu ressens sa langue se mêler à la tienne tu ne peux t’empêcher de soutenir son appui. Ton bras qui l’enroule, l’une de tes mains qui vient déjà à la rencontre de son corps. Tu le détestes, un millième de seconde lorsqu’il se détache. Un départ marqué par des lèvres sur une joue. Pas suffisant. “Reprend la route ou je te jure que j'vais bien la salir ta diva!” Mais il a activé ce désir qui restait tapi depuis plusieurs jours. Une fougue que tu ne maîtrises plus. “I found peace in your violence / Can't tell me there's no point in trying”  “Putain s’il te plaît” ton doigt qui déclenche des warnings. Inutile face à votre sécurité mise en danger. La voiture arrêtée en plein milieu de la route. Pour un baiser libérateur. Tu relèves son menton, tes gestes sont maladroits. Une langue qui s’aventure sur son cou, une main qui cherche réconfort dans les boucles fatiguées du belge. Tes yeux qui le supplient de t’embrasser, à nouveau. T’oublie que là tout pourrait exploser, un crash qui ne te permettrait plus de goûter à cette peau salée. “Embrasse-moi” que tu murmures dans un râle grave, tes lèvres à quelques centimètres des siennes. Ton front que tu cales contre le sien, ton autre main qui maintient sa joue. Et t’attends son consentement dans une impatience que t’arrives à contrôler.
Jusqu’à ce que ça se réveille un peu là-dedans. Qu’il est pas possible de faire comme si rien d’autre que vous et cette voiture existent. Alors, tu tentes de te concentrer de nouveau sur le trajet. Le gps qui n’affiche plus quelques kilomètres. Ton genou gauche qui s’agite. T’as jamais été impatient. Tes émotions ont toujours été contrôlées, refoulées même. Être l’gamin calme qui ne cause aucun problème. Ca t’a appris une forme d’impassibilité, un flegme endurant. Jusqu’à ce qu’un rien te perturbe. Ses yeux, son rire malin, ses doigts tremblant sur toi.

Et lorsque vous arrivez sur le chemin de sa maison, tu ne sais pas trop si c’est le sentiment de confort, le au revoir qui se masque dans les paroles du jeune homme mais elles ont le don de te faire manquer, à nouveau, un battement. “Je me souviendrais d'toi Percy Haynes-Grayson. Avec plaisir.” Tes sourcils se décomposent. Ta bouche se transforme en douleur. Sentiment d’être reconnu. A nouveau, ta lèvre qui tremble. Cette reconnaissance qui te considère avec simplicité. Déconcertant. Et, tu te rends compte qu’en fait, tu respires mieux. Ton cœur qui reprend un rythme plus apaisé. Tu t’accroches à lui. Pas vraiment physiquement. Davantage cette âme qui veut approcher la sienne, se fondre en elle dans une danse de salon qui ne finit plus. “A jamais Alastor” tu lui susurres dans un mimétisme langagier. Tes deux mots qui souhaitent lui faire ressentir ce qu’il te provoque actuellement. Tes doigts viennent caresser son visage. D’abord l’index qui dessine sa mâchoire avant que ton pouce ne vienne toucher ses lèvres. Puis ton majeur vient tracer l’arrête de son nez pour s’arrêter dans l’entre-yeux. Ton auriculaire lui se fond dans ses sourcils pour qu’enfin, par le dos de ton annulaire tu lui caresses la joue. “Merci” t’en dis pas plus, parce que tu ne saurais pas où t’arrêter. Tu ne saurais pas non plus de quoi exactement tu le remercies. Mais il est certain que ton partenaire de cette deuxième nuit ne se rend pas compte du rôle libérateur qu’il a sur toute ta vie. "I'm in need of a savior" “Bon… On est arrivés chez toi non ?” tu lèves un sourcil en direction du gps “Vous êtes arrivés à votre localisation”. Ton regard fouille les divers bâteaux sans réellement en apercevoir un, la nuit tombée qui ne te permet pas de voir clairement. Le moteur que tu coupes pour sortir de la voiture. T'ouvre la portière passagère rapidement parce que tu te dis qu’à tout moment, il part en courant. Tes yeux s’arrêtent sur ses pieds emmitouflés. Tes joues se gonflent d’inspiration avant de souffler un peu trop fortement. Bon. “T’acceptes que je te porte ?” tu lui demandes rhétoriquement. T’allais pas le laisser abîmer ses pieds davantage. Tu ne sais pas trop à quel moment de sa soirée, il les a perdus, mais c’est déjà trop pour toi. “Prends mon sac s’il te plaît” tu désignes le jacquemus marron à ses pieds. Puis un bras se cale au milieu de son dos et un autre sous ses genoux. Tu commences à le faire sortir de la voiture, au début facilement, et lorsque enfin, tu te tiens debout, Alastor dans les airs, tu sens son poids. Tu manques de vaciller un moment. Tu lâches un “punaise j’vais retourner courir avec Ash moi”. Un nouveau soulevé où tu prends appuis sur tes cuisses cette fois-ci. PutainDis-moi que ton bâteau est pas loin” Tu comprends pas encore bien d’où vient tout ce poids. C’est-à-dire tu remarques ses muscles qui se contractent, ce corps pas si frêle. Mais tu pensais que ce serait plus facile. En fait la seule fois où t’essayes de porter un mec c’est pour t’en servir de sac à patate sur l’épaule, non pas pour porter un prince qu’a perdu ses chaussures.


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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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Sa prise ferme qui lui brûle les doigts, réveille la douleur d'un p'tit doigt tordu y a quelques jours, accepte la peine avec plaisir quand elle permet d'faire taire ces voix dans son esprit, celles qui, vilaines, lui lacèrent la fausse confiance, déchirent ses beaux habits dans l'rôle des mauvaises belles sœurs, fait s'nouer sa gorge en rendant la poigne pour pas s'noyer.

 “Putain s’il te plaît” la supplique qui l'déstabilise, les warnings allumés, un tracé humide sur l'arche d'son cou qui fait s'soulever sa cage thoracique dans un soupir d'aise, les yeux d'mi clos, s'laisse porter par les sensations qu'font tanguer la voiture, océan d'sensibilité érotique. “Embrasse-moi”  

-- Poli l'garnement quand il veut..

S'pare d'sa répartie pour ancrer ses pieds dans l'réel, commence à craquer du trop pleins d'émotions sans comprendre d'où ça vient, fait pas l'rapport avec ses propres tumultes qui commencent à enfler tout autant dans l'creux d'ses poumons, font craquer ses côtes. Agrippe la chemise bien r'passée, la froisse sans vergogne pour attirer l'mâle un peu plus contre lui, récupérer à nouveau ses lèvres, s'laisser prendre par ses caresses, s'laisser perdre par ce goût qu'il chasse goulûment, son plaintif quand l'brun se défait dans un élan d'conscience. Reprend la route pendant qu'le Al reprend sa respiration avachi dans son siège qui d'vient bien trop chaud, pose une main sur son bide pour y calmer les putains d'papillons qu'volent en cohorte dans tous les sens.

A jamais Alastor” fronce les sourcils d'stupeur, s'égraine un peu plus sur l'rivage d'son romantisme, avale d'travers, crache un peu sa salive en détournant les yeux, supporte pas l'étincelle qui brûle dans l'gris salvateur. Mais une caresse qui l'oblige à relever l'menton, paupières qui tremblent sous l'attention, forcent l'visuel à s'couper, “Merci” hoche simplement la tête, un peu benêt, a rien d'mieux à lui dire, s'excuserait certainement, peut pas s'en empêcher. “Bon… On est arrivés chez toi non ?

-- Mmh mmh.

Pour toute réponse intelligible, tente d'reprendre ses esprits quand une porte claque, accueille l'courant d'air qu'ça fait rentrer d'manière fugace avec plaisir, breath s'souvient plus d'la dernière fois qu'il a du forcer son cerveau à r'prendre le contrôle d'ses poumons autant d'fois. Portière qui s'rouvre, de son côté cette fois, lèves des pupilles élargis vers la silhouette soudainement intimidante. “T’acceptes que je te porte ?” ricanement qui l'secoue le Belge, retrouve un peu d'sa facétie avec l'froid qui brusque sa torpeur. Lève les bras avec un grand sourire, prêt à s'faire cueillir “Prends mon sac s’il te plaît” baisse les bras, perds son sourire, récupère le sac qu'il calle contre son abdomen, puis r'lève les bras, avec un nouveau grand sourire, reprêt à s'faire cueillir. Monte dans les airs en battant un peu des jambes, la même sensation qu'quand il était gosse et qu'son père le lançait par d'ssus son épaule puis dans la flotte, arrête bien vite quand il sent l'garçon tanguer un peu, pourtant sa spécialité ça. Hausse un sourcil “punaise j’vais retourner courir avec Ash moi” éclate d'rire en tapotant la nuque d'bout des doigts, moqueur bien qu'appréciant la torture pour l'beau geste. “Dis-moi que ton bâteau est pas loin

-- La jetée d'vant nous, c'la passerelle du fond par contre, navré beau prince.

S'félicite au moins qu'le truc soit assez éloigné pour n'avoir aucun vis-à-vis, seul l'horizon des vagues à s'mettre sous la dent. Dans sa grande bonté, prend appui sur les épaules larges en gainant l'haut d'son corps, permettre une meilleure répartition du poids pour l'Percy, merci les portés à répétition d'l'époque où on lui foutait encore des partenaires, avant qu'il n'en casse trop. Puis s'met à chantonner 'Une, deux! Une, deux! dans son hilarité pendant qu'la traversée s'effectue, croisent les 6 autres bateaux amarrés avant d'se trouver devant l'dernier, r'ssort mal dans la nuit, s'fond dans la pénombre avec sa peinture délavée, pour seule indication les deux lampes à huile posées en équilibre en haut d'la passerelle mal éclairée. Puis bruit d'porte qui s'ouvre à la volée, lumière aveuglante qu'tombe sur eux, provient d'une lampe torche qu'un vieillard pointe sur eux en même temps qu'un vieux fusil d'chasse.

-- ga weg! bende misdadigers!
-- hou je mond, stomme trut!

L'vieux qu'hurle en néérlandais, un Al qu'lui répond d'la même manière, force l'vieil homme à baisser l'fusil et la lumière pour observer les deux garçon sur l'pas d'la passerelle d'ses voisins. Plisse les yeux puis r'connaît l'marmot des Budenn, grommelle une salutation à laquelle l'bouclé répond par un sourire amical.

-- je ouders zijn er niet!
-- Ik zou het moeten hopen.

L'vieux qui ricane à la folie d'la jeunesse puis s'retourne et rerentre dans son antre, claque la lourde porte en métal derrière lui, les replonge dans la presque pénombre dansante au grés des flammes qui s'épuisent dans leurs demeures de verres. R'porte son attention sur son partenaire comme s'ils avaient pas été interrompu brusquement.

-- T'inquiète c'est une fausse. Enfin j'crois.

Gigote pour qu'il lâche son emprise, retrouve l'sol en s'étirant puis grimpe la fine planche qui l'mène sur l'pont, fait s'envoler deux mouettes qui dormaient paisiblement sur le p'tit salon d'fortune extérieur, se serait bien excusé d'les avoir dérangées ainsi mais n'a pas le temps, récupère la main du garçon pour l'forcer à le suivre jusqu'à la petite porte qu'mène à l'intérieur, bypass la salle des commandes rapidement où trône une nouvelle carte sous verrière qu'est perdue en d'ssous du vieux globe troués d'fléchettes, descendent quelques marches d'bois craquants pour croiser une première cabine à côté d'laquelle trône un fier drapeau flamand, les force dans un étroit couloir à gauche qu'débouche sur un premier p'tit salon où trône d'fortune qu'sert plus de bibliothèque qu'autres choses, ouvre une porte dans l'fond, cachée derrière un grand poster d'sir Elton John, traversent une cabine avec lits superposés aux couleurs du mexique où traîne toujours sagement l'caleçon d'un p'tit cousin qu'est là d'puis si longtemps qu'il doit plus lui aller d'jà, fait glisser une porte sur la droite, reprend plus qu'étroit couloir qu'les mènes au salon désiré où règne une odeur d'épice, d'sel marin, d'grains brûlé et d'encens indonésien, douce chaleur qui les étreins du poêle qu'brûle en continu. Relâche enfin sa prise sur son partenaire, dépose l'sac pompeux qui dénote sur la table basse, à côté d'cendrier où un joint à peine commencé traîne puis désigne l'canapé bleu aux coussins pas accordés d'un geste d'la main pour l'inviter à s'y asseoir.

-- Fais comme chez toi, j'vais m'décrasser les pieds j'reviens!

Sautille jusqu'à la cuisine attenante où il fourre un pied dans l'évier avec une souplesse maladroite afin d'le nettoyer rapidement, fait la même chose avec l'autre puis ouvre l'un des p'tits frigos afin d'en sortir une bouteille d'ice tea à moitié entamée, du jus d'fruits bientôt décédé et du coca cerise à peine ouvert. Ramène ses trouvailles ainsi qu'deux verres en plastiques avec une impression des WITCH dessus, r'file celui de Will à Percy et garde sa précieuse Irma pour y vider l'fond de paquito.



KoalaVolant

ga weg! bende misdadigers!: déguerpissez! bande de voyous!
hou je mond, stomme trut!: ta gueule, stupide salope!
&
je ouders zijn er niet!: tes parents sont pas là!
Ik zou het moeten hopen.: j'y compte bien.
grand battement: un grand battement consiste à lancer la jambe tendue à 90 degrés ou davantage. Un grand battement se termine par une cinquième ou troisième position des jambes.


@Percy Haynes-Grayson :susp: :susp:


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Aller-retour d’émotions. Appréciation d’un moment présent quand les pensées s’aventurent dans un avenir que tu crois tracé. Tu laisses tes pulsions exploser quand ton visage fait transparaître une inquiétude. T’affiches des signaux troubles. Tu te dis que ça doit pas trop l’aider le gars en face, à t’voir incertain. Que ça a été naturel pour lui, et que, s’il tente bien d’se montrer compréhensible, ça doit quand même vite l’ennuyer de te voir aussi maladroit ; dès que t’apportes une affection t’as l’impression de lui renvoyer une balle aggressive.

L’arrivée au port semble activer un tournant bien différent. Vous vous éloignez des confidences douloureuses pour revenir à une atmosphère plus simple. Ses jambes qui se secouent un moment dans les airs. Ta main qui tente de maintenir le sweat sur ses pieds, mais t’es pas très adroit. Tu tangues à gauche. Tu te sens bien idiot à le porter alors que tu t’épuises. 'Une, deux! Une, deux! Tu mélanges son rire au tien, quoi que c’est davantage un crachat de poumon qu’un rire cristallin. “Ho hisse la saucisse toi-même” que tu complètes en le soulevant un peu plus en l’air, pensant que ça t'aiderait à tenir plus longtemps. Un cardio à en faire pâlir même les moins aguerris, un peu honteux de le déposer à la passerelle, les mains sur les cuisses à reprendre un souffle. Et pendant que t’essayes de te faire une santé, t'écoutes les deux hurler. Un peu sonné par les interactions qui se mélangent de cris puis de sourires amicaux. Semble même lui marmonner une phrase affectueuse à coup d’fusil. Les paroles anglaises d’Al qui arrivent à ton cerveau bien trop tard pour comprendre ce qu’il a pu te dire avant. Mais il avance, sa main dans la tienne pour te guider. La planche d’infortune et les lumières apportent le ton. Ton regard qui se porte sur les vagues marines qui s’écrasent contre les bâteaux. Tu remarques pas que le lieu est pas le plus charmant au premier abord, t’oublies vite le taré pour ne préserver que ce paysage.
L’intérieur semble être un cabinet de curiosités aux multiples facettes. Première salle qui te confirme que le bâteau tient la route, salle de commandes aux cartes accrochées par des fléchettes du même ton que celles sur le globe. Lorsque vous descendez, tu remarques un drapeau et fier, de comprendre, potentiellement d’où vient sa langue passée “Mais tu parles allemand Alastor ?!” Tu penses au continent européen qui t’attire tant, tu le vois même avec ces uniformes des films historiques. De dos t’imagines le non-germanique dans un pantalon beige cintrée. Quoi que t’as pas le temps de perdre la tête que tu sens la main te traîner à nouveau. Tu comprends pas si vous partez sur la gauche ou la droite, ou si vous continuez tout droit et que le couloir est juste trop petit pour comprendre la direction mais tu peux remarquer une bibliothèque aux dizaines de livres ouverts, sur le sol, à l’envers sur les étagères, voir même un collé contre le mur. T’essayes d’analyser un peu la scène mais, encore une fois, pas le temps que tu tournes encore. T’as l’impression de faire un demi-tour quand vous arrivez à un salon cuisine. Et si le bois feutré, les multiples affiches et photo de voyage ne te plongent pas dans un autre univers, les odeurs te transportent complètement. Tu perds la notion du temps, de l’espace. Plus certain d’être à Miami. Encore moins sûr d’être à quelques minutes de la beach party. “Fais comme chez toi, j'vais m'décrasser les pieds j'reviens!” raclement de gorge. “Vous me ramenez chez moi afin que JE vous séquestre.” T’es chez lui. Dans son antre. Tes yeux ne savent plus trop où regarder tant les détails t’intriguent. Tu t’approches d’un tableau blanc avec des phrases que tu comprends pas. Encore de l’allemand tu penses. Tu déchiffres du français sans en comprendre le sens et enfin tu tombes sur des symboles divers. Des boules avec un cœur ? Ta tête qui se retourne vers le bas pour essayer de comprendre le dessin du tableau. Lorsque l’hôte installe ses différentes boissons sur la table tu lâches un “t’as pas une enceinte ?” pas certain d’être à l’aise dans un silence complet.


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STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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Mais tu parles allemand Alastor ?!” r'gard de pure haine qu'le ricain se prend pour seule réponse, la Flandres dans l'sang supporte pas bien qu'on l'confonde avec les bouseux d'français ou les idiots d'allemands. L'œil droit qui déconne en s'empêchant d'répondre à l'innocent qu'est tout sourire à zieuter l'décor dans lequel ils s'engouffrent. Heureux sont les simples d'âmes.



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ÂGE : Les 25 ans atteint il a envoyé une petite carte pleine d'amour à ceux qui avaient, justement, parié qu'il n'attendrait pas cet âge.
OCCUPATION : Déjà diplômé en médecine, a entamé sa première année de médecine légale en double cursus en première année de danse ; Bosse en parallèle dans un atelier de maintenance et réparation de bateau dès que ses horaires le permettent afin de payer ses dépenses personnelles.
STATUT CIVIL : Mariage raté et oublié à un ami d'enfance toujours pas mis au courant. L'âme qu'a décidé d'en choisir un autre, en plein milieu d'la nuit a inscrit son prénom sur ses lèvres "Percy".
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ÂGE : 23 ans (23/11/2000)
OCCUPATION : cursus : financial markets & investments + commerce international (6th, dernière année master) + investisseur crypto (simflouz $$)
STATUT CIVIL : des mots doux d'glissés, d'amour et d'fidélité ; l'étiquette du couple enfin tamponnée malgré l'divorce qu'a pas été jugé (ancien corps volage qu'appartient désormais à alastor)
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Tes doigts qui tentent de parcourir tout son corps. L’absolu nécessité de se souvenir. Ne rien perdre d’un corps que tu es si incertain de retrouver. Semblerait que chaque moment à ses côtés doit être gravé. Futur inconnu qui ne te terrifie pas à l’instant. Davantage le passé, où, durant des jours, tu rêvais à nouveau de le sentir près de toi. Missionnaire qui te permets de l’observer, le découvrir. Quoi que la seule mission de la nuit qui vaille le coup, c’est cette union charnelle dans laquelle tu plonges sans bouteille d’oxygène. Tu te rends bien compte de la fortune qui se déroule sous tes yeux. Quinze jours durant lesquels tu passes de l’angoisse, à la surprise, jusqu’aux questionnements qui ne mènent qu’à une seule révélation: un désir d’être en lui. Si son orgasme est une première félicité avec la sensation palpable de pouvoir être suffisant pour lui, le tien est l’ultime jouissance d’être à lui.

Tu t'en es sorti comme un chef pour une première fois.” tu réponds instinctivement pendant que ses lèvres se déposent sur ton visage “grâce à t-” et ton corps qui se fait renverser comme un malpropre. Même pas le temps de tendre l’oreille pour comprendre ce qui a fait agiter Alastor. Tu fronces les sourcils en commençant à rouspéter des grognements incompréhensibles. Tu comprends pas tellement l’agitation du garçon qui crie à des inconnus. Tu t’demandes un moment si c’est vraiment son bâteau tant tu t’inquiètes des individus qui pourraient débarquer. T’vois pas grand chose, un caleçon sur la figure, tes soquettes sur la queue et vos vêtements puants sur le reste du corps. Première voix. “Tu es accompagné peut-être?” un ton grave à l’accent lourd. Incarnation du flamand que tu t’dis. Tes neurones qui captent pas trop de quel flamand il s’agit ; tu serais aussi agité que ton partenaire sinon. Et la deuxième, dont l’accent du sud te chatouille les tympans. De Los Santos. “Qui est avec mon chiquito pur et chaste?!” Ton esprit qu’est brusqué. Ton corps qui palpite. “C’est ton père ?” tu lui murmures gravement, quoi que la crainte de la réponse pousse le niveau sonore. Les hommes qui pourraient discerner ta voix sans aucun souci. Et puis des mots que tu ne comprends pas qui empressent davantage un Alastor déjà bien affolé. “Attends, y’a l’papito avec ??” Pas sûr de tout comprendre, de suivre le déroulé de la scène. N’empêche que les paternels ne sont qu’à quelques mètres de vous. Tu te laisses porter par un belge angoissé te poussant dans les multiples recoins, jamais en sachant où vous allez. Jusqu’à ce que tu remarques un trône convoité. T’enjambes les fringues jetés sur le sol pour arriver aux toilettes. “T'veux une invitation peut-être?!” Tu fais un bruit sourd avec ta bouche. “Hey. Faut toujours se vider après l’sexe, les bactéries tout ça” Tu déposes vos vêtements, qu'il t'avait auparavant jeté à la figure, sur une machine à lavée avant de t’installer tranquillement en position assise. Ton regard qui croise le sien, prêt à retrouver un poulet frit. “Quoi ? J’dis pas des conneries c’est maman qui m’a dit” tu tentes de justifier. Mais le temps que tu mets ensuite à te laver les mains semble être bien trop long pour le jeune homme dont les jambes se remuent prêtes à partir en direction de sa cachette. Tu profites un peu du stress du garçon à vrai dire. Tu ne mesures pas l'ampleur en fait, sûrement bouleversé par un doux mélange de weed et d’endorphine. Parce que ç’aurait été tes parents… Non en fait vaut mieux pas que ton esprit commence à réfléchir à cette cinglante réalité. En secouant les mains pour les sécher au-dessus du lavabo, sans t’essuyer dans l’une des serviettes par politesse intime, tu poses tes mains autour d’un cou encore chaud. Un baiser sur la pointe de son nez qui lui indique que t’es prêt à le suivre.

T’as l’impression de rentrer dans une cabane, l’échelle comme entrée. Ton regard s’épanche sur les décorations, intrigué par ces curiosités qui te permettent de le connaître, un peu. La pièce est bourrée de cadres qui présentent des protagonistes que tu ne connais pas. Ton regard qui observe une bande de gamin·es. Tu t’approches, observant cinq visages, dont une jeune fille qui porte un garçon (tu crois reconnaître Alastor par les boucles en pagaille) et puis il y en un autre qui court derrière avec un poisson dans les mains et une dernière, un peu diva, la bouche en cul de poule qui prend le ¾ du paysage pour prendre le selfie. Puis ton visage s'aventure vers une autre photo. Tu vois une fille, plus âgée, allongée sur un hamac installée sur un bâteau. Ce bâteau ? Et alors que tu t’apprêtais à regarder une troisième photo d’un photomaton présentant Alastor avec une fille et deux hommes tu l’entends. “T'dois un cadeau à papa il t'as sauvé l'cul. Maintenant vient réchauffer l'mien.” Tu te retournes, ressentant soudainement une fraîcheur le long de ton corps. Quoi qu’agréable après la montée de ce feu en toi. Tu lèves les yeux au plafond, tendant l’oreille, mais tu n'arrives pas à percevoir les deux voix masculines. A nouveau, l’impression d’être seuls. Tu le regardes un instant, ce sourire simplet qui vient s’installer. Son visage que tu ne vois que d’un quart, ses boucles et ses iris verts comme seuls indices de sa présence. Ton cœur qui fond à l’image attendrissante du danseur. Ressemblerait presque à ta peluche dans cette position. Tu le rejoins, te glissant dans des couettes lourdes mais chaudes. Sans attendre, ton corps qui se colle au sien. Tu l’invites à tourner son corps dans ta direction de façon à ce que vos visages manquent de frôler. Ton bras vient se caler sous le cou de ton prétendant afin qu’il puisse trouver en ton membre un coussin plus ou moins agréable. “T’as eu peur pour ma vie Alastor ?” que tu lui demandes d’une voix dragueuse. Le ton un peu plus grave, imitant un accent italien pensant que ça te rendrait plus charmant. Mais tu rigoles vite de toi-même à cette tentative peu fructueuse. Ton pouce s’invite à la caresse, venant effleurer ses pommettes puis ses tempes. “On ira lui offrir un cadeau oui” quoi que tu saurais pas trop quoi lui offrir. Une carte avec un “merci de m’avoir laissé perdre ma virginité en paix avec votre fils?” un nouveau rire à cette pensée, non vraiment, si t’es bon avec les parents en tant normal, c’est seulement parce qu’ils ne sont pas ceux d’un homme qui te plaît. De la paume de ta main tu viens caresser son dos. Quoique, impatient, elle vient à nouveau s’installer sur ses fesses glacées. Tu effectues des allers retours verticaux pour le réchauffer avant de les empoigner. Et, sans surprise, tes lèvres viennent chercher les siennes. Un baiser langoureux attestant une douceur qui contraste avec la fureur que tu as pu avoir envers lui quelques minutes auparavant. “Merci pour la séquestration” tu murmures enfin, heureux de te retrouver pour la nuit à ses côtés. T’aurai bien besoin, un autre jour, de prendre une bonne inspiration face au flot d’émotions et d’informations qui se sont accumulées en quelques heures. Mais, là présentement, tu ne voudrais être nul part d’autre que dans ses bras. Parce que ça fait bien trop longtemps que tu ne t’es pas senti aussi apaisé.


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